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New-York, dite la grande pomme. Ici se croisent et se recroisent, des âmes de tous horizons, et des quatre coins du monde. La mixité de New-York en fait un rêve pour beaucoup d’entre nous, tandis que pour d’autres, elle n’est que leur quotidien, parsemé d’ennuis et de klaxons des taxis en pleine heure de pointe. Et si l’on s’éloigne du tumulte et du brouhaha de toute cette excitation, prendrez-vous un peu de temps pour profiter d’une visite à travers ses lieux plus méconnus ? Sur qui tomberez-vous au prochain carrefour ? Votre collègue de bureau, ou votre actrice préférée ? Oui, si la Grande Dame fait rêver monsieur tout-le-monde, elle est aussi le lieu de rendez-vous des plus grandes stars, qui délaissent Los Angeles pour de nouveaux studios plus attractifs, dont N.Y Studios Inc. Venez rêver vous aussi. Faites votre valise, l’aventure américaine n’attend que vous. Qui que vous soyez, venez comme vous êtes. Lire le contexte
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 Un vole de livres ? (Ft.Maeve Maloney)

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Caleb Holloway
Caleb Holloway
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Identité : Caleb Holloway

Activité : Boxeur clandestin - Mafioso - Apprentie Graphiste

Statut : Célibataire

Logement : Un appartement à Brooklyn dans les bas quartiers

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Un vole de livres ? (Ft.Maeve Maloney) EmptySam 6 Juin - 18:37
Un vol de livres ?
[Maeve Maloney] & [Caleb Holloway]

Une brise s’installait lentement sur le quai, l’océan s’agitait et se rabattait sur les parois bétonnés. Il le savait, un jour, la nature reprendrait ses droits. Mais pour l’heure, un vent nouveau soufflait enfin.

Les pick-up noir étaient prêts, leur vitres étaient teintés, cachant le matériel, presque militaire à l’intérieur du coffre. Certains étaient facile à soudoyer. Le signal a été lancé par Dunkan, le chef de la bande. Un vieux frère, parmi les autres qui l’accompagnait. Mais dans les interventions, aucune amitié comptait, seulement le rendu final. Les moteurs tournaient, grondaient à vive allures jusqu’au centre ville. Manhattan serait touché ce soir, c’est dans cette partie de New-York que ce rendait Caleb. Son foulard noir, recouvrait son visage jusqu’au nez, un symbole en or y était gravé, deux gun de 9mn croisés, signe d’une mort instantanée.

Alors qu’ils roulaient dans les grandes allées, la pauvreté sur les trottoirs, scintillait dans l’ombre. Masqué par des fleurs et des sourires étranger. Ailleurs, les lumières illuminent les rues, des buildings à en perdre la vue, satisfaisant seulement les plus riches, qui pensaient être dans le love and peace. Il n’arrivait plus à voir la beauté qui s’en dégageait, rêvant d’un autre paysage, peut être un futur voyage, mais il avait bien peur que ce ne soit qu’un mirage.

Il se perdait dans ses pensées illusoires, alors qu’ils arrivaient enfin sur le lieu. Derrière sa vitre noir, il observait l’état de la chaussée puisqu’à quelques centimètres prêt, ils se seraient retrouvé bloqué dans une crevasse. Ironique comme situation, dérobant, un sourire espiègle à ses lèvres obstruer. Il sortait de la voiture, laissant Nick son coéquipier à l’intérieur. C’était un guetteur hors paire et surtout un as du volant.

- “Fait vite man, je veux pas trainer. J’ai un putain de rendez-vous après, d’ailleurs c’est quoi ce bâtiment, on braque des bibliothèque maintenant ? Man, magne toi sérieux je dois voir ma petite donzelle

Il changerait jamais ce Nick, toujours à poser ces rencontre tinder entre deux, trois coups. Leur duo était le plus appréciés, aucune prise de tête dans les affaires. Mais ces petits commentaires, arrachait un deuxième sourire à Caleb, amusait par les agissements de son meilleur ami. Ne perdant pas plus de temps, il prenait la direction d’une petite ruelle lugubre, elle était si étroite, qu’il jurait sentir les rats passés entre ses pieds. Les poubelles s'étendait en longueur, des déchets à même le sol dont les sac étaient déchirer. C’est souvent dans cette noirceur qu’il se sentait le mieux, à l’abris des regards indiscrets. Personne ne regardait réellement, ce qu’il s’y passait, la peur de voir des rêves idéologiques disparaitrent.

Une porte lui faisait obstacle mais pas pour longtemps. Entraînait à crocheter les serrures, il lui suffisait de quelques secondes pour l’ouvrir. Une chaleur presque étouffée s’en dégageait, lui donnant l’impression, qu’aucune forme de vie dites humaines, n’y avait mit les pieds depuis quelques jours. Il semblait être dans l’arrière boutique, quelques livres empilait les un sur les autres, étaient étalé sur des tables boisé. Des spores de poussière erraient dans la pièce, dégringolant sur des toiles d’araignées. En voyant ça, il remerciait Leyra, de lui avoir confectionnait son foulard, sans lequel il serait déjà en train de tousser ses tripes. Mais laissant les tripes pour les veaux, il allumait rapidement sa lampe torche pour y voir plus clair, tandis que la porte se refermait à son dos. Il s’introduisait à la perfection dans ces lieux, trouvant facilement la deuxième porte, qui lui permettait d'entrer dans la bibliothèque. Des rangées de livre bien ajustés, l’endroit était plutôt propre mais désertique. Prenant un excès de confiance, il allait droit au but pour ne plus tarder. Il tournait à droite, puis à gauche dans les rangers, finissant par trouver enfin le comptoir. Le boitier, avec toute les clefs à l’intérieur, lui facilitait drôlement la tâche, pour trouver le bureau du propriétaire. Quelques clefs tombèrent de leur crochets, joignant lourdement le sol, en libérant un petit écho métallique dans la pièce. Il ne s'alarmait pas, puisqu’il était seul de toute façon, préférant enjamber les marches de l’escalier centrale, pour se rendre au premier étage.

Quand il y repensait, Dunkan avait l’air un peu stressé durant la réunion de la veille, surtout pour la leur. Seulement, braqué une bibliothèque, c’est un jeu d’enfant pour eux, et il le savait. Malgré qu’il y avait un homme, qui y habitait normalement, il ne semblait pas être présent. Le champ libre de ce fait, il s'exécuta rapidement, sans faire attention au bruit qu’il pouvait causer, joignant le bureau déjà ouvert. Il y rentrait en allumant la petite lampe sur le bureau. Il apercevait assez vite, de la paperasse éparpiller dessus, et un cadre avec une photo de famille dès plus banales, il en était presque déçus. Mais ce qui lui tapait dans l’oeil, c’est le petit coffre bien dissimulait dans le bois, si il n’avait pas eu des consignes, il ne l’aurait surement pas vu. Déployant un genoux a terre comme un jeune marié, il maintenait dans sa main, un bout de papier dont l’encre était encore fraîche. Il y était annoter, le code du coffre fort bien garder.

Dans quelques secondes, il allait enfin savoir, pourquoi il était ici.
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Maeve Maloney
Maeve Maloney
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D.C : miss larsen - aka la maladresse

Un vole de livres ? (Ft.Maeve Maloney) Mlgc

Identité : née l'vingt mai quatre-vingt-quatorze à Bakersfield, CA ϟ vingt-six débuts d'étés ensoleillés à vagabonder ϟ américaine de souche

Activité : gérante de la N.Y Public Libraryn à Manhattan, par héritage ϟ avec pour but de terminer ce que son père avait commencé avant de disparaître de la surface du globe

Statut : célibataire ϟ a toujours rebondi après une rupture - l'une s'est soldée par un vol de voiture ϟ carpe diem

Logement : elle crèche dans un studio à China-Town, au dernier étage ϟ préfère dépenser peu dans son loyer et s'offrir d'autres choses à côté

Bon à savoir : en cours héhé...
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Un vole de livres ? (Ft.Maeve Maloney) EmptyDim 14 Juin - 16:46
Un vol de livres ?
Maeve Maloney & Caleb Holloway

Maeve avait passé la matinée dans son lit, à se ressasser les joyeux moments qu’elle avait vécu avec son père, maintenant défunt. C’était un mordu de littérature, qu’elle soit américaine, britannique ou encore française. Il avait prêté plusieurs bouquins à sa fille, au temps où il était encore en Californie à écrire des nouvelles qui parlaient de phénomènes surnaturels – il croyait beaucoup en ce genre de choses. Même la blondinette l’avait suivi dans ses croyances, alors que sa mère, elle, trouvait ça aussi bidon que la cure de désintoxication.
Lorsqu’il avait annoncé à Maeve qu’il partait rejoindre l’autre bout du pays pour poursuivre ses rêves de célébrité, elle avait été dévastée. Elle ne l’avait pas montré sur le moment, car elle ne souhaitait que le bonheur de son père. « S’il doit partir là-bas pour être heureux, je respecterai son choix. » s’était dit la blonde pour elle-même. Les aurevoirs avaient été durs, mais Maeve n’avait, en aucun cas, quitté son sourire lorsqu’elle l’avait vu passer la porte d’embarquement.
Il avait pris pour habitude de lui envoyer des cartes postales où trônaient les énormes buildings de la grande pomme. Parfois elles étaient accompagnées d’un petit souvenir, du genre le fameux tee-shirt « I Love NYC » ou un magnet de la Statue de la Liberté – des trucs de touristes quoi.

Donc pour elle, il était clair qu’elle allait redonner vie à la Public Libraryn et à toutes ces bibliothèques, quelque peu laissées à l’abandon après le départ – précipité – de son paternel. À commencer par la plus grande de Manhattan. C’était là qu’il avait stocké toutes ses affaires alors elle devait tout vider pour refaire de la place et mettre en ordre les rayons chargés de livres – et de poussière par la même occasion.

Elle ouvrit les rideaux et laissa le soleil taper son visage d’une douce chaleur. Le quartier était déjà bien animé à huit heures, entre les enfants qui couraient pour aller à l’école ou les voitures qui s’entremêlaient dans les étroites rues de China Town.
Maeve avait trouvé un petit studio en location dans cette zone de la ville. Il n’était pas cher, bien situé et l’immeuble grouillait de voisins chaleureux. Elle avait besoin de réconfort et d’entraide, surtout qu’elle visitait une nouvelle ville inconnue. Mais en soi, ça ne lui avait pas fait peur. Après tout, ce n’était plus la première fois qu’elle découvrait une nouvelle région, un nouvel état de ce pays. La liste des endroits de passage de la blonde était plutôt longue.

Trente minutes plus tard, bien décidée à nettoyer l’une des nombreuses bibliothèques, Maeve dévala les escaliers de la résidence pour atterrir devant sa Camaro rouge, garée contre le trottoir. Elle grimpa dans le véhicule puis vérifia sa mine dans le rétroviseur, avant de rouler à toute allure dans les avenues de New York. Elle en profita pour observer la vue qui s’offrait à elle, la brise fraîche du petit matin balayant sa crinière blonde.
Lorsqu’elle s’arrêta à un feu rouge, elle prit deux secondes pour regarder son téléphone et vit une notification d’un message de Judith, sa mère. Elle pouffa d’un rire nerveux avant d’appuyer sur l’accélérateur une nouvelle fois pour rejoindre Manhattan.  

Arrivée à l’endroit inscrit sur le GPS, la blondinette parqua sa voiture sur les places prévues pour le personnel de l’établissement. Ses clés en main, elle s’empressa d’ouvrir la porte principale d’entrée mais au moment même où elle franchit le seuil, une voix l’interpella à l’extérieur.

« Excusez-moi madame… auriez-vous des nouvelles de Sam ? » fit alors un petit garçon, âgé d’à peu près onze ou douze ans, avec son sac à dos sur les épaules.

Elle le toisa quelques instants, confuse de cette question soudaine, mais aussi en pleine réflexion d’une excuse euphémistique concernant la mort de son père. Se penchant doucement vers lui, elle lui avoua :

« Il est parti et ne reviendra pas. »

Maeve fut surprise de voir que le petit garçon avait vite compris l’arrière-pensée de sa réplique, puisqu’il baissa la tête et partit sûrement en direction de l’école. La jeune femme pencha la tête sur le côté avant de hausser les épaules et refermer la porte d’entrée derrière elle à clé – elle ne voulait plus être dérangée.
C’était parti. La blondinette s’était empressée de commencer le rangement et le ménage de cette grande bibliothèque. Elle avait vu sur un tableau que le personnel, habitué à bosser ici, était en congés et ne reviendrait que dans deux semaines – Maeve savait que ces congés étaient une simple ruse de son père pour partir en douce et ne prévenir personne. Sacré Sam… songea-t-elle suivi d’un soupir.

***

La journée passa relativement vite et les derniers rayons du soleil se logeaient sur les dos abîmés des livres du rayon « romans contemporains ». Elle avait rangé, épousseté, balayé chaque endroit à une vitesse folle et avec pour seule compagnie, le poste-radio qui passait des musiques actuelles – elle s’était même prise à se déhancher sur certaines. Après tout, la jeune femme était seule, elle avait le droit de profiter un peu.

La nuit était désormais tombée et le plus gros du rangement était fait. Satisfaite, Maeve regagna l’entrée de la bibliothèque, déposant les clés du bureau de son père dans une petite boîte au guichet d’accueil, là où elles les avaient trouvées au début de la journée.
C’est ainsi qu’elle ferma la grande porte principale à double-tours puis se dirigea vers sa voiture pour retourner chez elle, ayant pour objectif de passer avant chez le restaurant chinois pour prendre à manger.

Une fois sur la route, elle réfléchit, se posa des questions, essaya tant bien que mal d’en trouver des réponses… jusqu’au moment où elle eut un soudain déclic : celui de regarder dans son sac à main lors d’un arrêt obligatoire à un feu rouge. Elle avait oublié quelque chose, elle en était persuadée.
Et ce fut le cas. Son paquet de clopes trônait sûrement sur le guichet et elle l’avait laissé là, à l’abandon d’une fumeuse de longue date. Certains auraient dit que ce n’était pas grave, qu’elle récupèrerait son paquet de lendemain et que tout irait bien. Mais l’addiction était plus forte et elle ne pouvait pas passer une soirée sans sa cigarette de dix heures et demie.

Elle prit la direction inverse lorsqu’un rond-point se présenta à elle. Les traits de la bibliothèque refirent leur apparition et elle se gara en trombe sur le trottoir, se disant qu’elle n’en avait pas pour un long moment.
Erreur : Maeve tomba nez à nez avec un van noir, digne des plus grands films de gangsters hollywoodiens. Le chauffeur attendait patiemment, les yeux rivés sur son téléphone. Elle n’y fit guère attention, ne voulant pas laisser son encéphale lui jouer des tours sur un quelconque crime qui pourrait se produire dans sa bibliothèque. Elle se dirigea alors vers la porte d’entrée, qui semblait entrouverte, la serrure crochetée avec la plus grande des finesses. La blonde ferma la porte derrière elle d’un mouvement extrêmement silencieux, pour éviter de se faire entendre par la personne qui s’amusait à fouiller le lieu. L’inconnu(e) espérait trouver quoi à part des livres, des livres et encore des livres ?

Elle s’avança à pas feutrés dans l’enceinte du bâtiment. Evidemment, il faisait sombre, à part dans un seul endroit : l’ancien bureau de son père et accessoirement, le sien. Ses sourcils se froncèrent et sa marche se fit sans attendre en direction du dit bureau. Qui était donc cette personne qui s’amusait à fouiller dans les affaires de son père ? Pourquoi avait-elle l’impression de ne pas être au courant de ce qui se tramait ? Son père lui aurait-il caché des choses ? Elle ne pourrait plus le savoir puisqu’il avait emporté ses secrets avec lui dans sa tombe.

Maeve se tint alors dans l’embrasure de la porte du bureau, ses sourcils relevés et son regard rivé sur l’individu à terre, en train de remuer les plaquettes de bois. Elle se râcla subitement la gorge et demanda, d’une voix claire et sans crainte :

« J’te dérange pas j’espère ? »

Puis elle enchaîna :

« Ce n’est pas dans cette pièce que tu trouveras du Shakespeare, du Molière ou du Edgar Allan Poe… si tu veux j’te montre où est-ce qu’ils se trouvent ? »
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Caleb Holloway
Caleb Holloway
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Identité : Caleb Holloway

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Un vole de livres ? (Ft.Maeve Maloney) EmptyMer 1 Juil - 17:17
Un vole de livre ?
[Belle] & [La bête]

Le temps passe si vite, que parfois, nous nous retrouvons piégés à l’intérieur. Cette fois, le piège était différent..

La planche boisé qu’il venait de retirer, rejoignait déjà le sol, exposant de ce fait, un coffre fort dissimulé dans le bureau. Il y avait à son dessus une plaquette en fer, comportant seulement des chiffres et un écran digital. Il devait inscrire le code, afin d’en découvrir la richesse qui s’y cacher.

A chaque intervention qu’il faisait, lorsqu’il était nez à nez avec un coffre de petit ou grand calibre, il se prenait souvent pour Esteban avec sa cité d’or. Un feuilleton plutôt ancien, qu’il avait prit l’habitude de regarder avec sa grand mère, maintenant défunt. Il associait souvent ses souvenirs, à son activité d’aujourd’hui. Une manière comme une autre, de justifier les voles, les braquages et autres crimes qu’il avait fait. Mais le plus important pour lui, c’était de pouvoir subvenir à ses besoins, il n’était pas égoïste, malgré, qu’on pouvait croire le contraire, vu qu’il dérobait les bien des autres. En réalité, il n’avait pas le choix, la survie, voilà son rythme de vie, il l’avait adopté depuis son enfance, et aujourd’hui, il en ressortait vainqueur. Sa richesse, malgré qu’elle soit noir, dominer la plupart des New-Yorkais qui se prétendait millionnaire.

Il rejeta ses souvenirs un instant, pour se concentrait dans sa mission, qu’il avait hâte de terminer à vrai dire. Un craquement se faisait entendre soudainement, ce dernier provenait du couloir, révélant une présence dissimulé derrière la porte, qui était entre ouverte, surement en train de marcher dans sa direction.

- “Merde

Il avait comprit, c’était trop tard, le bruit qu’il venait d’entendre, était en réalité juste à côté de lui. Sa réaction était spontané, car il le savait, le début des emmerdes allait commencer, le propriétaire des lieux venait de débarquer, pourquoi son ami ne l’avait pas prévenu. Au lieu de ça, il allait devoir être violent, une nouvelle fois, pour récupérer ce qu’il était venu chercher. Heureusement, ce n’était pas un casse ordinaire, prémédité, afin de reprendre ce qu’ils leur appartenaient. Il était comme couper en deux, le bureau lui arrivait vers l'épaule, masquant le reste de son corps. Il entendait la porte s’ouvrir de quelques centimètres, assez pour créer un couinement, on pourrait croire, qu’il allait paniquer, mais au contraire, il ne bougeait pas d’un poil comme si sa présence était justifié. Mais sa surprise, n’était pas d’avoir été découvert mais plutôt, qui l’avait découvert. Une voix douce parcourait la pièce, malgré qu’elle était quelque peu éraillé.

- “J’te dérange pas j’espère

Il aurait voulu répondre, qu’en effet, elle le dérangeait légèrement dans son action, et pourquoi elle était ici, mais elle enchaînât assez vite avec une autre phrase, totalement à l'opposé de l’ancienne.

- “Ce n’est pas dans cette pièce que tu trouveras du Shakespeare, du Molière ou du Edgar Allan Poe… si tu veux j’te montre où est-ce qu’ils se trouvent ?

Elle faisait vraiment de l’humour, étrangement, ça lui faisait légèrement rire, l’audace de cette personne, alors qu’elle était clairement en train de voir un cambriolage, sous ses yeux. Un léger souffle, sortait de ses trompes nasales, ce qui cachait intérieurement, son amusement face à la situation.

- “A vrai dire, je préférerais un petit Banksy gravé quelque part, mais je pense, que tu ne vois pas de qui je parle. Ou peut être encore...Os Geomos ?

Il vient à se redressait, en même temps qu’il se mettait à parler, sa voix portante, était légèrement enroué, dénichant un ton quelque peu joueur, lorsqu’il répondait sans attendre, à la jeune femme. Une assurance dégageait de sa personne, au lieu de fuir, lui, se tournait naturellement vers elle, comme ci il était en train de la dénigré, déçus, de son assaut furtif, auquel, il n’avait pas eu peur. Mais, c’est en la voyant pour la première fois, qu'il fut réellement surpris. Celle ci se tenait adroitement devant lui, avec un regard perçant, qu’il se noyait presque dans l’océan de ses yeux. Des belles boucles blonde, tombaient au niveau de ses épaules, ce qui affinait les traits déjà fin de son visage. Oui, il était clairement en train de la “mater”, là juste devant elle, sans aucune gêne, aucune expression faciale en ressortait. Seulement son regard, perlait la silhouette de la jeune femme, sans passé par ses courbes dites “intimes”, il préférait davantage le charme puissant qu’elle dégageait, qu'à ses formes, même si elles étaient attrayante. L'obscurité de son regard, s'éclaircissait en quelques seconds, ses pupilles finissaient par se dilater, comme ci il venait de voir, un diamant brut devant lui.  
Malgré cela, Il devait  garder en tête, la mission qu’on lui avait confié et il devait faire vite, mais voilà maintenant, cette jeune femme qui lui barrait la route, il préférait la voir elle, que ce bon vieux vieillard qui fréquentait habituellement l’endroit. Seulement, pourquoi elle était ici, sachant qu’elle n’habitait pas là, était ce une autre pileuse, qui avait entendu parler d’une certaine fortune dans ces lieux propice, habituer au silence.

- “Qu’est ce que tu fais ici, surtout maintenant. Les filles comme toi, sont pas censé faire la fête avec leur copines à cette heure ci?

Il était à l’aise, et il ne savait pas non plus, qui se tenait devant lui, il lui manquait presque de respect en la jugeant, une certaine habitude qu’il prenait, pour tester le caractère des filles qu’il accostait. Il se montrait tout le temps froid, fermer à la discussion même si quelqu’un lui plaisait, comme ci il voulait jamais paraître intéresser ou faiblard devant les autres. Quelque peu sec dans sa fin de phrase, il n’avait pas non plus le temps de bavarder, malgré qu’elle était complètement à son goût. Le foulard qu’il portait, masquer la moitié de son visage, montrant seulement ses iris ébène, parsemait d’une légère nuance de couleur, qui tournait vers le jaune. Son regard était fermé, souvent sombre, endurci par ses sourcils épais, qui lui apportait de la profondeur. Il s’étendait derrière le bureau, attendant des réponses de sa part, malgré qu’il montrait, une légère envie de finir ce qu’il faisait, pour pouvoir partir.
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