BONJOUR, NEW-YORK Since : 07/05/2020 Avatar : Eiza Gonzalez (ava @corleone) Identité : 34 ans, portugaise/américaine, capricorne née le 15 janvier a Boston Activité : Instagrammeuse et chef d'une petite entreprise de vêtements Statut : mariée pour l'instant, mais en voie de divorce que son mari lui exige Logement : Elle habite toujours avec son époux Jericho et leur enfant dans leur maison dans le Manhattan Bon à savoir : Elle est mère de famille de 3 enfants (2 filles et 1 garçon): Annah 9 ans, Frederik 5 ans et le petit dernier Maddox 2 ans qu'elle allaite encore par moment. elle est encore marié @Jericho Myers, mais il lui a fait une demande de divorce, elle essait encore de gérer la nouvelle. Elle travaille comme intagrammeuse ayant profitée de la carrière de son mari pour se promouvoir et elle a reussit a ouvrir une petite entreprise de vêtements qu'elle essait tranquillement de faire reconnaitre sa griffe ayant toujours adorer la mode.
Niveau caractère elle est du genre a parler haut et fort lorsqu'elle pense quelque chose, elle est charmeuse, fidèle aux gens qu'elle aime et un peu depressive avec sa situation familial. la famille occupe une place très importante dans sa vie et elle offre beaucoup de temps a ses enfants, ayant souvent reprocher à son époux ses absence envers leur progéniture. Elle aime encore son époux malheureusement,malgré leur bas et leur hauts et elle sait qu'il n'éprouve plus ce sentiments a son égard. | Dim 10 Mai - 6:07 |
Cela faisait déjà quelques semaines qu’il t’avait fait son annonce et depuis cela te hantait, dire adieu à cette vie et a tous ce que tu avais été habitué de connaitre t’effrayais. Il désirait séparer vos vies et tout ce que vous aviez battit ensemble depuis des années. Au fond de toi, tu avais cette petite voix qui te chuchotais qu’il avait eu raison de le demander, que ce serait sans doute le mieux pour vous deux, pour vos enfants… Ils ne savaient pas encore, tu n’avais pas su leur annoncer, puis après tout c’était le genre de chose qui s’annonçait à deux et tu ne voyais pas pourquoi il devrait s’en laver les mains puisque c’était sa décision. Pourtant tu te sentais le cœur brisé, malgré toutes vos disputes, malgré toutes les montagnes russes que vous aviez traversé, tu l’aimais toujours, tu avais cette part en toi qui aimerais toujours cet homme. C’est donc sur cette lancée que toi et tes trois enfants aviez décidé de revenir dans la demeure de New-York, sans qu’il en soit averti tu étais arrivé dans la journée avec tes enfants et les bagages.
Rendu au soir, une fois les enfants lavés et mit au lit, tu les avais bordés, embrassant ton ainé, bordant celle du milieu et ayant bercé le plus jeune depuis un bon moment, tu avais été te rafraichir dans la douche. Tu aurais beaucoup de choses à faire demain, mais ce soir tu prendrais ça relaxe d’ici son arrivé. La maison était calme alors que tu enfilais ta nuisette de satin, prenant le temps de placer tes cheveux pour t’éviter des soucis le lendemain matin. Une fois satisfaite tu allas t’installer avec un thé au salon prenant un livre pour te tenir compagnie. Ce ne fut qu’après un bon moment que tu entendis le son du verrou de la porte, il rentrait à la maison, tu n’allas pas l’accueillir comme à tes habitudes. Il avait surement remarqué la présence de vos manteaux dans le vestibule, sans parler des chaussures des enfants. Ton cœur se mit à palpiter légèrement, stresser de ses réactions, ne sachant trop comment tu devais maintenant te comporter envers lui alors qu’il était toujours ton mari, le père de tes enfants. Tu t’étais fait jolie un peu pour lui plaire, bien que c’était sans doute une cause perdu, misant sur cette nuisette qui épousait tes formes, tes cheveux retombant en cascade sur tes épaules, tu restais à l’affut de le voir franchir le cadre de porte du salon afin de le saluer calmement. Lorsque tu le vis enfin, tu remarquas ses traits, tu n’étais pas certaine s’il était surpris ou malheureux de te retrouver ici, tu lui offris un petit sourire afin de tirer le drapeau blanc alors que tu ressentais ce pincement au cœur. «Bienvenue à la maison…» |
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