victoria & alec.

le hasard fait bien les choses ... quand il les fait

Le temps était radieux. Un soleil de plomb s'affichait dernièrement dans les rues de New York. Ça sentait bon l'été a plein nez. Depuis que tu étais arrivé, tu étais tombé amoureux de la ville. C'était pas aussi bien que Londres selon toi, mais c'était beaucoup mieux que Southampton. Enfin pas forcément mieux, c'était une autre ambiance. A Southampton, tout le monde connaissait tout le monde en vrai ou de nom. Tu disais souvent que c'était une ville de commérage. A croire que les gens n'avaient que ça à faire. Bon à New York, c'était pareil mais ça avait plus de saveur pour toi parce que personne ne te connaissait ni connaissait ta famille. Dans la grosse pomme tu n'étais que Alec De Bebbanburg le gentil professeur des écoles qui était aussi bibliothécaire le week-end pour finir ses fins de moins et non pas Alec De Bebbanburg fils de Edward troisième de nom De Bebbanburg, faisant partie des derniers nobles significatif d'Angleterre. Ça avait toujours été un fardeau ce nom de famille, les responsabilités qui allait avec aussi. Tu pouvais quand même être fier d'avoir tenu tout ce temps, c'était pas rien. Tu t'étais même marié par obligation, même si au final tu étais tombé amoureux de ta femme. Enfin bref, tout ceci c'était une autre histoire, une autre vie. Aujourd'hui tu étais loin de tout ça, loin d'elle, loin de ta famille et beaucoup plus heureux comme ça.

Avec un temps magnifique comme aujourd'hui, d'autant plus que tu étais en jour de repos total, tu te décidas de sortir un peu. Amoureux de la nature, te dit d'amour que te promener dans Central Park serait une bonne idée. Seulement tu ne fus pas le seul a y avoir pensé. Ainsi, Central Park grouillait de monde. Tu n'étais pas un très grand fan de la foule alors tu avais fait demi-tour simplement. Prenant les transport en commun, tu t'étais retrouvé dans le Queens. Et sans vraiment réfléchir tu te posas sur la terrasse d'un café. Tu commandas un grand coca frais avec des glaçons et une tranche de citron. Comme d'habitude, dans ton sac tu avais toujours un bon bouquins. Tu décidas donc de le sortir et de tranquillement siroter.

C'était un vieux livre, un classique, que tu avais déjà lu mais que tu relisais en ce moment ne trouvant pas d'auteurs ou de livre qui t'intéresse. D'ailleurs tu te rappelas que ce livre t'avais été un jour chipé par une jeune femme étonnante. A ce souvenir tu souris avant de te plonger totalement dans ton bouquin. Tu ne relevais la tête que pour boire un ou deux gorgés de ta boisson. Tu étais tellement concentré que tu n'entendais ni les rires, ni les discussions des gens autour de toi. Mais ta concentration fut perturbé quand tu entendis crier. Apparemment deux hommes étaient en pleine discussion musclé. Il te semble que d'ici quelques secondes ils vont en venir au main. C'était surement le soleil qui leur taper sur la tête. Tu les regardais désespéré derrière ton livre ouvert. L'humanité te désespérais parfois. Et comme tu l'avais prévu, les deux hommes en viennent aux mains, bousculant les autres au passage. Tu vis une jeune femme, lunette sur le nez qui passait par là. Mauvais endroit, mauvais moment. Elle était a deux doigts de prendre un poing perdu. Sans attendre, tu te levas et la tira vers toi, dans la terrasse. « Attention mademoiselle ! » En même, deux serveurs du café ou tu te tenais vient les séparé, avant de leur demander d'aller se battre ailleurs. C'était compréhensible,