it’s my secret, my  addiction

@Piper Bellisario and Jonah Pearson

La nuit dernière n’a pas été de tout repos. Présent à la caserne, les appels n’ont pas arrêté de s'enchaîner, laissant que trop peu de temps pour se poser, avoir la chance de prendre un minimum de sommeil. C’est donc après une nuit blanche que je suis rentré à la maison. Je sais Ileana partie avant mon départ au bar, afin de préparer cette nouvelle journée et d’assumer son rôle derrière le comptoir. Quant à Scott et Nathan. Rien ne me laisse présager à leurs présences dans la maison. C’est dans un silence parfait que je suis rentré chez moi, de quoi céder à une douce tentation. Celle de m’allonger sur le canapé, avec en doux fond sonore, la télévision que je suis venu allumer. Il ne m’a pas fallu longtemps pour fermer les yeux et réussir à m’endormir. Je n’ai pas la moindre idée de l’heure qu’il est, ni depuis combien de temps je dors. Ce que je sais, c’est que je suis replongé deux années en arrière. Cette intervention que je n’arrive pas à me sortir des pensées, que je n’arrive pas à panser. Je n’arrive pas à enlever les images de cette épave qui était la voiture de mon frère. Retourné  sur le bas côté et encore fumante de l’accident et du choc qu’elle vient de subir. Je revis tout ce que j’ai pu ressentir lors de cette intervention. Un coeur battant à avoir l’envie de quitter mon torse, les mains tremblantes par la peur de ce que j’ai bien pouvoir découvrir. Deux ans, que bien souvent je me replonge dans ce cauchemar qui est venu marquer à tout jamais la famille Pearson. Tous ces mois à faire semblant, à garder le dessus sur la situation, mais la vérité est que je n’y arrive pas. Je ne suis pas capable d’aller de l’avant, il me suffit de fermer les yeux, pour me revoir m’approcher de cette voiture, sans même prendre le temps de donner les instructions. Je me revois venir m’allonger au sol, afin de pouvoir m’accorder une vue à l’intérieur de ce véhicule renversé. Puis ce moment tragique. Ce que j’ai crains en arrivant, c’est produit. Je n’arrive pas à enlever l’image du corps de mon frère, sans vie. Je n’arrive pas à oublier ma nièce, que j’ai tenu dans mes bras, avant qu’elle ne vienne pousser son dernier souffle. Ce sang coulant sur son si beau visage. En tant que pompier, on est préparé à beaucoup de situation, on est prêt à perdre la vie, à perdre nos frères et nos soeurs d’armes, mais jamais je me suis préparé à une telle éventualité. Je sens cette transpiration. J’ai chaud. J’ai les mains moites. Non, elles sont simplement tremblantes. C’est dans un sursaut que je me réveil, pour me retrouver assis sur le canapé. La respiration forte et bien trop rapide. Mes yeux partent à la rencontre des mes mains, que j’ai devant moi, que je ne suis pas capable de garder sans mouvement. J’en ai pas le contrôle. Juste le temps de me lever et d’attraper ma veste, d’y glisser mes doigts dans une poche, dans des gestes brouillons, pour en sortir cette boite orangée. Le couvercle retiré, je m’empresse de prendre un premier cachet, que je viens prendre, avant de le suivre d’un second. Comme un effet magique ou encore psychologique, je peux sentir les battements de mon coeur doucement, se calmer et ma respiration être bien moins importante. « J’arrive ! » Annonçais-je à celui celle qui se trouve derrière la porte de l’appartement que je partage avec ma femme et nos deux fils. Joignant les actes à la paroles, je quitte le salon, laissant derrière moi les preuves de ma dépendance, n’y prêtant pas cas. Je n’attend personne aujourd’hui, ma femme étant déjà au bar, je suis prêt à parier sur un livreur, le facteur ou encore un démarcheur. Surprise. « Piper ..  ? » La porte ouverte, ne me sépare plus de l'inconnu, qui n’en est plus un, du moins, qui n’en est plus une. Je ne peux masquer ce léger sourire qui se présenter sur mes lèvres. « Entres. » Porte grande ouverte pour lui permettre l’accès à l’appartement, je referme derrière elle, permettant à mon regard de rapidement la retrouver. Cette femme au corps sublime, au regard de braise et aux lèvres plus qu’attirante. Ce ne sont que mes pensées, je ne fais de mal à personne. « ‘Leana est déjà partie au bar. J’crois que vous vous êtes loupé. » Prononçais-je d’une voix quelque peu amusé, masquant aussi bien que je le peux, les effets du manque qui m’habite encore. Piper et ma femme son meilleure amie, depuis longtemps déjà. Pas besoin de chercher bien longtemps, pour comprendre, penser ou croire qu’elle est ici pour venir la voir.

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@Piper Bellisario and @"Jonah Pearson"

Un jour, on m'a dit: la vie est faite de choix : Oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Certains choix comptent plus que d'autres : aimer ou haïr. Être un héros ou un lâche. Se battre ou se rendre. Vivre ou mourir. Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore... La vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement. J'ai été enceinte, j'attendais un troisième enfant d’Arthur, et la vie en a décidé autrement. Je ne peux m'en vouloir,  ni même à Arthur.... même si parfois, je me posais la question : avais-je fait le bon choix ? Avais-je fait une erreur de jugement ? De mauvaise décision ? Je n'ai pas la réponse à toutes ces questions.

Non malheureusement, je ne les avais pas.

Ni même la réponse sur mes autres choix. Ai-je fait le bon choix d'avoir divorcé ? D'avoir quitté mon travail ? D'avoir mi un terme à une mini relation qui aurait pu être magnifique ou désastreuse ? Elle aurait  causé, certes, beaucoup de tort d'un coté, mais d'un autre, peut-être que ma vie aurait été différente. Tout ça !!! on ne sait pas, ni toi, ni moi... Si j'avais choisi un autre chemin, que celle que j'ai décidée d’emprunté, est-ce que j'aurai été plus heureuse ? Aucune idée.  Cela reste que des « et si » me dirais-tu!! Et ce n'est certainement pas avec des fameux «  et si » que j'arrivais à avancer dans la vie et à prendre les bonnes décisions.

Pour l'instant, je continue ma route et comme dirait l'impression improvisée : je ne suis pas prête de voir  le bout du tunnel de cette route. En réalité, il faut voir la vie comme une courbe. Parfois, tout va bien, tu as l'impression de vivre sur un paradis tellement que ta vie est épanouissante  et puis, soudainement, il y a la chute. Tu tombes, encore, et encore.... tu tombes..... Tu tombes jusqu'au moment où tu te trouves dans l'obscurité. Tu te sens seul... Je me sens terriblement seule et parfois, je n'allume aucune lumière chez moi et je reste dans le noir.... Et je réfléchis.

Je sais que c'est égoïste de ma part de culpabilisé sur ma vie, alors que d'autres souffrent bien que moi !!! J'ai un toit, j'ai une belle voiture que je devrais plutôt la vendre, histoire d'avoir de la tune, et  j'ai mes enfants. Donc, oui je devrais plutôt sourire à la vie...

Le sourire est le masque parfait pour camoufler ta vie de merde.

Ce soir, j'avais envie de sortir... J'avais envie de faire de nouvelle rencontre, de rencontrer quelqu'un qui pourrait éventuellement .... m’intéresser.  Je ne dis pas que je suis à la chasse d'un homme, d'ailleurs, depuis mon divorce, j'ose même m'approcher d'un seul même si celui-ci m'attirait. Je ne sais même comment m'y prendre, comment aborder la personne, ou tout simplement comment drague-t-on ?

Je me trouvais dans un bar, à savourer un cocktail, et oui, effectivement, je regardais un homme du coin de l'oeil... Il se trouvait au coin du bar... Il était seul, je le trouvais séduisant et j'avais le champ libre. Je pourrais me lever, et aller vers lui !! mais pour dire quoi ? Que pourrais-je lui dire ? Salut, je suis une femme divorcée, et en manque du cul !! Sérieusement, je vais plus le faire fuir qu'autre chose.
Donc, dans l'histoire, je me suis levée, j'ai payé le verre, et je suis partie...

Il n'était pas tard, et je n’avais pas envie de rentrer chez moi donc je me suis arrêtée chez Jo&Leanna avec une bonne bouteille en main.

Je toquais à la porte et surprise «  Jo » cela faisait des années qu''on se connaissait, bien avant que lui et Leanna se mettent ensemble. Il m'ouvrait la porte pour que je puisse rentrer, et je lui répondais avec un sourire ; « Eh bien !!! Tant pis !!!.... On boira sa part.. » Je me suis retournée vers lui, montrant la belle bouteille que j'avais achetée avant d'arriver ici !!! Je déposais cette bouteille sur la table à manger, et j'enlevais ma veste que je déposais délicatement sur la chaise. Puis, bien sûr, je m'avançais vers Jo pour lui donner une bise... la politesse avant tout !!!  «Tu vas bien !!!? » Mes yeux croisaient les siens, et je ne les quittais plus. Je sais qu'il allait mal depuis la mort de son frère et de son petit neveu, alors oui, rien de tel que de boire un petit coup ensemble pour fêter notre vie de merde... «  tes pupilles sont dilatées » Je n'étais pas médecin, je n'avais aucune connaissance là-dedans, donc non, l'idée qu'il était un consommateur de médicament ne m'était pas venue à l'esprit. « T'es sûr que ça va ? » instinctivement, par inquiétude, je prenais sa main dans la mienne. « Ne me dis pas que l'effet de ma nouvelle robe qui te provoque cette émotion si intense ? » Je taquinais bien évidemment. D'ailleurs pour taquiner un peu plus plus, je lâchais sa main pour que je puisse lui montrer mes fesses. « Mates-moi ça !!! »  je tournais ma tête vers lui toujours en montrant mes fesses. « Je trouve quelle dessine parfaitement les formes de mes fesses, non ? Bon le seul souci, c'est qu'elle m’écrase les seins et comme, j'en ai déjà pas des gros, on dirait des seins d’adolescente, mais on s'en fout, non ? De toute façon, je ne sais pas avoir les deux ... C'est soi, les fesses ou les seins ou les seins ou les fesses, mais pas les deux. »
ajoutais-je en riant.

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@Piper Bellisario and Jonah Pearson

La surprise est de taille, après une garde aux nombreuses interventions, je me suis attendu à un profond silence dans cet appartement que j’occupe avec ma femme et nos deux fils. A aucun moment, je me suis imaginé la visite de Piper, encore moins en l’absence d’Ileana. C’est vrai qu’on se connait depuis plusieurs années, je l’ai rencontré bien avant de croiser la route de ma femme. Pourquoi suis-je surpris de sa présence, alors que ma femme est en train de travailler au bar ? A chacun ses petits secrets. Celui-ci je le partage avec la brune qui me fait face, bouteille à la main et sourire illuminant son visage. A ce moment, elle était encore mariée à Arthur Wallace, tous les deux parents d’enfants d’un âge presque similaire, on en a eu l’occasion de passer du temps ensembles, bien souvent tous les deux. C’est sans doute un peu con, mais à ce moment, j’ai pensé qu’il se passait quelque chose entre nous, qu’une attirance commune avait réussi à naitre. Damn ! Il m’aura fallu échanger un baiser avec la meilleure amie, de celle qui est devenue ma femme depuis, pour comprendre que ce n’était pas le cas. « Elle ne sait pas c’qu’elle manque. » Répliquais-je à Piper, un sourire présent sur mon visage, luttant contre moi-même en sa présence, pour masquer du mieux que je le peux, les effets du manque. Ce n’est pas la prise de cachet qui va les enlever en quelques secondes, je suis bien placé pour le savoir. J’ai chaud. Mon cœur est en train de s’emballer, en même temps que j’entends la remarque de Piper. Mes yeux sont dilatées ? Voici un indice de taille pour une dépendance, peu importe la dépendance. Est-ce que je vais bien ? Je n’en suis pas vraiment sûr dans l’immédiat, mon cœur s’affole encore, mon corps monte en chaleur, par la crainte et le manque mélangé. « Hum … » Je n’ai pas le temps de lui répondre, sa main au contact de la mienne attire mon regard, vient m’offrir une issue de secours, attirant mon regard, permettant à mes yeux de rompre le contact avec ceux de Piper. Je suis en train de rêver. Il n’y a pas d’autre solution, je ne peux qu’être en train de rêver. J’ai du mal à comprendre comment on a pu passer de mes yeux dilatés, à une Piper me lâchant la main, afin de se tourner, me montrant la robe qu’elle porte, m’accentuant une vue sur ses fesses. Pas de doute, je suis en train de rêver. « O … Oui … » Bredouillais-je, comme pris de court, me laissant aller de surprise en surprise. Mes yeux, ayant bien du mal à quitter le corps de la meilleure amie de ma femme. Ileana. Il serait temps qu’elle me revienne en mémoire deux secondes, pour me ramener sur Terre et détourner mon regard, seulement pour le moment, elle ne semble pas prête de vouloir traverser mes pensées. « Tu plaisantes ? » Demandais-je brièvement. « Y’a que toi pour croire que tu as des seins d’adolescente. Cette robe met ton corps en avant plus que tu n’le penses, tu ferais de l’effet à n’importe quel homme ! » Suis-je bête ? Sans doute un minimum. Je dois me reprendre, oublier les réactions d’un corps, souffrant encore d’un manque et d’une Piper, qui attire mon regard, bien plus qu’elle ne le devrait. Mes yeux se détournant d’elle, je m’approche de la table, pour me saisir de la bouteille de vin, ainsi que d’un tire-bouchon. « Toi et tes fesses, devriez prendre deux verres, juste derrière toi. » Accompagnant mes paroles, d’un geste de la main, pointant le meuble présent juste derrière elle. J’en viens à oublier ce que j’étais en train de faire avant son arrivée. J’en viens à ne pas me souvenir de la présence de ces cachets que j’ai laissé traîner sur la table basse. Rapidement, le bruit du bouchon que je viens retirer de la bouteille, se fait entendre. « Tu as beaucoup d’autre robe, qui te mettent autant en valeur ? Parce que si tu as besoin d’un avis totalement impartial, tu peux passer autant de fois que tu veux cette porte, en me montrant tes fesses. » Essayer de changer de sujet, pour revenir à celui qui a réussi à attirer mon regard. Je suis loin d’être doué en mon genre pour ce genre de chose. Je ne devrais pas, j’en ai bien conscience, mais mon regard croisant le sien, je ne peux m’empêcher de faire naitre un nouveau sourire sur mon visage.

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 « Tu plaisantes ? ...  Y’a que toi pour croire que tu as des seins d’adolescente. Cette robe met ton corps en avant plus que tu n’le penses, tu ferais de l’effet à n’importe quel homme ! »  Sur ces belles paroles, je jetais mon regard sur mes seins. « Humm !!! » La nature aurait tout de même pu être un peu plus généreuse... Juste un peu plus.  Je ne demandais pas à avoir des seins à la Pamela Anderson, mais un bonnet en plus, je n'aurais pas dit non. Vous allez me dire, j'aurais pu avoir eu recours à la chirurgie, et avoir des seins plus que parfait, mais pour ça, il fallait du fric, et en ce moment, je ne pouvais pas me permettre de faire de folie monstrueuse. Et puis, si j'avais eu réellement envie d'avoir de plus gros seins, je me serais faite opérer depuis bien longtemps avec l'argent de mon ex-époux.. J'assumais mes petits seins, et tant pis si cela déplaît !!

Alors qu'il me demandait d'aller prendre deux verres derrière moi, pour que nous puissions savourer cette bonne bouteille que je venais de ramener, j'exécutais ses ordres et tout en marchant, je disais : «Je ferais de l'effet à n'importe quel homme ? » Je prenais les deux verres, une dans chaque main «Tu sais d'où j'en reviens ? J'ai été dans un bar ce soir et .. . » je retournais sur mes pas, m’avançant vers lui «  rien !!! Je suis restée là au comptoir et j'ai bu mon verre... seule ... toute seule... Seule au monde » Je déposais les deux verres sur la table, et aussitôt, il me servit un verre « Tu sais, j'aurai beau mettre toutes les robes que je possède, et qui me fait un cul de latino .. Je n'arrive pas !! » Une fois mon verre bien rempli, je la reprenais dans ma main «Disons que dès qu'un homme ose me regarder, ou encore s'approcher...  je panique.... C'est idiot, mais je m'enfuis » Pourtant, dieu seul le sait, à quel point, j'avais envie de ... de sexe. Depuis mon divorce avec Arthur, qui soulignons-le bien, cela date de quatre ans... : mille-quatre-cent-soixante jours ... Vous imaginez ? Autant de jours, et je n'ose toujours pas aller voir ailleurs alors que je devrais car .... je doute qu'un jour, il allait me revenir. Pour lui, j'étais du passé. Lui, véritablement, il avait réussi à tourner la page alors que moi, je restais éternellement coincé sur cette fin de livre... avec un goût amer...

Lui et moi, c'était totalement terminé, mais au fond de moi, j'avais toujours cru qu'un jour, il allait revenir !! Au bout de quatre ans, je pense bien que j'avais compris le message et c'est bien pour cela, que j'essayais tant bien que mal de sortir, et de trouver quelqu'un... un homme qui pourrait me faire oublier Arthur, et surtout, sans choquer les petits bisounours, me décoincer.... me libérer, ou que sais-je mais il fallait que ce blocage sexuel disparaisse.

Je partais vers le salon, où je posais mes fesses sur le canapé. « Puis, tu m'as toujours vu habiller, mais jamais complètement nue et c'est ça ... Qui me déstabilise. C'est de me mettre nue devant un autre homme. Avec Arthur, c'était différent, c'était mon mari, et on n'avait aucun tabou !!! » Je soupirais, et après avoir bu une grande gorgée de mon bon vin rouge, je la déposais enfin sur la table. Et tout en la déposant, je remarquais la présence de cachets sur la table basse. Instinctivement, je le prenais dans ma main, et mon regard se portait de nouveau vers Jo' « Visiblement, ce n'est pas l'effet de ma robe   qui t'a obnubilée » Je me relevais alors qu'il était face à moi, debout et cela me permettait ainsi d'être plus ou moins à la même hauteur que lui «Cela t''aidera pas au contraire, cela va te rendre plus dépressif et dépendant » Avec toutes les merdes qui me tombent sur la tête, ce n'était plus deux ou trois cachets que je devrais prendre. «je ne suis peut-être pas la bonne personne pour te faire la morale, parce que moi-même, je fais des erreurs ... on le fait tous d'ailleurs mais, ce n'est pas comme ça, que tes problèmes à toi, vont se résoudre... et .... cela ne va pas les ramener » Je parlais bien évidemment de son neveu et de son frère. Délicatement, je déposais les cachets dans sa main et j'enroulais la mienne dans la sienne «Je présume qu' Ileana n'est pas au courant de tout ça ? » De mon autre main, je prenais son verre de vin encore bien rempli «  Le cachet et le vin, c'est peut-être déconseillé, surtout si tu en as déjà pris» Dommage pour lui, mais tant mieux pour moi, cela me fera plus de verre.