La mi-temps

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Houston, we have a problem

Comment est-ce qu'elle en était venu à être dans cette rame de métro ? Elle avait beau se refaire la journée minutes par minutes, elle n'arrivait à se dire que tout aurait pu être différent. Elle s'était levé aux aurores, s'était préparé pour aller chez CBS pour une réunion annonçant les prochains invités. Elle avait envie de sang neuf pour avoir une nouvelle audience même s'il y avait déjà beaucoup de personne qui regardait l'émission. Elle avait eu le feu vert de ses patrons et était repartie du building avant de passer à Burger King pour se prendre un sandwich pour le midi.

C'est en voulant repartir chez elle que tout avait été chamboulé...

Quoi prendre pour aller plus vite ? Le taxis? A cette heure, elle n'était pas prête d'arriver chez elle et sa mal-bouffe serait alors froide...UN pousse-pousse? Elle ne se voyait pas dedans, elle avait toujours eu peur d'être trop grosse pour les gens qui tiraient la bécane. Il ne restait plus que le métro. Alexie n'avait jamais été friande de ce transport car elle n'avait pas un bon sens de l'orientation mais aussi parce que le métro de New York était réputé pour être hanté et ça, elle ne le supportait pas.

C'était donc à reculons qu'elle était descendu dans la bouche et avait emprunté le premier métro qui la reliait à son appartement dans Brooklyn. Et c'était à présent pour cela qu'elle était coincé entre une jeune femme qui parlait avec ses copines, un casque sur les oreilles, et une personne qui mangeait ses crottes de nez. Ouais...Le métro n'était vraiment pas fait pour elle...

Heureusement, elle avait été à sa réunion qu'en simple jean et chemise, du coup, elle se fondait un peu dans la masse, même si quelques personnes l'a regardait de temps en temps. Elle était même certaine qu'il y avait eu des photos de prise. Mais globalement ,mise à part la mauvaise odeur de renfermé, tout roulait, même le métro...

Mais d'un coup, le wagon ralentissait et s'arrêtait sur la voie. Alexie ouvrit de grand yeux alors qu'une voix presque inaudible mais très forte indiquait que le métro était arrêter pour un laps de temps indéterminé...Sauf Fast food allait vraiment être froid en sortant d'ici...

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Alexie + Clayton

Le métro ... c'est un étrange sentiment d'y être.

Toute ma matinée c'est très bien passé entre entraînement … Repos, puis en même temps conversation avec le coach qui essaie de bien me mettre la pression sur le fait qu'à Winbledon il faut que je fasse mieux qu'à Roland Garos … S'il savait dans le fond, je le sais très bien et si je veux être mieux classé, il faut que je me donne à fond, c'est pour ça que je ne râle jamais quand il y a entraînement. Enfin après avoir terminé tout ça, je suis rentré chez moi, j'ai pris une bonne douche, puis alors que je suis partie dans le centre ville, je réalise que j'ai oublié mon téléphone chez moi, cela veut dire que ça fait déjà plus d'une heure que je suis sans téléphone … Ce n'est pas si grave, mais comment je fais pour appeler un Uber pour venir me chercher? Je m'insulte, franchement je peux être un peu stupide.

Voilà comment je suis arrivé là … dans le métro, ce n'est pas mon habitude, mais quand il le faut, il le faut, alors que je m'enfonce dans la bouche de métro, je viens à acheter un billet … je ne sais même pas dans quel bouche de métro je dois m'arrêter pour aller chez moi … Enfin, j'ai l'air d'être un vrai débile, je me pose quelques minutes, j'essaie de me souvenir, ayez … je demande un ticket pour le quartier résidentiel, puis alors que je me dirige … Au final … Le métro, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas.

Je me suis assis à côté d'un groupe, je me suis fais ma place, je suis habillé d'un jean et tee-shirt et dans le fond, ce n'est pas plus mal, j'aime être comme n'importe qui... Et là pour prendre le métro, je trouve que j'ai été parfait dans le choix vestimentaire, je me mets à regarder autour de moi et je réalise qu'une femme est à côté de moi, odeur délicieuse qui sort de son sac, je vois que c'était du Burger King. Je me mets à sourire légèrement, alors que la rame de métro ralenti et on pouvait entendre que l'arrêter aller être indéterminé, je fais la grimace, la pauvre, il y a forte chance qu'elle mange froid.

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Alexie allait devoir encore attendre avant de ne plus sentir cette odeur de transpiration. Pendant un instant,elle cru que c'était la sienne, elle sentit brièvement et discrétion près de ses dessous de bras et comprit que c'était bien l'homme qui était à ses cotés quand il décida de changer de place pour se mettre à coter d'une femme qu'il connaissait. La voix du métro retentit et indiqua que le tube resterait bloqué au moins dix minutes.

Alexie poussa un soupire avant de regarder les gens qui était dans le même wagon qu'elle. Elle avait la chance d'être assise quand d'autre semblait exténué de devoir attendre avant de se poser chez eux. Elle grimaça un peu avant de porter son regard sur son sac de Burger King. Elle hésita un instant avant de prendre une frite.Malheureusement,alexie n'est pas très adroite et sa frite tomba aux pieds d'un jeune homme en jean après avoir rebondit sur lui.

En le regardant plus franchement,elle remarqua que c'était un visage familier, elle ouvrit la bouche mais ,comme ils étaient entouré de gens,elle ne préféra pas attiré l'attention sur lui,il voulait peut être passer incognito. ''Désolé pour la frite'' lui avait elle dit un peu gênée.

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Alexie + Clayton

Le métro ... c'est un étrange sentiment d'y être.

Ce qui est « chiant » dans les transports en commun, c'est que lorsque c'est l'heure de pointe, il y a blindé de gens et tu dois faire face a beaucoup d'imprévu … Déjà la première, c'est qu'on te bouscule pour passer, ensuite, tu n'as pas de place pour t'asseoir et parfois quand tu es debout et qu'il y a du monde, tu as le nez prêt des aisselles des gens et je peux dire qu'après une journée ou alors une matinée chaude … ça ne sent pas la rose. Enfin je dis ça, mais même quand tu es assis tu peux sentir l'odeur. C'est alors qu'on arrive à une station, ça se vide, très rapidement, j'entends la voix qui nous prévient que ça sera bloqué au moins dix minutes, je fais la grimace.

Enfin alors que je sens quelque chose me tomber dessus et tomber à pied, je baisse alors la tête et je vois une frite à mes pieds, je relève la tête, c'était la jeune femme qui avait un sac de « Burger King » je me mets à sourire, je me doute qu'elle ne l'avait pas fait exprès, du moins je l'espère parce que ça serait méchant de sa part de lancer de la nourriture alors que tant de gens manquent d'alimentation. Je me mets à sourire lorsque je vois qu'elle ouvre la bouche en grand, je lui adresse un sourire sympathique.

« Ce n'est pas grave … j'ai l'habitude qu'on me lance des frites. » Je lui fais un clin d’œil comme pour la taquiner, ce n'est pas vrai bien sur, heureusement d'ailleurs parce que ça serait cruel pour moi … évitant un maximum les fast-foods si on me lancerait toujours des frites, j'aurais envie de les manger. Je décide de me mettre à côté d'elle, il y avait de la place vue que l'homme qui était à ses côtés est parti voir ailleurs. « Mais vous savez si vous n'avez pas envie de manger il ne fallait pas prendre la frite. » Je me mets à rire.

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Décidément, il aurait sans doute été mieux de prendre un taxi, même si la circulation à New York était mauvaise, au moins, elle serait sans doute déjà arrivée à destination. Pour une fois, elle avait voulu faire comme tout le monde et voilà qu'elle était coincée ici avec son sac de nourriture et pas question de le laisser refroidir! Pour une gourmande comme Alexie, c'était impensable!

Ainsi, elle avait commencer à manger une frite, puis une deuxième mais c'était sans compter sur sa maladresse légendaire, d'un coup, une frite tomba sous le pied d'un jeune homme. Heureusement, il le prit bien et sa honte se transforma en sourire un peu amusé. Elle observa un peu plus le jeune homme et le reconnu rapidement. Il s'agissait d'un joueur de Tennis, elle l'avait déjà vu à la télévision en zappant, le sport n'étant pas son programme préféré. Elle n'arrivait pas à remettre un nom sur son visage alors elle allait jouer la sécurité.

"Je pensais que c'était des balles de tennis qu'on vous lançais le plus" avait-elle dit en riant un peu avant de ramasser la fameuse frite et de la mettre dans un papier pour la jeter plus tard à la poubelle. Elle lui avait fait un clin d'oeil avant de faire la jeune femme faussement outrée. "Oh mais c'est inimaginable pour moi de prendre quelque chose que je ne mangerais pas!" Elle se mit à rire un peu. "Je suis quelqu'un qui aime beaucoup trop manger, même mon père me le dis et c'est pas n'importe qui! Quand je vais dans son restaurant et qu'il le sait, il me prévoit au moins trois tacos pour que j'ai de quoi tenir la journée!" avait-elle dit amusée.

Alexie avait un appétit d'ogre, ce qui était insolite car son corps ne montrait pas son estomac sans fond et elle remerciait à chaque fois ses parents de lui avoir donner ce don de ne pas grossir. Elle pouvait manger deux fast food dans la même journée, le lendemain, elle perdait limite du poids. Elle regarda le jeune homme et lui tendit son sac "Pour éviter qu'elles ne s'évade, vous voulez des frites?"

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Alexie + Clayton

Le métro ... c'est un étrange sentiment d'y être.

Faire comme le commun des mortels n'étaient pas toujours une bonne chose, la preuve, la pauvre demoiselle avait perdu une frite, bon ça avait permis à ce qu'on discute un peu. Je ne sais pas si je serais capable de m'habituer à prendre les transports en commun, non pas que ça me dérange ou que je n'aime pas être en contact de la population, mais j'avoue que c'est souvent blindé et du coup on ne peut pas être à l'aise, surtout à cette heure-là.

Je ne suis pas du genre à agresser les gens, non, je crois qu'on m'a déjà fait pire, une fois, je me souviens, je sortais d'un match de tennis que j'avais perdu et … on m'a lancé une tomate sur mes fringues, j'avais envie d'aller attraper mon « agresseur » et lui régler son compte, mais par chance, mon entraîeur m'a forcé à monter dans la voiture et d'aller à l'hôtel, je ne supporte pas qu'on soit agressif avec les gens, surtout que j'avais déjà eu le droit à beaucoup de haine, surtout à cause de mon homosexualité, j'ai même pensé arrêter le tennis, mais là … Je n'allais pas engueuler la jeune femme parce qu'elle a fait tombé une frite sur ma chaussure, non ce n'était pas si grave que ça et puis je trouve que c'est assez comique, j'aurais pu dire autre chose comme : oh mais si vous voulez que je vous adresse la parole il suffisait de me dire « Bonjour », mais j'ai décidé d'avoir une autre approche.

Je suis habitué à ce que les gens qui ne sont pas des fans de « Clayton Master » ne me reconnaisse pas toujours, mais là, bizarrement, le fait qu'elle me parle de balle de tennis, je me dis qu'elle me connaissait peut-être, ce qui me fait sourire, je dois bien avouer que ça me faisait du bien de tomber sur quelqu'un qui avait l'air de connaître ma passion. « OH entre chose … J'ai l'habitude aussi qu'on me lance des balles de tennis. » JE me mets à sourire. Je peux voir que la jeune femme est quelqu'un de propre, il faut dire que c'est important de respecter notre planète, oui, elle ramasse sa frite et la met dans du papier. Je peux voir que la jeune femme avait l'air d'être outré par ma phrase, mais à la fin de sa phrase, elle se met à rire, ce qui me détend, je n'avais pas envie qu'on interprète mal mes phrases. « Ah … vous êtes du genre à adorer manger ? Je vous comprends parfaitement. » J'ouvre grand les yeux, lorsqu'elle me parle de son père et qu'il lui préparer trois tacos. « Ah oui … Effectivement, vous êtes une bonne mangeuse. » Dis-je en souriant.

Alors que je suis assis à côté d'elle, je me mets à sourire lorsqu'elle me tends son sac, elle n'avait pas peur que je pioche dedans, je dois avouer que j'adore le Burger King, c'est un de mes fast-food préféré, même si j'avoue que je ne peux pas en profiter comme tous ceux qui n'ont pas envie de se prendre la tête à se faire à manger et qu'ils y vont, j'ai un repas très stricte, même si je dois bien avouer que parfois je me fais plaisir, je me mets à sourire alors que j'attrape son sac et que je le tiens bien fermement. « D'accord … J'ai trouvé ma mission. » Dis-je en souriant, puis je décide de tendre ma main dans sa direction. « Je m'appelle Clayton Master et quel est le nom de cette charmante demoiselle qui aime bien manger ? »

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Alexie était du genre sociable d'habitude, pourtant, dans le métro, tout avait l'air si lugubre qu'elle n'arrivait jamais à parler à qui que soit. En même temps, à qui parler quand tout le monde était soit sur son téléphone soit avec des écouteurs dans les oreilles. Les seules personnes apte à parler semblait souvent très louche alors elle évitait de les saluer.

En faisant tomber sa frite, elle était tomber sur Clayton Master, oui, elle se souvenu de son identité en cherchant bien loin dans sa mémoire. Elle ne connaissait pas toutes les stars de New York, elle était plus connaisseuse des acteurs et chanteurs. Les sportifs, c'était plutôt du domaine de Gabriel, son ami d'enfance. D'ailleurs, elle se souvenu d'une conversation où il lui avait parler d'un tournoi et où ce jeune homme avait perdu de justesse. Elle se souvenait encore avoir eu son tacos dans son assiette et être agacé de ne pas pouvoir le manger car il lui parlait.

Quoiqu'il en soit, elle l'avait reconnu mais pour éviter les foules, elle lui avait simplement sous-entendu la chose. Se mettant à rire quand il confirma qu'elle ne s'était pas trompée. "Tant que vous ne me l'a renvoyé pas en Smash, ça me va!' avait-elle dit amusée. Elle se mit à rire doucement. "Pour ma défense, c'est parce que mon père fait les meilleurs tacos du monde" avait-elle dit avec un clin d'oeil.

La place à ses côtés se libéra et le jeune homme s'empressa de venir la prendre avant de prendre le fameux sac de Burger King et de piocher dedans. Puis il se présenta. Elle fut tout de même surpris , sans le montrer, qu'il lui demanda son nom et prénom. "Enchantée Clayton, moi c'est Alexie. Alexie Miller. " La voix du métro se fit entendre et diagnostiqua une panne de trente minutes, elle soupira avant de regarder le tennisman. "Je crois que c'est la première fois que je mange dans le métro comme ça!" elle se mit à rire avant de prendre quelques frites.

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Alexie + Clayton

Le métro ... c'est un étrange sentiment d'y être.

Contrairement a ce qu'on pourrait croire, je suis quelqu'un de très facile à approcher, je n'aime pas mettre des barrières avec les gens, surtout ceux qui m'approchent gentiment, qui veulent juste une photo et discuté avec moi, je sais aussi que beaucoup de fan de Tennis n'ose pas m'approcher de peur à ce que je sois méchant avec eux, alors que ce n'est pas le cas, sur les réseaux sociaux, je suis du genre à répondre à tous, bon ça prend aussi beaucoup de temps, mais j'y parviens, je reçois aussi énormément de lettres et je peux dire que ce n'est pas toujours facile de répondre à tous, il y a des fois, je reçois une lettre où une personne m'indique que c'est bientôt son anniversaire et qu'il aimerait bien me rencontrer … Malheureusement, parfois le temps que je lis la lettre c'est trop tard, alors généralement, si on me laisse le numéro, j'appelle en leur proposant de venir voir un match de tennis -le mien- et de me rencontrer à la fin tout a mes frais, je gagne quand même assez bien, avec les tournois que j'ai remporté et mes sponsors donc ça ne me dérange pas, mais j'avoue que dans le métro, je suis du genre à essayer de prendre mes distances, on ne sait jamais et puis je ne suis pas un habitué de ce genre de transport, mais finalement, je suis ravi de l'avoir fait aujourd'hui.

Même si Alexie m'a « agresser » avec sa frite, je sais qu'elle n'a pas fait exprès et que ce n'était pas une diversion pour qu'on discute, j'avais réellement l'impression que la jeune femme était très … maladroite ça me fait surtout sourire, je suis parfois très maladroit, c'est pour ça que mon entourage ne met jamais de verre à côté de feuille ou d'ordinateur … je suis une catastrophe ambulante parfois. Je me mets donc à la regarder et je me mets même à rire lorsqu'elle me répond que tant que je ne lui renvoie pas en Smash … « Je pourrais le faire … mais je viserais le plus loin de vous pour marquer quinze à zéro. » Je me mets à rire légèrement. Je me mets à sourire une nouvelle fois lorsqu'elle me parle de son père qui est celui qui fait les meilleurs tacos du monde. « Alors il faut que je tente de goûter les tacos de votre père … Donnez-moi l'adresse. » Dis-je en la regardant dans les yeux, mais contrairement à quelques secondes auparavant, je suis très sérieux. Je sais qu'on doit se dire qu'un sportif doit faire hyper attention à sa ligne …. Ouais, mais on peut aussi se faire plaisir de temps en temps.

Comme la place à côté de la jeune femme s'était libérée, je me suis mis installer à ses côtés et je me suis permis de prendre son sac du Burger King, et je me mets à la regarder lorsqu'elle commence à piocher dedans. J'aime savoir a qui je m'adresse, je suis un être humain et les relations humaines sont très importantes. « Enchanté Alexie. » Je fais la grimace lorsque la voix du métro prévient qu'il y a un problème et que la panne devrait durée trente minutes, je ne suis pas presser, mais tout de même, je préfère être à l'extérieur qu'à l'intérieur du métro. Cependant, heureusement que je suis en charmante compagnie. « Ah … et ça va … ce n'est pas bizarre ? J'ai déjà mangé dans un avion, dans une voiture, dans un bateau … Mais le métro jamais, et j'avoue que c'est sans doute pas prêt d'arriver. » Je me mets à rire légèrement. Lorsque je vois qu'elle prend quelques frites. « Attention à ne pas les faire tomber sur quelqu'un. » Je me mets à rire une nouvelle fois c'était pour la taquiner.

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Alexie avait grandit dans un quartier "chaud" de New York, elle avait toujours été assez sociable et une bonne oratrice, cependant, le fait d'avoir une notoriété grandissante lui avait fait prendre conscience qu'il fallait un peu changé. De ce fait, même si elle restait accessible pour les personnes qui voulaient parler avec elle ou prendre des photos, elle avait une réputation de femme difficile à approcher. Elle essayait de toujours un peu casser cette image mais ce n'était pas facile, surtout qu'elle voulait tout de même garder une certaine distance entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle.

Tout comme elle savait être la journaliste people quand il le fallait et quand il ne le fallait pas. Aujourd'hui, dans le métro, elle était juste Alexie, une femme maladroite qui parlait avec le tennisman Clayton Master. D'ailleurs, il semblait assez sympathique. C'était la première fois qu'elle le rencontrait, après tout, elle recevait que très peu de sportif dans son émission - un point qu'il faudrait abordé lors d'une prochaine réunion avec le staff!-. Elle lui avait fait comprendre qu'elle l'avait reconnu et ils avaient commencé à blaguer sur la frite et les coups dans le sport. Elle se mit à rire un peu. "En même temps, je pense qu'une frite n'a pas la même aérodynamisme qu'une balle! Un smash avec une frite, ça ne me ferait pas al et cela serait sans doute plus facile pour moi de la rattraper, même si je suis une cruche en sport" Ca n'avait jamais été sa grande passion, elle préférait le regarder à la télévision, et encore, quand il n'y avait rien d'autre comme programme.

Le jeune homme voulu ensuite, l'adresse du restaurant de Papa Miller, Alexie eut un sourire, si elle n'aimait pas le sport, son père adorait s'installer dans le canapé et boire une bière en regardant ESPN, s'il préférait regarder les Yankees jouer, elle devait bien avouer qu'il adorait regarder le tennis et il serait tout fou de voir un joueur commander un de ses Nachos. Elle sortie une des petites cartes que lui avait donner son père, il y a peu. "Vous avez toutes les infos là dessus. Et dire que je me suis moquer de lui quand il me les as donné, tout souriant, en me disant que cela pouvait servir!"

En même temps, elle n'aurait jamais imaginer qu'elle vivrait un moment aussi cocasse que celui-ci. "Enchanté aussi" Elle se mit à rire puis à réfléchir quand ils parlèrent des endroits où ils avaient déjà manger. "J'ai fais les mêmes lieux que vous. Je me souviens même une fois avoir manger dans un tribunal! " elle se mit à rire en repensant à ce souvenir. "J'étais encore avocate à l'époque et l'affaire sur laquelle je travaillais me prenais beaucoup de temps. Alors, un midi, mon ex-mari m'avait prit de cours en organisant un pique-nique. On avait bien rit!"

Pour la taquina, Clayton indiqua qu'elle fallait qu'elle fasse attention à ne pas refaire tomber quoi que ce soit au sol. "Oh, je ne fais jamais deux fois la même erreur!" avait-elle dit en riant.

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Alexie + Clayton

Le métro ... c'est un étrange sentiment d'y être.

Ma vie se résume très rapidement à Naissance, sport, maison, joie, cours, diplôme, sport, réussite dans le tennis et reconnu en tant que Joueur … Voilà, bon j'ai été dans les quartiers riches, ayant un père ancien footballeur américain devenu commentateur et une mère nageuse mondiale qui a remporté plusieurs médaille dont deux ors -au J.O- je pense que nous avons eu les moyens nécessaire pour bien vivre, surtout que mon père a toujours été bien payé et puis même s'il jouait dans une autre équipe, depuis ma naissance nous sommes -ma mère et mes soeurs- restés à New York, ma mère n'avait pas envie de nous faire bouger tout le temps et puis ça m'a permis de faire beaucoup de sport et de trouver ma passion, c'est ce que je dis souvent en interview quand on me demande comment c'est passé ma jeunesse. Master … étant le Nom de mon père, tout le monde me demande si je suis de sa famille, enfin maintenant c'est terminé vue que tout le monde le sait, mais ça m'a beaucoup agacé que les gens me demandés si j'étais de sa famille, c'est vrai, cela voulait dire que je ne suis pas bon dans ce que je faisais, enfin je le prenais comme ça. Donc tout comme mon père durant sa carrière, il a toujours été fort proche des fans -bon comme on peut l'être à l'époque- et moi je reste quelqu'un de très actifs sur les réseaux sociaux et les lettres quand j'en reçois. Ce qui m'agace le plus, c'est surtout quand les gens veulent savoir ma vie privée … Je suis célibataire, ce qui a mis le feu aux poudres, c'est à cause de la folle rumeur comme quoi j'ai fais entrée une femme dans les vestiaires, depuis les gens me demandent si j'ai fais exprès de lancer ça, parce que les gens pensent que je suis celui qui ait dit ça.

Je suis ravis d'avoir finalement opté pour prendre le métro, car sans ça je n'aurais pas rencontré a Alexie, elle est sympa, elle sait mettre à l'aise, je me dis que ça doit être quelque chose de innée chez elle, moi si je ne pouvais pas manger et que je devais attendre que la rame de métro reparte … J'avoue que je pense que j'aurais déjà fait un meurtre, mais non, la jolie blonde reste très calme et plaisante même avec moi, je me metsà rire d'ailleurs lorsqu'elle compare une frite avec une balle, je hoche la tête. « J'avoue que la balle ne te ferait pas de mal, mais le but d'un smash … C'est de quand même marquer les points et de ne pas viser l'autre. » Quoi que ça m'est déjà arrivé de faire un smash sur l'adversaire … mais ça c'est parce que j'avais à faire a un joueur d'exception qui courrait d'un point A au point B et c'était chiant, et c'est comme ça que j'ai réussi à marquer Jeu, Set et Match. En tout cas, ça m'amuse, même si elle n'est pas une experte en Tennis, je peux voir qu'elle s'y connaît tout de même. « Je suis sûr que tu dis ça juste pour ne pas que je teste un jour de faire un match contre toi. » Dis-je en souriant, j'ai toujours entendu ce genre de propos avec les gens, alors qe parfois ils se débrouillent très bien.

Je suis sincère et j'ai envie d'avoir l'adresse de son papa, après tout, je ne vois pas pourquoi elle mentirait en disant que son père est le meilleur, si ce n'est pas le cas, je n'ai pas honte de dire que mon père est le pire cuisinier au monde, heureusement que ma mère était là, en même temps, on faisait toujours attention à ce qu'on mangeait … J'ai goûté a un hamburger … Je crois que je devais avoir dix-sept ans … Ouais, parce que mes parents ont toujours refusés qu'on mange dans les fast-food. Aujourd'hui, je me fais plaisir et c'est pour ça que je vais aller voir et manger à la table de Monsieur Miller. C'est alors qu'elle me sort une petite carte, je l'attrape et je me mets à la regarder. « Mais c'est pas très loin d'ici en fait. » Je me mets à sourire, je lève le doigt. « Ah si tu savais, mon père me dis toujours : Fiston, écoute ton père … il a toujours raison … Bon c'est surtout parce qu'on parlait de tennis et de mon adversaire et qu'il me disait que j'allais le battre. » Je me mets à rire. Mais dans le fond, je pense que c'est vrai, enfin pas que les pères, les parents en générales ont souvent raisons.

Je me mets à sourire lorsqu'on se présente, enfin elle m'avait reconnu, je dois dire que c'est quand elle m'a dit son prénom que j'ai tilté … Ouais toujours dix ans plus tard. « Mais attend … Tu es la journaliste people de CBS ? Oh je te rassure, ce n'est pas une critique venant de ma part, mais j'avais une doute, je regarde de temps en temps aux heures ou tu es à l'antenne. » Je me mets à sourire, je n'avais pas envie qu'elle pense que je vois négativement le fait qu'elle soit journaliste people, parce que ce n'est pas le cas, tant qu'elle s'informe correctement et qu'elle ne fait pas comme RNY « Je trouve que c'est le pied de manger dans une avion. Dans un tribunal ? Comment ça se fait ? » D'ailleurs à peine ai-je terminé ma question qu'elle me répond, je pense que je n'avais pas spécialement eu besoin de lui poser la question, je me mets à rire. « C'était une charmante attention. Tu as dis ex-Maris … Comment ça se fait ? Enfin si ça peut me regarder bien sûr. » On dit toujours que pour mon âge, je suis très mâture. Je me mets à sourire et je me mets à rire lorsque je reprends. « Ah … tu es comme toi, tu ne l'as fais jamais deux, mais plutôt trois ou quatre fois ? » Je me mets à rire.

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Alexie était une fille des quartiers pauvre de New York, elle avait réussit à s'en sortir mais par un heureux hasard, une heureuse rencontre. De base, Alexie était avocate et c'était sa volonté qui l'avait mener sur cette voie, elle qui trouvait toujours injuste le fait qu'on mette les gens dans des "boites". Comme si un ado des quartiers pauvre était toujours le coupable et le petit riche, la victime. Or, elle avait pu prouver plusieurs fois que les apparences étaient trompeuses. Et puis il y avait eu Jordan, celui qui avait fait partie de sa vie et qui était sans doute l'homme de sa vie. Jamais elle n'aurait pu penser devenir journaliste et devenir célèbre par ce biais. Elle qui souhaitait la reconnaissance via son travail auprès de monsieur le juge.

La petite Alexie, fille de vendeur de nachos avait fait bien du chemin....

Et voilà qu'elle se retrouvait là, dans le métro, accompagné de son sac de Burger King et de Clayton Master, le tennisman. Mangeant des frites avec lui. C'était une scène plutôt comique mais pour rien au monde elle n'aurait voulu la changer. Elle ria un peu quand le jeune homme lui indiqua qu'ils feraient un match, tôt ou tard. "Moi? C'est même pas la peine d'y penser! Je suis pas sportive pour un sou, rien qu'un ballon, j'ai peur de l'attraper!"

Faire de la pub pour son père, c'est une chose qu'elle ne fais pas souvent parce qu'elle avait toujours peur d'en faire trop mais heureusement, Clayton avait l'air si sincère d'aller goûter ses nachos. Elle lui fit un sourire. "Non non, on n'est pas très loin de là où j'habitais quand j'étais petite, tu n'as qu'à dire que tu viens de ma part, quand tu ira, il sera content" avait-elle dit en lui faisant un clin d'oeil. Il indiqua que son père avait souvent raison, elle se mit à rire encore un peu. Elle se souvenait de ses années où, Ado, ses parents lui passaient un savon en lui faisant des leçons de morales. "Les parents veulent toujours nous faire croire qu'ils ont raison pour qu'on les voit comme des dieux" avait-elle dit en souriant "bon, même s'ils ont souvent raison:!"

Les présentations faites, le joueur de tennis tilta sur qui était la jolie blonde, elle se mit à sourire un peu. "Ouais, c'est moi." En réalité, ça lui faisait bizarre qu'on ne l'a reconnaisse pas de suite mais cela soulageait aussi un peu. "Y'a pas de mal, on n'est pas tous scotché devant la télé,on a une vie aussi! " Et puis ils partirent sur le sujet des lieux où ils avaient manger, elle se mit à rire un peu en se souvenant du meilleure endroit et l'un des meilleurs souvenirs de sa carrière d'avocate. Ca lui paraissait si loin à présent.

Puis son regard devint un peu triste alors qu'elle mangeait une frite. "Mon mari est décédé, ça fait cinq ans maintenant..." Elle eut du mal à retrouvé le sourire et resta silencieuse un instant. Elle n'arrivait vraiment pas à se détacher de ce drame. Mais elle se reprit au bout d'un temps et ce mit à sourire. "Tu à tout compris! "

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Alexie + Clayton

Le métro ... c'est un étrange sentiment d'y être.

Contrairement à beaucoup, j'ai eu beaucoup de chance, c'est vrai que lorsqu'on me voit, on ne pense pas de suite à mes parents, mais c'est une fois qu'on entend le Nom de Famille « Master » mon père et ma mère étant des sportifs très connus dans leur milieu respectif, même ma grande sœur est connue dans son milieu … Le sport est quelque chose de graver dans notre ADN, nous n'avons manqué de rien. La seule inquiétude que j'avais, c'était d'avoir ma tenue parfaite et il fallait que j'arrive à l'heure à mes entraînements. On peut croire que je suis superficiel et beaucoup de gens peuvent le pensée, il faut dire que je reste un être humain et ce n'est pas l'argent qui dirige ma vie, sinon je ne serais pas tennisman, mais plus PDG dans une grande entreprise à me faire énormément d'argent, le pire ? C'est que je paie pour participer à un tournois et que je perds l'argent si je n'atteins pas les huitième de finale. Donc on ne peut pas dire que je joue au tennis pour l'argent, même si j'ai des sponsors et que j'ai de l'argent.

Je me mets à sourire et à rire, je n'aurais jamais pensée rencontrer quelqu'un aussi intéressante qu'Alexie, surtout dans ce lieu … D'ailleurs, je dois bien avouer qu'une rencontre dans un métro c'est originale et l'attaque d'une frite et au top. Je me mets à rire légèrement lorsqu'elle m'avoue ne pas être très sportives et qu'elle avait peur d'attraper un ballon. « Oh, je pensais que j'avais à côté de moi, la nouvelle Séréna Williams, mais je me suis trompée. » Dis-je en souriant, j'aime taquiné les gens et puis c'est aussi mon côté sans doute bisounours, j'aime tout le monde quoi.

Je garde la carte qu'Alexie m'avait tendue, c'était pour le resto de son papa et je serais ravis d'y aller ,je l'entends alors me dire que nous étions pas très loin et qu'il fallait que je dise à son père que je venais de sa part. « Oh je crois que je commence à te connaître. Il n'y a pas de soucis, j'espère que je ne vais pas lui faire peur. » Dis-je en souriant. « Et je peux lui dire que sa fille m'a agresser avec une frite ? » Dis-je en riant, une nouvelle fois, je ne peux m'empêcher de la taquiner. Je me mets à sourire et je hoche la tête, je suis tout a fait d'accord avec elle, les parents veulent qu'on les admirent … « Exactement … Ils veulent être des Dieux. » Je crois que c'est la première fois pour moi que je plaisante autant avec quelqu'un dans le métro. « Mais le pire … c'est qu'ils savent qu'ils ont raisons, parce qu'ils ont fait les conneries avant nous. » En fait, quand j'y pense, je crois que je n'ai pas spécialement fait de connerie durant mon adolescence, j'étais tellement à fond dans le sport, que j'étais un lycéen normal sans soucis.

Il m'a fallu un peu de temps avant de réaliser que je parle avec une journaliste people. Je me mets à sourire lorsqu'elle m'avoue que c'est bien elle. « Et bah, en fait, c'est moi qui est chanceux. » De faire une telle rencontre, c'est toujours agréable. « Oh disons que parfois je suis assez surpris des journalistes, par exemple, que penses-tu des chroniqueur de Radio New York ? » Ouais … Est-ce qu'on peut réellement parler de « journalistes » ? Ou alors surtout d'imposteur ? Bon, j'aime bien aussi avoir l'avis des gens et surtout d'Alexie, après tout elle était dans le milieu, elle pourra sans doute m'aider à comprendre.

Je suis curieux, je veux savoir comment ça se fait qu'elle a stipuler ex maris, j'avais un petit sourire, mais je le perds assez rapidement … La mort, c'est dingue, mais j'ai encore mes grands-parents, je n'ai pas eu de mort autour de moi, je ne suis pas à l'aise avec ça, même si je sais que c'est quelque chose de « normal » il y a la vie et la mort, c'est normal, mais je ne sais jamais comment me comporter. « Oh … je suis désolé … si j'avais su... » Dis-je en faisant, je n'avais pas envie de lui faire passer un mauvais moment et finalement … voilà quoi. « Je trouve ça tellement mieux de faire plusieurs fois la même erreur. » Je me mets à rire. Mon regard se pose une nouvelle fois sur la belle blonde.

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Houston, we have a problem

Alexie était du genre avenante, mais c'est vrai qu'un métro, ce n'est pas le meilleur endroit du monde pour faire la causette, heureusement que son burger king était là sinon, elle aurait passer les prochaines minutes d'arrêt du métro, à ne rien faire à part pester contre la compagnie qui régnait sous New York. Clayton était un jeune homme bourré d'humour et c'était plaisant de parler avec lui, même quand il s'agissait de sport alors que la journaliste n'était pas du tout sujette à ce donner à fond dans ce domaine. Elle lui avoua même ne pas être du tout ainsi. Taquin, elle ne le prit pas mal sa réflexion. "Ouais, je suis plus Wéréna Silliams" avait-elle blaguer. Inversant les premières lettres pour montrer à quel point elle était tout le contraire de la championne.

Se tutoyant rapidement, Alexie lui avait indiquer venir de sa part dans le restaurant de papa Miller, CLayton demanda alors s'il pouvait indiquer que sa fille l’avait agressé avec une frite, elle se mit à rire un peu. "Oh oui, tu peux! Je pense même que ça ne l'étonnera pas!" Depuis petite fille, la maladresse d'Alexie avait fait de beaux souvenirs - ou pas- à ses parents. Elle se souvenait d'un jour où elle avait voulu attraper la boite à bijoux de sa mère et avait tout fait tomber dans le tuyau du lavabo de la salle de bain. Elle se mit à sourire en y repensant. "Je ne suis pas à mon coup d'essai au niveau de la maladresse."

Elle se souvenait aussi de chaque sermons qu'elle avait reçu après une bêtise, surtout à l'adolescence. Elle avait même trouver le moyen, un jour, de récité à sa mère mot pour mot ce qu'elle allait dire. Alexie était une ado plutôt rebelle, heureusement qu'elle s'était calmée avec le temps. Elle hocha la tête pour affirmer les dires du jeune homme. "Ouais, et quand on fait la bêtise en question ,après qu'ils nous aient prévenu, c'est toujours " je te l'avais dis!"" malgré cela, elle adorait ses parents.

Si Alexie avait tout de suite su à qui elle parlait, ce n'était pas la même chose pour CLayton qui s'en redit compte que bien après, mais la jeune femme ne s'en formalisa pas. Heureusement, il n'était pas du genre à vouloir tout savoir de sa vie mais, au contraire, avoir son avis sur Radio New York. Elle le regarda. "Honnêtement, c'est de la merde." avait-elle dit de but ne blanc. "Je ne suis pas une experte en journalisme, j'ai même pas fait les études pour, mais pour moi, quand tu veux être journaliste poeple, tu te dois de vérifier tes sources et d'avoir des preuves vraiment bonnes. J'estime que c'est un peu comme au tribunal, si t'as pas de preuves, tout est caduc." Elle posa sa boisson après en avoir bu une gorgée. "Dans mon émission, je fais du people, c'est sûre, mais je farfouille partout où je peux et souvent, c'est même la famille de l'invité que me donne des infos! Tout comme j'essaie de mettre en lumière , le vrai et le faux, de ce que tu Radio New York."

Avoir parler de Jordan avait quelques peu refroidit Alexie mais elle se reprit vite en souriant. "Ce n'est rien, tu ne savais pas, ça arrive. Et puis pour les erreurs, c'est mieux, en effet!"

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Houston, We Have a Problem

Alexie + Clayton

Le métro ... c'est un étrange sentiment d'y être.

Je me mets à sourire, oui, c'est vrai que j'aime taquiner les gens, mais c'est surtout une façon de montrer que je suis quelqu'un d'accessible, de gentil et surtout à l'écoute, j'aurais pu aussi crier sur Alexie en lui disant qu'elle aurait pu faire attention avec sa frite, mais non, je me doute qu'elle ne l'avait pas fait exprès et puis … s'énerver ? C'est vraiment quelque chose que je n'aime pas et puis il m'en faut largement plus et finalement, je suis même content parce que je me mets à rire avec une personne que je venais à peine de rencontrer, même si Alexie est quelqu'un de connue, c'est toujours plus agréable de connaître face-à-face la personne. Je me mets à rire lorsqu'elle me dit qu'elle était plus Wéréna Silliams que Séréna. « Ah oui, effectivement, ce n'est pas la même personne. » Je me mets à rire tout en plongeant mon regard dans le sien. Cela me fait du bien de pouvoir discuter et rire avec quelqu'un, qui aurait cru que dans un métro on pouvait faire de belle rencontre ? Contrairement à ce qu'on pourrait croire ou voir dans les médias.

Je plonge alors une nouvelle fois mon regard dans celui de la belle blonde et alors que je lui fais part que j'allais dire à son papa qu'elle m'avait agressée avec une frite, je me mets à rire. « Ah oui, c'est vraiment un trait de caractère qui t'es spécifique alors. » Je me mets à rire une nouvelle fois. La maladresse, je pense que nous pouvons l'être tous un minimum, mais il y a des personnes, je crois qu'ils ont la palmes. J'ouvre grande les yeux tout en étant curieux, j'avais réellement envie de savoir ce qu'elle avait fait d'autres comme maladresse. « Raconte-moi tout, je veux savoir. » Moi la seule fois où j'ai été maladresse, c'est un soir, je discutais avec des amis et j'avais la tête tourné sur la gauche, et tout en avançant, je me suis prit un poteau.

Je me mets à sourire, c'est vrai que nos parents peuvent être des personnes qui ont une vie, généralement quand on est jeune, on ne pense pas à ça, c'est en vieillissant ou alors qu'on a des enfants qu'on réalise qu'en fait, effectivement, nos parents ont eu une vie, on fait des bêtises -et parfois les mêmes que nous- je souris et hoche la tête une nouvelle fois positivement à Alexie. « C'est clair, combien de fois mes parents m'ont sorti ça ? Tellement. » C'est ça le pire, mais bon c'est aussi pour ça que nous les aimons.

C'est vrai qu'il m'a fallu un peu de temps avant de réaliser que je parlais à une journaliste people et je suis rassuré de savoir qu'elle ne m'en voulait pas trop, le pire … C'est que oui, je me souviens l'avoir vu à la tête, mais en face, c'est toujours mieux en vrai qu'à la télé. Je décide d'y aller au culot, oh oui, étant une journaliste, elle peut peut-être m'expliquer pour RNY est du genre à mettre et dire de la merde. Je souris lorsqu'elle me dit que c'était de la merde, au moins, nous sommes d'accord sur ce sujet. « Je suis rassuré et ravis de savoir que tu n'es pas comme eux, mais que tu vérifies tes sources, je ne sais pas si un jour tu comptes m'invitais, mais je te déconseille d'aller voir mes parents … Tu risques d'avoir pas assez de temps dans ton émission pour avoir toutes les informations. » Je me mets à rire. « Je trouve aussi, enfin je ne suis pas journaliste du tout, mais je pense qu'avant de balancer une info, vérifie-là. » Je suis sincèrement content qu'Alexie ne soit pas comme ces journalistes de Radio New-York.

Je grimace lorsqu'elle m'a parler de son ex, je suis tellement désolé, quand je vous dis que je peux être un vrai boulet dans la vie de tous les jours, ce n'est pas une connerie, bien au contraire, je suis du genre à mettre les pieds dans le plat ou alors poser des questions qui ne faut pas. « Je suis un vrai boulet … vraiment. » Dis-je en faisant une grimace. « Nous sommes fait pour nous rencontrer. » Oh oui, nous avons le même opinion sur les erreurs, mais c'est surtout que j'apprécie ce moment en sa compagnie. Merci le métro qui a un problème.

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