La mi-temps

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and if we climb this high, i swear we'll never die.

he's out his head, i'm out my mind,

we got that love, the crazy kind.

i am his, and he is mine.

in the end, it's him and i.

Une âme soeur.

C’était une notion bien étrange bien que réelle. Pendant longtemps, là belle blonde avait d’ailleurs eu du mal à croire que ce genre de chose puisse être possible. Autant se l’avouer; Willy était une fleur bleue, amoureuse de l’amour. Elle tombait amoureuse, ou en tout cas pensait tomber amoureuse en un claquement de doigt et chaque homme qu’elle fréquentait était soi disant l’homme de sa vie - alors qu’au bout de quelques mois maximum elle se lassait et se retrouvait de nouveau célibataire. Tout ca pour dire, que pour une femme comme elle, qui changeait presque d’hommes comme de vêtement, c’était difficile de croire qu’une seule personne pouvait lui correspondre.

Et pourtant.

Elle avait vite changé d’avis, lorsqu’il y a maintenant quelques années, elle avait fait là connaissance de Ronnie. Ronnie était basiquement celui qu’elle qualifiait comme tel, et elle n'hésitera pas à le dire ouvertement. Oui, il était cette fameuse âme soeur dont tout le monde parlait mais dont personne ne comprenait là signification jusqu’à le découvrir. Ronnie était basiquement tout ce dont elle avait besoin dans sa vie, et elle l’aimait d’une manière qui pouvait paraître étrange. Elle même était incapable de mettre des mots dessus, parce qu’il représentait quelque chose de spécial. Elle l’aimait plus que par simple amitié et l’amour qu’elle lui portait était bien différent dès fois ou elle était tombée amoureuse. Y avait quelque chose de spécial, un lien qui les unissait qu’elle ne pouvait simplement pas expliquer et à l’instant où il était entrée dans sa vie, elle savait qu’il ne pourrait plus en sortir. On la questionnait souvent, bien trop souvent sur la nature de leur rapport et bien qu’ils aimaient mettre le doute, elle restait incapable de pouvoir y repondre concretement. Parce que c’était indescriptible ce lien qui les reliait.

Voilà pourquoi quand il lui avait envoyé un message pour lui signaler qu’il avait besoin de là voir, elle n’avait pas pris en compte les nombreuses heures de voyage, le peu de sommeil qu’elle avait pu avoir, les choses diverses qui entraient en compte et qui faisait qu’elle était actuellement épuisée. Elle s’en fichait, elle dormirait quand elle serait six pieds sous terre. Non, là blonde n’avait pas besoin de ca, et lui, il semblait avoir besoin d’elle. Alors elle répondait présent, comme d’habitude.

Ainsi, elle prend à peine le temps de déposer sa valise dans sa chambre qu’elle s’active déjà. Les longues heures de vol l’on épuisées et elle sent que son corps réclame du sommeil, mais qu’importe, elle puise sur ses ressources. Parce que c’est Ronnie. Parce qu’il ferait pareil pour elle. Elle prend le temps de passer chez sa voisine, pour lui déposer quelques billets vert, en éternelle guise de remerciement pour avoir pris soin de son chien dont elle restait inséparable - mais les restrictions des compagnies aériennes l'obligeait à devoir voyager sans lui. Elle se change ensuite rapidement, troquant son vieux jogging de voyage pour un simple short et un chemisier. Si en soit, elle savait que le brun n’en tiendrait pas compte elle même se sentait déjà plus à l’aise.

Et enfin, elle commande les pizzas. Trois exactement, vu qu’ils n’arrivent jamais à se mettre d’accord. C’était devenue routine, ils commandaient les trois et mangeaient des parts des trois pour qu’ensuite chacun reparte avec des restes. Puisqu’ils en avaient les moyens, pourquoi perdre du temps à commander dès satanés pizzas quand ils pouvaient avoir les trois ?

Et ainsi la belle se laisse tomber dans son canapé. Elle lance là playlist spotify par le biais de sa télé et ce fond sonore avec Spock qui vient s’asseoir sur ses genoux, elle s'assoupit. Littéralement. Pourtant, elle est vite ramenée à la réalité quand la sonnerie retentit. Elle se réveille, en sursaut, prenant quelques secondes pour réaliser ce qui se passé. Et la voilà, qui accourt jusqu’à la porte suivie de près par son cavalier king charles pour finalement ouvrir la porte. Un immense sourire s’affiche sur les lèvres de là blonde lorsqu’elle voit le brun là, sur le pas de sa porte et c’est sans attendre qu’elle se jette dans ses bras. “Baby!” qu’elle clame avec joie tandis qu’elle s’accroche littéralement à lui. Sa présence à toujours été un moyen d'égayer ses journées même dans les pires situations. “Je suis trop contente de te voir!” Et le pire, c’est que la dernière fois en date ne remontait pas à si longtemps. Juste avant son départ pour Paris qui date d’il y a à peine une semaine. Willy, peut-être trop dépendante affective ? Possible. Mais au final, elle à besoin d’personne d’aucun homme. Juste de Ronnie.

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willy & ronnie.

and if we climb this high, i swear we'll never die

Intérieurement tu étais tout excité. Tu attendais ce moment avec impatience. Tu avais tourné en rond chez toi pendant plusieurs heures ne sachant pas trop quoi faire. Alors tu avais fais le ménage. Le grand ménage. Plus aucune poussière, plus aucune tâche ... que du propre ! C'était un vieux tic que tu avais toujours eu. Quand tu ne savais pas quoi faire, il fallait que tu ranges. Pourtant de base, t'étais pas quelqu'un de très ordonné dans ta vie, plus du genre à vivre qu'à prévoir. Mais quand tu étais impatient, il fallait t'occuper pour que le temps passe plus vite. Et pourtant, ce dernier passait toujours plus lentement selon toi.
Une fois le nettoyage finis, tu t'attaques à ton dressing. Tu fais le tri de vêtement que tu ne portes plus, que tu n'aimes plus et que tu vas surement donner. Le temps que tu finisses ton dressing, qui était quand même assez conséquent comme quoi il n'y a pas que les femmes qui ont un énorme dressing, ton téléphone sonne. C'était un réveil que tu avais mis afin que tu commences à te préparer. Et c'est ce que tu fis. Une douche rapide, une selection de vêtement simple et rapide vu que juste avant tu avais fait le tri. Tu enfiles donc un jean, un tee-shirt gris foncé et une veste en cuir noir avec des basket nike blanche. Simple et décontracté. Tu attrapes tes papiers les plus important et tes clés puis tu quitte ton beau duplex pour prendre la direction d'un Walmart.

Une fois à l'intérieur, tu regrettes de ne pas avoir pris des lunettes ou ta fameuse casquette que tu aimais bien porter, et pas seulement pour te faire plus discret. Tu as à peine le temps de mettre deux packs de bières dans ton chariot que de jeunes ados viennent te demander des photos. Avec un petit sourire de circonstance, tu acceptes les selfies. D'abord un, puis deux, puis cinq, et puis dix. Tu te rends compte que de quatre-cinq ado ... te voilà entouré d'une foule. Gentiment, tu fais comprendre que tu voudrais faire tes courses et c'est pourquoi tu ne feras plus de selfie. La sécurité du magasin est obligé d'intervenir pour disperser la foule. Et pendant le reste de tes amplettes, tu es épié et pris en photo par des inconnus. C'était un quotient pour toi mais ça n'en resté pas chiant quand même. Tu resors donc de ce Walmart avec deux pack de bière, un bouteille de rhum don papa et une bouteille de vin, le préféré de @Willy Carlson

En même pas vingt minutes, tu te retrouves devant l'appartement de ta blonde favorite. Ce n'était pas la première fois que tu venais ni la dernière, mais cela faisait bien une bonne semaine que tu n'avais pas mis les pieds à l'intérieur. Tu connaissais l'appartement et sa propriétaire par coeur. Toi qui n'étais pas vraiment branché amitié homme-femme, avec Willy c'était bien au dessus de ça. C'était la femme de ta vie, littéralement. Aucun être au monde n'était plus important que cette belle blonde. Bon il y avait bien ta fille Jocelyn, mais pour le moment, elles étaient au même niveau. Toutes deux très importante, même si tu avais un peu merdé avec Jo. Sans plus attendre tu sonnas à la porte et ta personne favorite sur terre vient t'ouvrir. Ton sourire se dessine en même temps que le sien. Et tu as à peine le temps de le voir, que Willy fonce déjà sur toi. Tu l'attrapes au vol et la serre fort contre toi. Heureusement tu avais eu la brillante idée de déposer tes sachets de course avant qu'elle n'ouvre la porte. Tout en souriant tu l'as fis tourner avec toi tout en continuant à la serrer contre toi. « Je suis content de te voir aussi ... tu m'as trop manqué ! » Et c'était la vérité. Une semaine avait suffit pour ressentir le manque de Willy. Tout en parlant, tu avais enfouis ton visage dans ses cheveux. Refusant de la lâcher, tu attrapas ses jambes pour qu'elle les enroule autour de toi. Comme cela, elle faisait deux bonnes têtes de plus que toi et tu étais obligé de te tordre le cou pour la regarder dans les yeux. « J'espère que tu m'as pas oublié à Paris ! » Tu savais que ce n'était pas le cas vu que même quand elle étais à Paris vous vous étiez appelé. Tu avais constamment besoin d'elle et encore plus quand Willy était loin de toi. Votre relation était comme ça. Forte, fusionnel et inexplicable aux autres. Nombre de personne vous pensez en couple mais comment expliquer aux gens de l'extérieur que vous étiez bien au dessus de l'amour, de l'amitié ou de la fraternité ? D'une main, tu lui attrapes la nuque pour qu'elle se penche vers toi afin que tu lui déposes un baiser sur la joue avant de la relâcher enfin. A vos biens, le chien de Willy aboie gentiment tout excité. Tu te penches pour le caresser gentiment en lui disant : « Mais oui, toi aussi tu m'as manqué ! » Puis en te relevant tu récupères les courses qui étais resté en extérieur avant de refermé la porte derrière toi. Tu glisses un bar sur les épaules de la jolie blonde pour l'attirer vers toi. « Je suis vraiment content de te retrouver ! On a vraiment pleins de chose à rattraper ! » dis-tu en montrant tes sachets contenant les boissons. En vérité il ne s'était pas passé grand chose depuis son départ, mais tout était une prétexte de rattraper le temps avec mademoiselle Carlson, sous-entendu boire comme des trous et manger comme des gloutons !

AVENGEDINCHAINS

» Please not you again ft Ronnie
» Bon appétit bien sûr !!! ft Ronnie
» ¤Los Angeles¤ The Big Bang |Ronnie|
» Profite du balcon |Ronnie|
» Allons à la plage... ou pas ft Ronnie

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and if we climb this high, i swear we'll never die; ronnie&willy.