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New-York, dite la grande pomme. Ici se croisent et se recroisent, des âmes de tous horizons, et des quatre coins du monde. La mixité de New-York en fait un rêve pour beaucoup d’entre nous, tandis que pour d’autres, elle n’est que leur quotidien, parsemé d’ennuis et de klaxons des taxis en pleine heure de pointe. Et si l’on s’éloigne du tumulte et du brouhaha de toute cette excitation, prendrez-vous un peu de temps pour profiter d’une visite à travers ses lieux plus méconnus ? Sur qui tomberez-vous au prochain carrefour ? Votre collègue de bureau, ou votre actrice préférée ? Oui, si la Grande Dame fait rêver monsieur tout-le-monde, elle est aussi le lieu de rendez-vous des plus grandes stars, qui délaissent Los Angeles pour de nouveaux studios plus attractifs, dont N.Y Studios Inc. Venez rêver vous aussi. Faites votre valise, l’aventure américaine n’attend que vous. Qui que vous soyez, venez comme vous êtes. Lire le contexte
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 Qui s'y frotte, s'y pique - Aiden

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D.C : I'm unique.

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Qui s'y frotte, s'y pique - Aiden EmptyLun 30 Mar - 1:14
Qui s'y frotte...

Faut croire qu’elle a un problème Rudy, un très gros problème, avec la connerie. Elle aime chercher la petite bête, faire chier son monde, savoir qu’elle plait aussi. Mais ce soir, le mélange des trois a donné un cocktail explosif. Quelque chose au quel elle ne s’attendait guère. Elle n’a fait que son “travail” au près du maire. Un sms, innocent, avec quelques informations qu’il lui réclame, sur Ezra. Puis sans qu’elle ne s’y attende vraiment, la discussion s’est... A déraillé. Elle s’est prise au jeu de la séduction, juste des mots sur du papier. Elle le met au défi, elle sait qu’il a l’air sage, trop sage, et qu’il ne la prendra pas au mot. Elle veut le décoincer, simplement. Le faire sourire aussi. Mais elle ne s’attendait certainement pas à ce qu’il rentre dans son jeu. Alors plus elle écrit, sur son smartphone, et plus elle panique. Elle qui était bien enfoncée dans le fond de son canapé, est tout à coup debout, faisant les cents pas dans son salon, sans que ses yeux ne quittent son petit écran. Il arrive. Il vient pour... Un plan cul ? Elle vient vraiment de s’offrir un plan fesse avec le maire de la ville ? Le séduisant mère de la ville... Elle se pince la lèvre rien que de s’imaginer ses jolis yeux bleus. Il est beau lui. Grand, mystérieux, il a du pouvoir. Son seul défaut serait probablement son “jeune” âge, elle qui rêve d’un homme aux cheveux gris. Enfin soit, elle n’est pas là pour l’épouser. Il vient pour s’amuser. Et c’est probablement la plus grosse connerie de toute sa vie. Elle martyrise sa lèvre alors qu’elle relit son dernier message. Pourquoi est-ce qu’elle s’est fourrée là-dedans ?  

« Quelle conne. »

Se maudit-elle en se frappant le front. Puis ses doigts glissent dans ses cheveux, avec nervosité. Elle inspire, difficilement, sentant que la chaleur l’entoure. Elle a peur Rudy. C’est sûrement normal, mais ce n’est pas dans ses habitudes. Elle a l’habitude des plans fesses, enfin... Parfois. Elle ne les collectionne pas non plus, elle ce qui lui plait, c’est de les allumer tous ces types, puis de les laisser en plan. C’est bien plus jouissif. Sauf que là...  

« Et merde! »

Elle s’active, sans avoir le temps de réfléchir à ce qu’elle va bien pouvoir faire. Elle attrape tout ce qui traîne dans son salon, puis elle les balance dans le panier à linge sale de la salle de bain. Dans sa chambre, elle fourre tout dans sa penderie, puis sous le lit. Elle planque le bordel, comme elle le peut. Puis elle fouille dans ses fringues. Elle lui a dit qu’elle enfilait un truc sexy. Non de dieu, pourquoi elle a dit ça ? Elle trouve un petit ensemble de dentelles, noir. Un haut très fin, à fine bretelle, presque transparent, juste une dentelle à décoration. Le bas est assorti, en shorty. Elle enfile tout ça, sautillant sur une jambe pour se dépêcher. Puis elle accoure vers la salle de bain. Elle se parfume, ne sait-on jamais. Puis elle refait son maquillage, particulièrement ses lèvres qui, teintées d’un rose pâle, lui paraissent plus rebondies. Un coup de doigts dans ses cheveux, détachés et ondulés, et voilà qu’elle est prête. Prête à quoi ?  

« Mais quelle conne! »

Continue-t-elle de pester, alors qu’elle se dirige vers son salon. Elle attrape un cardigan, grand, long, de quoi y cacher toute sa silhouette, et surtout, sa dentelle. Elle baisse l’intensité de la lumière, elle allume quelques bougies. Tout en continuant de s’insulter, en Français. Qu’est-ce qu’elle est en train de faire ? Ne va-t-il pas la prendre pour une traînée ? Ça frappe à la porte. Sursautant, elle lâche son briquet, manquant de se brûler au passage. Ça doit être lui. Ça doit être Aiden. C’est le moment de ravaler ses craintes, et d’assumer sa connerie, non ? Le cœur battant fort dans sa poitrine, les mains moites, elle se dirige vers l’entrée. Elle tremble un peu, mais elle ne montre rien. Elle affiche cette assurance qui lui est si caractéristique. Elle arbore son sourire, angélique, mais si malicieux. Trop malicieux. Puis elle ouvre la porte.  

Aiden est là, de son sourire le plus charmant. Il est bien habillé, comme toujours. Il est sexy, et il le sait certainement. Elle ne peut pas s’empêcher de le toiser de haut en bas, avant de relever son regard vers le sien. Ses dents pinçant légèrement sa lèvre inférieure.

« Vous êtes en retard, j’allais pour me coucher. Seule. Dans des draps froids. »

C’est ça continue de jouer, la plus maline dans l’histoire, ce n’est certainement pas toi. Elle se maudit encore intérieurement, mais physiquement, elle lui lance un regard plein de sous-entendus, puis elle tourne les talons, laissant ses cheveux virevolter autour de son visage. Et elle s’avance vers son salon, de sa démarche si élégante. Elle n’a pas de hauts talons pour que cela soit aussi sexy qu’à son habitude, mais ses pieds nues le sont tout de même, d’élégants, alors qu’ils frappent le parquet en bois.  

« Vous avez soif ? »

Elle se retourne vers lui juste un instant, attrapant une bouteille de vin posée sur le bord d’une vieille cheminée, qui n’est plus utilisée. Elle donne un petit coup d’épaule, pour cacher légèrement son visage derrière, continuant ce petit jeu de regards si plein de sens.

« A moins que vous ne préfériez-vous avancer... Entrez. Fermer cette porte. Retirer votre veste. »

De sa main libre, elle tapote le dossier de son canapé, pour lui faire comprendre qu’il peut la poser là, sa veste.

« Briser cette distance entre nous, poser votre main sur mon épaule, pincer mon gilet entre vos doigts, puis le faire glisser, lentement... »

Elle échappe un petit rire, cristallin, avant de se laisser tomber dans le canapé, afin de servir les deux verres de vin. Au cas ou il ne se défile. Entre nous, elle ne sait même pas si elle en serait rassurée, ou frustrée. Une partie d’elle ne peut que fantasmer sur cet homme. Est-ce qu’il est doué au lit ? Est-ce qu’il est aussi doué que le laisse penser sa prestance ? Ou bien serait-elle déçue ? Jusqu’ici, peu d’hommes l’ont réellement satisfaite, de ce côté-là.  

« Ou perdre votre défis. »

Elle sourit plus doucement alors qu’elle termine de remplir les verres. Une goutte de vin sur le doigt, elle porte son index à ses lèvres pour l’aspirer, alors que ses yeux émeraudes se relèvent vers lui. Cet homme. Celui qu’elle craint autant qu’elle désire, n’est-ce pas ?
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Qui s'y frotte, s'y pique - Aiden EmptyMar 31 Mar - 15:31
Un simple échange. Un innocent échange de sms avec l'assistante d'Ezra. Cette femme aussi douce que caractérielle qui intriguait fortement Rosenbach. Il se fichait éperdument de la jeune femme, manipulant avec habilité la pauvre Rudy. C'est un peu parleur, Aiden, aussi beau que charismatique. Il sait l'effet qu'il fait, il sait la confiance qu'il inspire. Et il n'a pas eu de mal à mentir sur ce point qu'ils ont en commun; Leur haine viscérale pour Ezra. Peut être la seule chose sur laquelle il était honnête. Il lui a promis une place, Aiden, il lui a promit de la sortir de son enfer, de lui donner des responsabilités, de lui offrir ce qu'elle méritait. Mais a t-il seulement précisé dans quel branche de son travail ça se situait ? Si elle exècre ce qu'elle à découvert sur son patron, qu'allait-elle penser en se retrouvant face au diable en personne ?

Parce qu'il est doué, Aiden. Il manipule son monde, jusqu'à son propre fils. Il passe pour cet innocent, cet homme parfait que rien n'atteint. Ce père en or, ce mari dévoué qu'il était, ce veuf éploré qu'on aimerait consoler, ce maire exemplaire, cet homme angélique. Il est cet homme, ce bénévole dans les hôpitaux, ce maire qui vise sur la sécurité et la santé de ses citoyen, cet homme à l'écoute du moindre problème. On l'aime, Aiden, sa cote de popularité est constamment en hausse. Il sourit, constamment, est celui qui place les bonne blague, il est cet homme bien élevé, de bonne famille, sans pour autant prendre les autres de haut. Il a tout de l'homme parfait, aimant, attentionné, romantique... Il est doué, Rosenbach, terriblement doué pour caché ce qu'il est. Tout le monde tombe, tout le monde sauf Luca. Et mieux vaut être de l'autre côté, être de ceux dont la vision se brouille. Parce qu'il lui fait payer, à Luca. Il pourri sa vie, il lui enlève tout ce qu'il à. Avec l'aucune intention de le tuer, pourtant, non. Il attend, doucement, patiemment, jusqu'à ce que l'agent ne craque par lui même. Il lui prendra tout, jusqu'à ce qu'il n'ai plus la moindre petite chose à laquelle s'accrocher. Jusqu'à ce que Castelli supplie de lui ôter la vie. C'est ça, cette facette là, qu'Aiden cache si bien, profondément enfouie, bien loin des yeux du grand public.

Et Carter tombe elle aussi dans le panneau. La pauvre jeune fille se laisse berner par de belles paroles et un joli minois, mais peut-il seulement la blâmer ? Elle est charismatique, Rudy, elle a du caractère, et elle est belle, surtout. Une personne intéressante aux yeux d'Aiden, si bien placée dans le trafic de sa famille. Elle est ses yeux, ses oreilles, en échange de belles promesses. Et quand tout ça sera fini, quand elle ne sera plus utile, elle deviendra sans doute sa pièce maîtresse, sa plus belle enchère. Un énième sms vient perturbe le maire dans ses pensées, tandis ce que ses lippes s'étirent doucement. Elle le cherche, mais sait-elle seulement à quel point il aime jouer ? Il ne ment pas, il aime les défis, il les relèvent haut la main, peu importe l'enjeu. Et elle l'invite, il prend la perche qu'elle lui tend. Sans doute ne s'attendait-elle pas à ce qu'il agisse ainsi, à ce qu'il accepte si aisément de passer la nuit dans ses bras, dans ses draps. Quelques minutes, lui dit-ilo. Juste le temps de terminer ce qu'il a sous la main. Parce qu'il reste le maire, malgré tout. Il a ses obligations. Obligations qu'il termine à la vitesse de la lumière. Après tout, cette nuit pourrait contribuer à peser sur la balance, à renforcer ce lien, à la compter comme alliée. Ne dit on pas "joindre l'utile à l'agréable" ?

Alors il sort de son bureau, prévient les gouvernantes de s'occuper de son fils jusqu'à son retour. Il se change, Aiden, enfile son costume, quelque chose d'aussi sobre que classe, d'aussi sexy que simple. Une chemise blanche, un pantalon et une veste noires parfaitement coupées. Il ajuste cette montre hors de prix qu'il porte au poignet, et sort du manoir. La jeune femme lui a donné l'adresse, et il n'a pas mentit. Il ne l'a pas fait attendre bien longtemps avant de rejoindre son domicile. Il se tient droit, Aiden, toquant à la porte avant de sourire doucement à la blonde, arquant un sourcil. "En retard ? Il ne me semble pas avoir convié d'une heure. Mais je note que je vous ai semblé trop long mademoiselle Carter." Il sourit de plus belle, pénètre à l'intérieur en suivant Rudy du regard. Il l'écoute, sans que ce sourire ne quitte ses lèvres, s'avançant lentement alors qu'elle sert ces deux verres de vin, assise sur le canapé. Il enlève sa veste, la pose sur ce divan, comme le propose la jeune femme. Il est silencieux, Aiden, et plante ses iris azurées  dans celles de la blonde. Il se penche, doucement, s'appuie contre le dossier du canapé pour la surplomber et ne pas tomber, non sans quitter son regard. Il est proche, bien proche, trop proche, à en frôler ses lèvres. "Vous apprendrez, mademoiselle Carter, que je ne perd jamais..." C'est murmuré, tandis ce que d'une main il lui prend l'un des verre avant de se redresser doucement et de s'éloigner de la jeune femme. De quoi la frustrer, juste légèrement. Il joue, Aiden, il aime jouer, il aime séduire. Et puis il lui tourne le dos, observe les alentours en portant le verre à ses lippes pour en prendre une gorgée. Aiden tourne légèrement sa tête, de quoi posé un rapide regard en sa direction. "Très bon choix." Le vin, qu'il savoure. Il ne peut pas lui enlever ça, elle a de bons goûts, au moins. De nouveau, il perdait son regard sur la pièce, avant de rajouter. "J'aime beaucoup ce que vous avez fait de votre demeure. La manoir nécessiterait votre sens de la ... Décoration." Puis reposait doucement ses prunelles sur la jeune femme, portant une nouvelle fois le verre à ses lèvres.
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Qui s'y frotte, s'y pique - Aiden EmptyMer 1 Avr - 22:52
Qui s'y frotte...

« En retard ? Il ne me semble pas avoir convié d'une heure. Mais je note que je vous ai semblé trop long mademoiselle Carter. » Son charme... Ce sourire. Ses yeux. Cet homme, est probablement un ange tombé du ciel. La plus belle sculpture que les dieux aient pu créer. Grand, musclé, si beau, et si... Poli. Gentleman. Un peu naïf, et candide de surcroît. Il est juste parfait. Le genre d’homme que l’on ne croise que dans les contes de fée. Comment est-ce possible qu’il soit là, devant elle ? Venu juste pour elle, car oui il faut le noter. Ce genre de gars-là, on peut les fréquenter, mais ils se barrent toujours avec la mauvaise princesse à la fin de l’histoire. Comment-est-ce que... Comment-est-ce qu’elle est parvenue à l’avoir lui, rien que pour elle, ce soir ? Serait-ce le coup de foudre ? Celui qu’elle attend depuis si longtemps ? Depuis plus de tren... Vingt-cinq ans ? Elle le regarde approcher, d’un sourire admiratif. Elle est subjuguée par cet homme, bien plus qu’elle ne le pensait elle-même d’ailleurs. Ça s’excite à l’intérieur, c’est l’euphorie dans son petit corps, alors que le rouge lui monte aux joues quand elle croise ses yeux bleus.

Il la rejoint près du canapé. Il se penche même, un peu trop, au point de rapprocher ses lèvres des siennes. Elle sent là, son cœur battre à mort sa poitrine. Il frappe si fort, qu’Aiden pourrait l’entendre, elle en est certaine. Ses yeux abandonnent les siens, pour fixer ces lèvres, ces fines lèvres dont elle a si envies. Elle passe sa langue sur les siennes, avant de se les pincer, tant cette vue est agréable. Et cette douce sensation... Ce souffle chaud d’un homme si désiré, qui s’écrase contre sa peau. Elle déraille, elle défaille Rudy. Elle ne sait même pas ce qui l’empêche de se pendre à son cou. « Vous apprendrez, mademoiselle Carter, que je ne perds jamais... » Et cette voix, sensuelle, murmurée. Il s’écarte, trop vite, trop frustrant. Mais de quoi la laisser respirer aussi. Alors reprenant son souffle, elle lève les yeux au ciel, remerciant les dieux de toute la planète, d’avoir déposé chez elle, un tel cadeau de Noël, même en retard.

« C'est ce qu'on verra. »

Reprend-elle alors qu’il lui tourne le dos. De quoi admirer son fessier. Okay, elle a le droit, non ? Il est venu pour ça de toute façon. Elle empoigne son verre, puis le sirote tout en le lorgnant. Il dit qu’il ne perd jamais, mais ça reste à voir. Il n’est que pudeur, elle le sens. Il est trop doux comme jeune homme. Trop respectueux aussi. Bien loin du type d’hommes qu’elle fréquente habituellement. Mais elle s’en amuse. Elle aime bien relever les défis elle aussi. Il la félicite sur le vin. Comme il est toujours plus occupé à admirer la décoration, que la jeune femme, elle baisse son nez dans son verre, et le renifle. Franchement, elle n’a aucun gout en vin. Elle n’est même pas spécialement une grande amatrice, c’est juste... Que ça fait bien, d’être un verre de vin rouge à la main. Celui-ci lui a simplement été offert par son père. Qui lui, aimant la France, sait reconnaître un bon vigneron.

« Merci. C’est mon petit côté français. »

Siffle-t-elle le visage encore légèrement caché derrière son épaule. Il est distingué ce gars là, mieux vaut-il qu’il pense qu’elle l’est aussi. Oui, elle sait paraître, mais son langage est loin de l’être. Elle jure à longueur de temps. Comme pour se donner du courage, voyant que le rouquin ne semble pas très entreprenant. « J'aime beaucoup ce que vous avez fait de votre demeure. La manoir nécessiterait votre sens de la ... Décoration. » Demeure ? Elle manque de s’étouffer avec son vin, rapprochant son verre de ses lèvres pour ne pas cracher n’importe ou. Elle toussote, pose son verre sur sa table basse, puis passe son pouce le long de ses lèvres, pour éviter toute trace de liquide rouge.

« Ma demeure est loin d’entre être une, Monsieur. »

Elle ricane, elle est franchement amusée par le vocabulaire du maire. On dirait un Anglais du dix-septième siècle. Mais non de dieu ce que c’est sexy. A croire que tout ce qui vient de lui est cruellement sexy.

« Vous savez, j’ai juste ouvert un magasine d’Ikea et j’ai refait leur vitrine. »

Tout en y ajoutant du bordel ci et là. Cet appartement est loin d’être nickel, mais il sent la vie que l’on croque à pleine dent. S'il tient à ce qu’elle refasse la décoration chez lui, elle se ferait un plaisir de s’y installer... Enfin, elle se laisse supposer qu’avant ça, il faut qu’ils se fréquentent un peu, nan ? Elle se relève, mains innocentes dans le dos, puis elle s’avance vers Aiden, traînant ses petits pieds sur le parquet de bois.

« Alors, dites-moi. »

Tournoyant sur elle-même elle vient s’adosser au mur, juste en face d’Aiden. Elle croise doucement ses jambes, cachées sous son grand cardigan. Il n’y a que l’une de ses épaules qui se découvre légèrement, la manche retombant le long de son bras, et dévoilant juste un peu, la petite dentelle qu’elle a enfilé pour l’occasion.

« Vous ne perdez jamais un défi ? Mais quel genre de défis vous relevez ? Vous m’avez l’air trop candide pour celui que je vous ai lancé, c’est pas ça votre terrain de jeu, habituel, non ? »
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Qui s'y frotte, s'y pique - Aiden EmptyMer 8 Avr - 13:41
Il s'adapte, Aiden. Si vite, si facilement. Il a cette facilité à cerner les gens. En quelques minutes, quelques mots, il capte la personne qui se trouve face à lui. Il n'agit jamais de la même manière. Il sait se montrer distant quand il le faut, être le parfait gentleman, être le bon pote, le bon collègue. Il sait se montrer timide, ou bien au contraire entreprenant. La carte de l'innocence semblait bien fonctionner sur la petite Rudy, mais sans doute ne s'attendait-elle pas à ce qu'il se prête si bien au jeu malgré tout. Il s'en amuse, Aiden, il aime surprendre, et -plus que tout- il aime séduire. Il aime avoir le monde entier à ses pieds, il aime tenir le coeur des autres dans le creux de sa main. Il rend sa présence indispensable, il se rend addictif, il devient ce que les autres veulent qu'il soit, sans oublier qui il est. Elle aime qu'il soit "naïf", Rudy, elle aime qu'il soit gentleman. Alors il le sera, pour elle. >Il sera ce qu'elle voudra, ce soir.

Il use de son sourire, ne quitte pas la demoiselle des yeux. Elle tente de le charmer sans comprendre que c'est déjà fait. Il est déjà sous le charme de sa beauté. Il est déjà intrigué par ce caractère bien trempé. Maintenant à son tour de jouer, à son tour de séduire, à son tour de la perturber, de la rendre fébrile, de lui faire perdre la totalité de ses repères.Il joue avec elle, s'approche pour mieux repartir, murmure pour mieux la capter. Et puis il saisit ce verre, le porte à ses lippes, s'éloignant d'elle. Même pour lui, c'est un peu trop loin. Mais la patience est une vertue paraît-il. Il la complimente, ou plutôt complimente ses choix en matière de vigne, avant de tourner doucement la tête vers elle à sa réponse. "Français ? Intéressant." Il a ce petit sourire, juste aux coin des lèvres Aiden. Avant de se retourner complètement pour poser son regard sur la jeune femme, articulant dans un joli français -non sans son accent- "J'ai toujours adoré la France." Un pays qu'il affectionne particulièrement, dans lequel il y retourne volontiers dès que son emploi du temps le lui permet. Bien trop peu à son goût, donc.

Elle manque de s'étouffer, tousse légèrement tandis ce qu'il porte une main sur son épaule. "Tout va bien ?" Il arque un sourcil, Rosenbach, ne la quitte pas du regard, frôle cette épaule avant que sa main ne glisse le long de son bras, qu'il ne la retire enfin de sa peau. Et il rit à sa remarque. Un léger rire, un sourire qui ne le quitte plus avant qu'il ne hausse les épaules. "Et bien il faut croire que malgré tout, vous avez du goût !" Puis il revient sur sa phrase, sur ce "monsieur" qui le fait grimacer, se penchant vers Carter. "Je vous en prie, appelez moi Aiden." Il n'est pas venu là pour rien. Un monsieur semble un peu hors propos au vu de la soirée. Et il veut se rapprocher d'elle encore un peu plus. Aiden laisse ses yeux se balader doucement à travers la pièce, inspirant un grand coup avant d'avouer. "Dans tous les cas... J'aime ce que vous avez fait de cet appartement. Il a plus de vie que le manoir tout entier." Il laisse encore une fois un léger rire s'échapper de ses lippes tandis ce que son verre retrouve ses lèvres et que la jeune femme ne s'adosse au mur.

Ses yeux à lui se balade entre cette épaule dénudée et le regard de la demoiselle, un sourire au lèvre, les yeux qui la dévore littéralement. Doucement il s'approche, pose son verre et s'avance vers elle, ne s'arrêtant qu'à quelques centimètre de son corps, de sa peau. "Vous seriez surprise, mademoiselle Carter, de connaître mon ... Terrain de jeu habituel." Si seulement elle savait à quel point elle est bien loin de savoir qui il est. Quel monstre, quel psychopathe se trouve face à elle. Si seulement elle se rendait compte de la personne qu'elle avait face à elle. Mais il joue bien, Aiden, et il ne la quitte pas des yeux, alors que sa main trouve doucement la hanche de Rudy. "Au risque de me répéter, je maintiens que je ne perd aucun défi. Peu importe celui que vous demanderez de relever." Il n'a pas de limite, Aiden, aucune, jamais. Doucement il arque un sourcil, faisant mine de réfléchir alors que son autre main trouve l'épaule de la jeune femme. "Que disiez vous déjà ? De "pincer ce gilet de le faire glisser lentement" ?" Et à mesure qu'il parle, il s'exécute, laissant le tissus trouver le sol sans la quitter des yeux. "Une autre proposition, mademoiselle Carter ... ?" C'est murmuré, c'est provoqué, toujours avec ce même sourire, si léger et charmeur à la fois, au coin des lèvres.
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Qui s'y frotte, s'y pique - Aiden EmptyMar 14 Avr - 18:02
Qui s'y frotte...

« Français ? Intéressant. » Elle ne lui a jamais dit, d’où elle venait. Pourtant elle pensait que son petit accent la trahirait. Bien souvent il le fait, intéressant plus curieusement les hommes, qui voit en elle, quelque chose de plus exotique. « J'ai toujours adoré la France. » Lance-t-il dans un joli français, tinté d’un accent qui la fait fondre littéralement. Elle affiche un sourire charmé, elle est subjuguée par l’homme qui se tient devant elle. Un prince charmant, sorti tout droit d’un Disney. Tous les hommes ont des défauts. De cruels défauts. Des vices cachés. Mais chez lui, elle n’en trouve aucun. Il lui semble être parfait. Et son petit cœur dans sa poitrine, en rate un battement.

Elle toussote, manque de s’étouffer, quand il parle d’une demeure. Elle est bien loin de posséder une demeure. A vrai dire, elle ne le possède même pas. Elle paie un loyer exorbitant pour son emplacement, selon elle. Mais elle l’aime cet appart’, alors elle y reste. Puis refaire des cartons, découvrir de nouveaux voisins, changer d’épicerie pour faire ses courses, très peu pour elle. « Tout va bien ? » Il la touche, légèrement. Sa main sur son épaule frôle sa peau, assez pour éveiller un frisson, une chair de poule chez la jeune femme, qui ne décolle plus l’émeraude de ses yeux, de ceux de sa compagnie. Elle semble absorbée, ses pulpeuses lèvres rosées, entre-ouvertes. Elle avale ses mots comme les croyants à la messe. « Et bien il faut croire que malgré tout, vous avez du goût ! » Le rouge lui monte aux joues. Elle se défait de ses yeux, passe ses doigts sur sa joue, espérant les avoir de froid pour refroidir cette chaleur sur son visage. Mais ils sont moites, et aussi brûlant que le reste de son corps. Elle espère juste qu’il ne remarquera rien.

« Si seulement mon patron pouvait remarquer ça lui aussi... Ho non je suis désolé, je n’en parle plus! »

Plus de Ezra, plus de Ezra! Elle plaque ses fins doigts sur ses lèvres, cachant un petit sourire amusé. « Je vous en prie, appelez-moi Aiden. » Elle aime bien, l’appeler Monsieur le Maire. Mais elle fera un effort. Sa main retombe le long de son corps alors qu’elle croise un peu plus ses jambes sous son long gilet. Elle frôle le parquet, avec ses orteils de l’un de ses pieds, innocemment.

« Aiden. »

Murmure-t-elle timidement, alors que ses yeux se sont reposés sur les siens. Elle tremble un peu, il l’intimide tant. Elle se sent nerveuse, elle d’habitude si assurée avec les hommes. Des jouets, des passe-temps. Aiden lui, il est loin d’être de ces types, qu’elle inscrit sur une liste. C’est lui qui a le contrôle de tout ce soir, contrairement aux apparences. « Dans tous les cas... J'aime ce que vous avez fait de cet appartement. Il a plus de vie que le manoir tout entier. » Elle détourne les yeux, pour scruter sa propre décoration. Pourtant peu travaillée, et faite avec ses petits moyens. Rosenbach ne la paye pas assez chère pour qu’elle puisse acheter tout ce qu’elle veut. Elle se contente des magazines Ikea et autres enseignes du genre. Il est vrai qu’elle a néanmoins la fièvre acheteuse, en ce qui concerne les fringues et la décoration.

« Il est pourtant cruellement vide. »

Finit-elle par rétorquer, reposant toute son attention sur le séduisant jeune homme. Elle étire un petit sourire, alors que leurs regards se croisent, laissant comme un éclair d’électricité, lui traverser l’échine.

« Il n'y a que moi. »

Ajoute-t-elle d’une petite moue, innocente, relevant les yeux. Elle est seule la petite, mais elle ne s’en plaint habituellement pas, au contraire. Elle est libre, elle fait ce qu’elle veut, quand elle le veut. Pour Aiden, elle serait bien prompte à tout abandonner, sa liberté, ses ailes, sa frivolité. Elle serait certainement prête à tout pour un homme comme lui. Mais elle ne se rend pas compte. Elle est aveuglée.

Et puis enfin il se rapproche. Ses yeux vagabondent sur elle, elle les voit, elle les sent, et son cœur rate un nouveau battement. Elle ne décroche plus ses prunelles de cet homme, centre de son attention. « Vous seriez surprise, mademoiselle Carter, de connaître mon ... Terrain de jeu habituel. » Il s’est penché vers elle, la respiration de la jeune femme s’accélère, devient plus irrégulière. La chaleur sur ses joues ne se défait plus. Elle l’observe, en silence. Il est si beau. Elle voudrait le toucher, mais elle n’ose pas, pas encore.

« J'aime les surprises... »

Chuchote-t-elle pour ne pas perdre la main, ce petit sourire malicieux, mais si innocent aux lèvres. Si elle savait pourtant... « Au risque de me répéter, je maintiens que je ne perds aucun défi. Peu importe celui que vous demanderez de relever. » Il pose sa main sur sa hanche. Il la touche. Ça s’affole dans sa tête, son cœur ne fait qu’un tour et pourtant, elle dissimule cette nervosité. Elle tremble légèrement des doigts, mais ses yeux ne quittent plus siens, comme si... Comme si elle savait, comme si elle gardait de l’assurance. Il n’en n’est pourtant rien. Elle si avenante avec les hommes habituellement, est tout à coup, pétrifié. Comme si c’était la première fois qu’un homme la regardait comme ça. « Que disiez-vous déjà ? De "pincer ce gilet de le faire glisser lentement" ? » Il s’est approché, beaucoup trop. Il l’a pincé cette manche. Il la fait glisser le long de son épaule, alors qu’un doux frisson la transperce. Son vêtement touche le sol, inerte. Elle se retrouve là, en si petite lingerie, sous les yeux bleus de celui qu’elle jauge comme étant le plus bel homme de cette planète. Elle se sent presque nue. L’une de ses mains se pose sur son autre bras, elle se tortille un peu, gênée d’être ainsi vue alors que lui, porte encore tout ses vêtements. Espérons au moins que la vue le satisfait. « Une autre proposition, mademoiselle Carter ... ? » Elle inspire, incertaine, tremblante. Mais elle défit toujours ses yeux. Elle étire un léger sourire, alors qu’elle décolle son dos du mur, se rapprochant juste un peu plus d’Aiden. Elle sent bien qu’elle n’est pas aussi sûre d’elle, que d’habitude. Pourtant, elle se doit de le cacher. Alors elle pose une main, à plat, sur le torse du Maire, posant ses yeux sur ses propres doigts qui caresse le tissu de sa chemise, descendant doucement, frôlant les boutons qui la tiennent fermée.

« Je ne suis pas certaine, que des mots soient utiles maintenant. Aiden. »

Elle allait pour dire, Monsieur le Maire, encore. Elle pince sa lèvre, avant de finalement commencer à déboutonner la chemise de l’homme, ayant encore une main de posée sur elle. Elle défait cette chemise lentement. Elle prend son temps, découvrant petit à petit, le torse d’Aiden. Une fois ouverte, elle passe simplement ses mains à l’intérieur, pour laisser ses doigts effleurer ses muscles. Il est bien bâti, comme elle se l’était imaginé. Trop peut-être, parce qu’il ne fait qu’accentuer toutes ces images d’homme si parfait qu’elle s’est mise en tête, bêtement.

« Mais je suppose... Que la bretelle de ce haut, fonctionne de la même manière que mon cardigan. »

D’un petit coup de menton, elle désigne la bretelle du haut de sa lingerie. Elle lui sourit, malicieusement, alors que ses mains remontent sur son torse, étudiant toujours chacune de ses formes. Elle les glisse sous chaque pan, atteignant ses épaules si carrées. Elle entraîne la chemise avec elle jusqu’à la faire glisser. Elle rejoint son gilet au sol. Elle peut plus aisément admirer la carrure de cet homme imposant. Elle s’en délecte, c’est vrai. Mais elle veut jouer elle aussi. Alors elle pince ses lèvres, puis se recule, joignant innocemment ses mains derrière elle.

« Vous préférez peut-être, finir ce si bon vin, avant... »

Espérons que non, mais soit. Elle se recule pour revenir vers le canapé, laissant à Aiden, un autre angle de vue, tout aussi alléchant. Elle se penche pour récupérer son verre, et en boit une petite gorgée, tout e surveillant du coin de l’œil, l’homme de toutes ses attentions.
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