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| | | Tentation (n.f) Attrait vers quelque chose de défendu |  |
| BONJOUR, NEW-YORK Since : 31/07/2019 Avatar : Emilia Clarke (chaussette) D.C : pas de schizophrénie à déclarer Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie. Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger. Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue. Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure. Bon à savoir :
— déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente —
— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.
3/4, il me reste une mini place
sasha — beau — heath
| Lun 14 Oct - 22:02 |
“ Tentation (n.f) Attrait vers quelque chose de défendu
  James avait débarqué dans mon bureau comme une furie, en plein milieu de l’après-midi. Plaquant deux invitations sur mon bureau, j’avais levé les yeux de mon écran pour regarder de travers les deux invitation, surpiqué de bordure dorée. M’imposant cette soirée débile. Prétextant l’importance primordiale de ma présence, comme si une présentatrice télé avait une importance. Il y avait assez de riches, pour que je sois obligée de traîner ma carcasse. Depuis gamine, que ce soit ma mère ou mon père, tous les deux, adoraient me traîner dans ce genre d’événements, et je pensais qu’en temps que journaliste, je serais immunisée je me mettais clairement le doigt dans l'oeil. Son regard noir m’avait donc convaincue, ô joie et bonheur intense et ultime. Envoyant un texto rapide à ma maquilleuse et coiffeuse, pour lui demander son aide comme à chaque fois que j’avais une manifestation de la sorte. Je soupirais longuement, avant d’abdiquer de toute façon je n’arriverai pas je devais aller me trouver une robe pour ce soir, comme si le dressing que j’avais à la maison ne suffisait pas. Je passais rapidement devant le bureau de mon assistant stagiaire, qui semblait bien préoccupé par la boule qu’il venait de créer en élastique. Posant les mains sur son bureau, sourcil droit en l’air, il avait failli tomber de sa chaise en relevant la tête pour me voir. J’étais un peu chiante depuis que ma vie partait en cacahuète. Mon frère et ses cachotteries, le fait d’avoir revu Tino. Ainsi qu’Adrian. J’étais fatiguée et je tentais de diminuer ma consommation d’alcool. Alors mes nerfs étaient vraiment mis à rude épreuve, face à la connerie de mon directeur. Besoin de me couper de ce monde, ne serait ce que quelques heures. « Si j’ai des appels perso, par exemple Madame Rosenbach.. Dis lui que j’fais une retraite spirituelle au Pérou. Et ramène Marley chez moi, et surtout j’ai besoin de toi pour un petit article. » voyant ses yeux pétiller à la dernière information. Je lui fis un petit sourire, fallait que j’apprenne à être moins chiante. « Tu as terminé, bonne fin d’après-midi ! » tournant les talons, je me dirigeai vers la sortie.
A la recherche de la robe parfaite. Noire avec de la dentelle, c’était la robe parfaite. J’avais stoppé ma course en m’arrêtant en plein milieu du trottoir, manquant de me faire percuter par une foule trop pressé. Maugréant un instant de mauvaise humeur. J’étais rentrée dans la boutique d’une marque célèbre. Je téléphonais déjà à ma coiffeuse pour la prévenir qu’elle devrait faire une halte par mon appartement au vu des deux heures que j’avais passée dans les rues de la grosse pomme. J’étais presque en retard, comme d’habitude. Une halte rapide dans mon appartement, par me rafraîchir changer de tenue, Abbie avait finit par débarquer comme si elle se préparait à la guerre.
Éblouie par les flashs , je me retrouvais à nouveau sous les crépitements des appareils photo. Grand sourire plaqué sur le visage, je m’avançais seule dans les escaliers, à la recherche de mon directeur, la seule personne présente ce soir que je commençais. Cette situation m’insupportait. Je l’avais rejoint alors qu’il discutait avec des personnes que je ne connaissais pas. Inspire. Expire. Ne te risque pas à lui mettre ta main dans la figure. Souris, tout va bien se passer. Je me mordais la joue, sentant sa main passer autour de ma taille. Je me déplaçais déjà de quelques centimètres. Personne ne semblait porter attention à ma tête bien trop occupé par leur discussion. Sourire gêné, je ne savais que faire. Cela faisait plusieurs semaines qu’il ne s’arrêtait pas de me faire du rentre-dedans, c’était pareil avec toutes les femmes qui obtenaient une promotion, qui se retrouvait mise en avant. Je préférais mille fois retourner à mon poste d’avant. Au moins j’avais les lourds en moins à cette époque là, et être célibataire n’arrangeait pas a ma situation, à croire que j’avais un panneau qui clignotait autour de moi qui envoyait les mauvais signaux. Enfin tout dépendait de la personne en face de moi. James, mon Directeur, pensait que ces signaux lui étaient destinés. Et puis à chaque fois que l’occasion se présentait, cet idiot n’en loupait pas une. J’avais beau enlevée sa main à chaque fois qu’il la passait autour de ma taille.
L’exemple même de cette soirée, soirée caritative, où j’ai l’impression que le temps s’est arrêtée. Comment perdre une soirée à faire la belle alors que mon vœu le plus cher était de pouvoir me reposer. Pitié que quelqu’un vienne me sauver.. |
| | | | | | Lun 14 Oct - 22:54 |
“ Tentation  « Une soirée caritative monsieur! » « Pas intéressé Jerry, dites que mon hamster a mangé mon carton d’invitation! » « Vous n’avez pas de Hamster monsieur. Et c’est vous qui l’avez organisé, monsieur! » « Je ne sais pas Jerry, c’est votre job d’annuler mes apparitions! Je suis parti visiter Mars, Saturne, ou le Pérou! » La voix du riche quinquagénaire commençait à s’agacer, alors qu’il était enfermé depuis la veille, dans son bureau de recherches. Il avait résolu une équation électronique compliquée depuis plus de 12h, mais il ne parvenait pas à la mettre en pratique. Il n’en n’avait pas dormi, ses jambes fourmillant encore d’énergie. Son cerveau était en ébullition, et ses yeux pourtant fatigués, ne quittaient plus ses petits files qu’il tentait de connecter entre eux, dans le bon ordre. « Il y aura les représentants de la NBC, monsieur. » « Vous auriez peut-être dû commencer par-là, Jerry! » Alors que son major d’homme tentait de le faire se bouger pour cette soirée, depuis plus de trente minutes, il avait pourtant fallu la simple énonciation de la NBC pour que Arthur lâche tous ses effets. Frottant ses mains sur son jean, il rangeait rapidement les points importants de sa prochaine création, puis il passait devant Jerry d’un pas pressé. « Laissez-moi dormir cinq petites heures, trouvez-moi un smoking, quelque chose de jeune, et décontracté! » Pourquoi la NBC ? Parce qu’il savait que depuis six mois maintenant, l’une des reporters qui les représentait le mieux, c’était Lou. Elle serait forcément là. Lou, elle avait des traits de petite poupée de cire. Un visage si bien dessiné, et un sourire à en faire tomber même les plus gays des hommes. Et lui n’y échappait pas. Bien sûr qu’elle était trop jeune pour lui, trop bien aussi peut-être. Mais il se fichait pas mal de la bienséance. Depuis qu’il avait passé le cap des cinquante ans, il avait l’impression d’avoir une horloge dans la tête. Un tic-tac incessant qui lui rappelait à tout moment, qu’il allait bientôt être trop vieux pour jouer, et s’amuser. Alors il voulait en profiter, encore un peu. Peut-être était-ce juste pour se rassurer. Qu’importe. Quand une fille lui plait, il lui fait la cour, et advienne que pourra. Et celle qu’il voulait depuis des mois maintenant, c’était Lou. Cette gamine, il la connaissait pourtant depuis un bon moment. Enfin, tout d’abord, simplement de vue, et de nom. Parce qu’il avait toujours été quelque peu en rivalité avec son père, et depuis peu, avec son frère. Il ne l’avait rencontré réellement que quelques mois auparavant, découvrant une jeune femme pleine de discussions, pétillante, et qui tenait aussi bien l’alcool que lui. Il s’était pris au jeu de la séduction avec elle. Ses yeux ne faisaient que se poser sur sa fine silhouette quand ils étaient dans la même pièce. Envieux, désireux. Il la voulait, un peu comme tous les mâles affamés qui tourneraient les pages d’une revue coquine. Les femmes, il les collectionnait peut-être un peu trop depuis son divorce, mais il faisait un sacré blocage avec l’engagement, aussi depuis. Sa femme avait peut-être piétiné son cœur, plus qu’il ne voulait l’avouer. Quoi qu’il en soit, il n’avait pas vraiment réfléchi à ce qu’il espérait obtenir de Lou. Peut-être pas grand-chose dans le fond, il voulait juste prendre du bon temps, et lui en partager, bien sûr. Rien que sa compagnie lui suffisait la plupart du temps, alors il savait dors et déjà, que sa soirée serait bonne. Aux alentours de 21h, il faisait son entrée sous les flashs des projecteurs et des appareils photos. Des paparazzis, des représentants, il ne savait même plus qui venait à ses soirées. Il ne les organisait que pour soigner son image, et celle de son entreprise. Et il en enchaînait tant, qu’il ne savait même plus quel en était le sujet. Qu’importe, son job consistait à raconter des blagues à deux balles, un peu grivoise devant les plus vieux pervers de l’assemblé, et à serrer des mains sales – peut-être celle de Ezra Rosenbach par exemple. Un verre de champagne coûteux à la main, il brillait de par sa simple présence, alors qu’il traversait la foule, tout en saluant chaque regard qu’il croisait. Un sourire, un clin d’œil, pourtant totalement désintéressé. La seule qu’il cherchait, c’était Lou. Sa petite tignasse faussement blonde, il saurait la reconnaître entre mille. Et c’est bien rapidement – mais trop tardivement à son gout – qu'enfin son regard s’arrêtait sur elle. Elle était coincée aux côtés de son patron, qui semblait la tenir par la taille, non sans accord. S’étant arrêté à quelques mètres d’eux, sirotant son petit alcool délicatement, il scrutait la scène avec beaucoup plus d’intérêt. Le patron de Lou était un peu plus vieux que lui, mais beaucoup moins entretenu. Il n’avait pas grand-chose pour lui, et pourtant, la plupart des reporters féminines de sa chaîne se jetaient à ses pieds pour des promotions. Ça, c’était Lou qui le lui avait appris. Parce qu’elle, elle ne semblait pas avoir pour lui, la même attirance. Et il y avait de quoi l’en convaincre ce soir. A lui de jouer. Avalant les dernières gorgées de sa flûte, il la déposait sur l’une des petites tables de la pièce, puis mains dans les poches, il s’approchait du petit groupe qui papotait sans se soucier une seule seconde, des états d’âme de Mlle Rosenbach. « Bonsoir tout le monde, vous me voyez ravis de vous voir parmi nous! » Faux sourire courtois, et mains tendues, allant tapoter le dos de ses interlocuteurs, machinalement, comme une habitude. Pour Lou en revanche, il venait se pencher vers elle, chuchotant rapidement à son oreille : « Accrochez-vous à mon bras si vous avez besoin d’aide. » Il était prêt à l’entraîner à l’autre bout du monde s'il le fallait. Et il a un jet privé pour ça, elle n’avait qu’à un mot à dire. Faisant toujours aussi bonne figure, il se redressait vers les hommes du petit cercle, et tentait de s’immiscer dans la conversation, tout en lançant quelques regards vers Lou. Des sourires aussi, discrets, en coin des lèvres. Ses yeux ne se contentaient pas de la surveiller, ils la dévoraient. Et il ne s’en cachait même pas. N’écoutant que d’une oreille tous ses hommes intéressants, il finit par sortir l’une de ses mains de sa poche, pour venir la glisser discrètement dans le dos de Lou. Il ne faisait que la frôler, contrairement à son patron qui semblait vouloir se l’approprier. Son visage se penchait alors de nouveau vers elle, et ses lèvres elles, s’approchaient de son oreille : « Cette petite robe vous scie à merveille, Mlle Rosenbach. » |
| | | | BONJOUR, NEW-YORK Since : 31/07/2019 Avatar : Emilia Clarke (chaussette) D.C : pas de schizophrénie à déclarer Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie. Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger. Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue. Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure. Bon à savoir :
— déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente —
— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.
3/4, il me reste une mini place
sasha — beau — heath
| Dim 20 Oct - 23:12 |
“ Tentation (n.f) Attrait vers quelque chose de défendu
Laissant mon esprit vagabondé comme bon me semblait. Je n’étais guère intéressé par cette conversation, me décalant à chaque fois que l’autre s’approchait un peu trop près de moi, bientôt, j’allais finir à l’autre bout de la pièce. Ils parlaient politique, enfin je crois. J’avais besoin d’alcool. Beaucoup d’alcool, sinon je finirais par lui mettre la tête dans un mur. Ce type me prenait vraiment pour une pauvre cruche, si j’en étais arrivé là aujourd’hui ce n’était pas a cause de lui. Mais ma petite scène de l’autre jour avec Adrian au studio me coinçait avec lui. Il fallait que je me rattrape. Continuant de lui jeter des regards noirs, les bras croisés sur ma poitrine. Peut-être qu’un jour finirait il par comprendre que je n’étais pas intéressée ? Que ce n’était pas du tout mon style ? Le coup de se taper son patron pouvait marcher sur d’autres et pas sur moi ? Que si ma possibilité de le tuer par télépathie marcherait, je le ferais sans hésiter ? « Bonsoir tout le monde, vous me voyez ravis de vous voir parmi nous! » Cette voix. Cet homme. Arthur. Je me figeais un instant. Tournant la tête pour le regarder de la personne qui venait de se joindre à nous. Un petit sourire se dessinant sur mon visage, la soirée s’annonçait bien plus intéressante maintenant qu’il était là. Il avait fini par serrer les mains des hommes qui se trouvaient en cercle, tapotant les dos de ses interlocuteurs. Finalement, il se penchait vers moi. « Accrochez-vous à mon bras si vous avez besoin d’aide. » chuchota-t-il rapidement à mon oreille, avant de se redresser, au moins un qui semblait se soucier de moi. Amusée, je secouais la tête à la positive face à cette proposition. Ce jeu m’amusait au plus haut point, savoir que je lui plaisais et que je pouvais jouer un petit peu avec. « Ai-je l’air si en détresse que ça, pour que vous voliez à mon secours de la sorte ? ». Jetant un rapide coup d’œil à mon patron, qui devenait de plus en plus nerveux, qu’est ce qu’il avait lui au juste ? Faisant mine de m’intéresser un temps soit peu à la discussion qui se déroulait sans que je ne puisse en placer une. J’étais contente de voir Arthur, cela faisait un bout de temps que je n’avais plus croisé son joli visage, et ses réflexions qui m'avaient perturbés. Pouvoir échanger avec quelqu’un comme lui, était.. Intéressant que ce que j’avais pus imaginer. Je savais que mon père le connaissait, et Ezra aussi. Nous l’avions déjà croisé à maintes reprises dans le passé, sans que je n’y fasse vraiment attention. Pour moi, il avait toujours été qu’un rival à mon père.. depuis notre rencontre et cette interview, j’avais découvert un homme bien plus intéressant, cultivé et avec un certain charme, on ne pouvait lui enlever ça.
Je sentis une main frôler doucement le bas de mon dos, détournant le regard. Je le portais rapidement sur le coupable, qui n’était autre que Le Brun à ma droite. « Cette petite robe vous scie à merveille, Mlle Rosenbach. » prenant un air plus sérieux pour éviter d’attirer l’attention sur nous. Je replaçai rapidement une de mes mèches décolorées derrière l’oreille, sourire forcé à la dernière blague de mon patron. « Vous êtes pas mal non plus. » tournant la tête vers lui, m’arrêtant un instant sur sa tenue, le costume qu’il portait lui allait à merveille. Me mordillant rapidement la lèvre inférieure, je souris chassant toutes pensées qui pouvaient être mal venus dans ce genre d’endroit. Mon patron me lançait des regards en travers, je ne savais pas s’il avait entendu ce que je venais de dire à Arthur, mais il semblait réellement contrarié de sa présence.. qui au contraire pour ma personne me rassurait, au moins je m’ennuierais pas à cette manifestation. « la soirée s’annonce-t-elle riche en dons ce soir ? » lui fis-je braquant les miens dans ses jolies yeux noisette. Caressant doucement son bras, avant de sourire niaisement aux autres hommes qui étaient tellement concentrés par leur affaire que, quoi que je dise ou ne fasse ne pouvait les faire relever la tête en ma direction, sauf James qui nous fixait, au vue de sa tête si de la fumée pouvait sortir de ses oreilles je crois qu’a cet instant présent c’est ce qui se passerait. Soudain, une idée me traversa l’esprit. Ce soir, nous allions un petit peu jouer, de toute façon James ne pouvait rien faire. Mais est ce que je ne me brûlerais pas encore une fois les ailes? Comme à chaque fois ? Croisant les bras sur ma poitrine, un peu renfrognée à cette idée. Pour une fois, que je réfléchissais avant d’agir. Ce qui était beaucoup trop commun. « ça m’intéresse que feriez vous si je vous demandais votre aide maintenant? » sourire amusée, sur le visage. J'attrapais deux coupes de champagne, alors qu'un serveur passait à côté de nous, son plâteau en main. Je finis par tendre une des deux coupes de champagne au brun à ma droite.
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