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| | | Anger and Tears //PV Louloute, la couz// |  |
| BONJOUR, NEW-YORK Since : 22/03/2020 Avatar : Benedict Cumberbatch D.C : Heath, Tali et Mason, c'est bien assez comme ça ! Identité : 39 ans Activité : Propriétaire et gérant d'un restauran-cabaret nommé «le Boudoir» Statut : Célibataire et dieu merci Logement : Un appartement tout ce qu'il y a de plus basique à Manhattan Bon à savoir : 
Né roux, tu te teins les cheveux en noir depuis ton plus jeune âge, d'abord sous l'influence de ta mère, l'obligation est devenue une habitude • Véritable oiseau de nuit, le travail de ta génitrice qui est devenu tien t'a contraint à vivre de nuit et à dormir de jour. • Tu es hermétique à toute forme d'humour, y compris les sarcasmes et l'exagération. • Amoureux des reptiles, tu es le fier propriétaire de Coal, un python piedbald panda • Féru de langue et d'histoire, tu dévores tout les ouvrages à ta portée. • Végétarien, tu reconnais les multiples bienfaits et avantages d'une alimentation dénuée de viande • Fumeur très actif et buveur occasionnel, tu reconnais volontier les effets apaisants du tabac. • Tu méprisés les réseaux sociaux et les influenceurs, à tes yeux ce n'est qu'un moyen utilisé par les gens «normaux» et ennuyeux pour partager leurs petites vies mornes et désespérantes. Tu prends de haut ce nid à narcissique qu'est Instagram. • Tu te penses incapable d'aimer et d'être aimer. • Frère caché du bon maire Rosenbach, tu suspectes ta mère de ne t'avoir garder que pour l'argent | Mer 29 Avr - 16:53 |
“ Anger and Tears;
Always with you
  Recroquevillé dans un coin de ton bureau, tu te remémorais les récents événements alors que tes yeux s'emplissaient de larmes, des larmes de rage. Tu étais mitigé, perdu entre la tristesse et la colère qui t'avais fais renverser ton bureau quelques heures plus tôt. Ces derniers jours étaient intenses, surtout pour toi qui peinait à maîtriser tes émotions. Il y eu d'abord le décès puis l'enterrement de Lizzie, la plus douce et adorable des Rosenbach, tu vis la détresse de ta cousine et amie, tu vis l'air faussement peiné d'Aiden, cet air qu'il avait arboré lors de l'enterrement de sa propre femme, celle qu'il avait tué. Quelques jours plus tard, cette affaire fut remise sur le tapis, faisant exploser un véritable scandale, on raconta que cet événement le poussa à prendre la fuite, et ça te faisait enrager. Comment ce frère que tu t'étais acharné à retrouver avait pu disparaître sans te laisser le moindre message ? Tu t'étais donc donné tout ce mal pour te faire abandonner ? Comment pouvait-il te faire ça ? Tu bouillonnais de rage alors que ton cerveau retraçait les récents événements mais plus tu réfléchissais, plus le visage effondré de Lou te revenait à l'esprit et plus te coeur se serrait. Tu t'étais très attaché à la jeune femme, la voir si triste te brisait le cœur et c'était inadmissible. Tu te persuada vite qu'il était de ton devoir de faire quelque chose, et vite.
Il ne te fallut que quelques minutes pour te retrouver face à un simple dîner de Manhattan. Tu t'y engouffras et en ressortis avec deux gobelets en mains, un renfermait un milkshake chocolat pour toi, l'autre la boisson préférée de Lou, tout du moins, celle qu'elle commandait lors de vos petits rendez-vous dans ce même dinner. Tes pas finirent par te guider devant la résidence de la jeune femme alors que tu te forças à sourire. Tout ce que tu souhaitais dans l'immédiat était de rendre le sourire à ce petit bout de femme que tu appréciais plus que tout. Tu ne l'avais pas prévenue de ta visite, ne sachant pas si son téléphone était toujours opérationnel, alors tu te contentas d'espérer qu'elle soit là. Te retrouver face à l'immense manoir des Rosenbach te mettait un peu mal à l'aise, tu n'y étais jamais venu et te retrouver face à cette immense bâtisse te rappelait le misérable petit appartement du Queens dans lequel tu avais grandi. Ils avaient bien de la chance ces Rosenbach.
Tu finis tout de même par t'élancer, tamborinant à la porte. Tu fus accueilli par une gouvernante, les occupants des lieux devaient être trop occupés avec leurs propres problèmes pour s'occuper de ces basses besognes. L'étrangère finit par te conduire à la femme que tu recherchais alors que tu forças davantage ton sourire.
«Bonjour Lou ... J'espère que tu as soif.» te contentas-tu de déclarer en t'approchant doucement de l'endeuillée, gobelets en mains. Ta voix s'était faite douce et tes gestes lents, tu avais trop peur de la brusquer.
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| | | | BONJOUR, NEW-YORK Since : 31/07/2019 Avatar : Emilia Clarke (chaussette) D.C : pas de schizophrénie à déclarer Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie. Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger. Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue. Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure. Bon à savoir :
— déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente —
— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.
3/4, il me reste une mini place
sasha — beau — heath
| Ven 1 Mai - 18:22 |
“ ANGER AND TEARS : always with you  C’est comme si le temps s’était arrêtée, Lou, elle restait bloquée. Bloquée dans ses pensées. On lui avait donné quelques jours de repos, ces quelques jours pour s’en remettre. Les gens pensaient-ils vraiment qu’en quelques jours on pouvait se remettre du choc, et d’une perte pareille ? Légèrement en colère, la brune n’avait pourtant pas assez le force pour avoir le même comportement que d’habitude. Fuyant les journalistes qui campaient devant chez elle à la recherche du dernier cliché qui pourrait faire la une, accompagné d’une légende qui lui donnerait probablement envie de brûler tout le magasine. Elle se sentait éteinte, comme si une partie d’elle lui manquait. La disparition de sa soeur, puis celle d’Aiden, bizarrement son cerveau avait fait abstraction de ce que disait la presse. Elle ne voulait pas comprendre quel lien pouvait unir la fuite de son cousin, le très réputé maire de New-York et la disparition de sa petite soeur, son rayon de soleil. Ou tout du moins son cerveau avait décidé de faire abstraction des informations délivrées par la presse. Sachant pertinemment . Elle errait comme une âme en peine, la poupée. Perdue dans ses pensées, elle longeait les grands murs depuis son retour dans le manoir qui lui semblait bien vide à présent. Sa mère s’étant logée dans le mutisme. Son père et Ezra travaillaient beaucoup, Ezra bien plus encore qu’à son habitude. La gouvernante passait son temp à vouloir la faire manger l’américaine, alors que cette dernière se trouvait tous un tas d’excuses différentes au fil des jours qui s’écoulaient. Pas faim. Pas soif. Pas envie. Fatiguée. Cette journée n’avait pas échappée à la règle, l’américaine s’était réveillée bien tard, trop tard. Cercle vicieux dans laquelle elle s’embourbait. Ses gestes étaient mécaniques, elle les effectuait à la manière d’un robot. Plus d’étincelles, et pour l’instant plus d’envie de rien. La tristesse. La Dépression. Quatrième étape du deuil. Deux minuscules semaines avaient été écoulées et pourtant elle avait cette impression qu’une éternité était passé. Sa soeur lui manquait, la douleur était constante et forte. Elle ne tarissait pas. Elle avait pourtant été en colère, juste après l’enterrement. Voir ce cercueil descendre, prendre conscience que rien ne serait plus pareil. Tout ça avait été la goutte d’eau qui avait fait débordée le vase.. Elle avait envoyé valser un tas de babioles une fois enfermée dans sa chambre, une fois que les sourires se voulant réconfortants avaient cessés. Cette famille avait toujours été dans les apparences, et en une journée comme celle ci. Toutes ses émotions avaient été décuplées, comme à son habitude, elle s’était éclipsé. Cette journée ressemblait à toutes les autres qu’elle vivait actuellement, elle avais décidé qu’elle passerait sa journée dans le patio. La vue depuis cette chaise en fer forgée, elle la trouvait incroyable. Elle pouvait se perdre dans ses pensées sans que personne ne puisse l’interrompre. Elle ramène ses jambes contre elle, les encerclant de ses bras. Les minutes, des heures défilent, et la présentatrice ne bouge plus d’un iota. Un léger bruit la sort de sa torpeur, elle grimace légèrement en sentant les muscles de ses jambes endolories. Ses deux opales se déposent sur la première silhouette. Prête à ignorer la gouvernante, elle détourne le regard en direction de la personne qui la suit. Étonnée de voir la deuxième, un mince sourire étire les traits de son visage. Son regard s’arrêta sur deux gobelets qu’il tenait en main, déchiffrant sans le moindre mal le contenu. Elle descend ses jambes au sol, le fourmillement de ses jambes endormies s’estompe un peu bien qu’elle ait envie de grimacer en se levant. Elle sourit doucement à son interrogation, alors que son ami s’approche à pas de velours de cette dernière. « Bonjour Beau.. » elle prit une grande inspiration, son regard se perdant à nouveau dans la contemplation du paysage. « Je m’attendais pas a te voir ici.. » lui fit-elle gardant ce fin sourire sur le visage. Le voir lui donnait un peu de baume au coeur. « installes toi.. » reprit-elle, son esprit divaguait rapidement. Complètement à côté de la plaque. |
| | | | BONJOUR, NEW-YORK Since : 22/03/2020 Avatar : Benedict Cumberbatch D.C : Heath, Tali et Mason, c'est bien assez comme ça ! Identité : 39 ans Activité : Propriétaire et gérant d'un restauran-cabaret nommé «le Boudoir» Statut : Célibataire et dieu merci Logement : Un appartement tout ce qu'il y a de plus basique à Manhattan Bon à savoir :
Né roux, tu te teins les cheveux en noir depuis ton plus jeune âge, d'abord sous l'influence de ta mère, l'obligation est devenue une habitude • Véritable oiseau de nuit, le travail de ta génitrice qui est devenu tien t'a contraint à vivre de nuit et à dormir de jour. • Tu es hermétique à toute forme d'humour, y compris les sarcasmes et l'exagération. • Amoureux des reptiles, tu es le fier propriétaire de Coal, un python piedbald panda • Féru de langue et d'histoire, tu dévores tout les ouvrages à ta portée. • Végétarien, tu reconnais les multiples bienfaits et avantages d'une alimentation dénuée de viande • Fumeur très actif et buveur occasionnel, tu reconnais volontier les effets apaisants du tabac. • Tu méprisés les réseaux sociaux et les influenceurs, à tes yeux ce n'est qu'un moyen utilisé par les gens «normaux» et ennuyeux pour partager leurs petites vies mornes et désespérantes. Tu prends de haut ce nid à narcissique qu'est Instagram. • Tu te penses incapable d'aimer et d'être aimer. • Frère caché du bon maire Rosenbach, tu suspectes ta mère de ne t'avoir garder que pour l'argent | Dim 3 Mai - 16:17 |
“ Anger and Tears;
Always with you
L'état de la brune était plus que préoccupant. Elle avait choisit de s'isoler et de se recroqueviller sur elle-même, signe évident de son renfermement. Elle était déprimée c'était évident, et d'une certaine manière, ça te rassurait. La dépression était la quatrième étape du deuil, le dernier rempart avant l'acceptation, son périple touchait bientôt à sa fin. Et bien que tu ne te pensais pas capable de l'en sortir pour la traîner de force vers l'acceptation, tu t'étais persuadé que tu pouvais l'aider ne serait-ce qu'à faire qu'un pas vers cette nouvelle étape. Et même si tu ne pouvais lui faire faire qu'un pas, tu t'en réjouirai, lui arracher un moment de pur bonheur serait ta réussite personnelle, une réussite qui te ferais peut-être avancé à ton tour, toi qui eût l'impression de régresser avec la disparition d'Aiden qui te plongea dans une colère noire et perpétuelle, une colère que tu devais gérer seul. Néanmoins, tu réussis par mettre cette rage de côté, t'efforçant même à sourire à cette femme que tu étais sincèrement heureux de revoir, malgré les circonstances.
Elle te fit un léger sourire, te saluant avant de divaguer de nouveau, se perdant dans le décor. Tes lèvres s'étirèrent en une grimace, tombant légèrement. La situation te rendais perplexe, tu ne savais pas vraiment quoi faire alors tu te permis une légère pause réflexion. Tu déposas finalement le gobelet acheté pour la jeune femme avant de faire un pas vers elle et de déposer une main hésitante sur son épaule. Tu tentas de l'interpeller, te décidant de la ramener à la réalité qu'elle semblait s'évertuer à fuir.
«Lou… Je voulais te voir… J'étais inquiet pour toi et tu me manquais. J'ai… Entendu parler de ce qui vous est arrivés. Je voulais te contacter plus tôt mais tu avais sûrement plus besoin de solitude que d'une multitude de condoléances.»
Tes paroles étaient machinales, un peu mécaniques et inhumaines mais c'était ton ressenti. Lors du décès de ta mère, le monde entier s'était plié en condoléances et autres apitoyement, peu t'avais laissé le temps d'avaler la nouvelle et de faire ton deuil tranquillement, bien que tu ne pouvais décemment comparé la mort de ta génitrice qui ne t'avais pas réellement touché à celle de ta cousine qui avait impacté une grande partie de son entourage. Ta voix se fit plus grave, plus inquiète alors tu exerça une légère pression sur son omoplate, comme pour l'inviter à s'asseoir.
«Ça va faire deux semaines … Comment te sens-tu maintenant ?»
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| | | | BONJOUR, NEW-YORK Since : 31/07/2019 Avatar : Emilia Clarke (chaussette) D.C : pas de schizophrénie à déclarer Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie. Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger. Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue. Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure. Bon à savoir :
— déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente —
— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.
3/4, il me reste une mini place
sasha — beau — heath
| Mer 6 Mai - 22:03 |
“ ANGER AND TEARS : always with you Surprise, puis soulagée de le voir ici. Elle l’apprécie Beau, il a une vision différente des choses, même si elle ne s’imaginait pas du tout le croiser ici, pas comme ça, pas dans ce genre de situation. Elle n’imaginait pas se retrouver dans ce genre de situation. A présent, l’américaine, elle divague complétement. Elle ne sait toujours pas comment gérer tout ça, tout ce flot d’émotions qui l’envahit. Elle se sent soulagée de savoir qu’elle peut compter sur lui quoi qu’il arrive. « Lou… Je voulais te voir… J'étais inquiet pour toi et tu me manquais. J'ai… Entendu parler de ce qui vous est arrivés. Je voulais te contacter plus tôt mais tu avais sûrement plus besoin de solitude que d'une multitude de condoléances. » ses paroles semblent pourtant lointaines, comme un écho, elle a du mal. Du mal à comprendre et a assimilée. Pourtant elle hoche la tête à l’explication de la venue du grand brun. Elle a cette foutue impression de ne pas être dans son corps que quelqu’un en a pris possession. Et qu’elle n’est que spectatrice, qu’elle évolue dans une bulle. Elle le regarde pendant une petite seconde, absente, alors qu’il s’avance vers elle déposant les deux gobelets sur la table juste à côté. «Ça va faire deux semaines … Comment te sens-tu maintenant ? » La brune reporte ses yeux clairs sur son ami, alors que ce dernier dépose sa main contre son épaule. Elle se laisse pourtant faire et reprend place. Elle prend une grande inspiration, cherchant ses mots. Elle grimace légèrement, elle ne savait pas quoi répondre du tout à cette question. La brune passe alors sa main sur son visage, elle n’arrivait de toute façon plus à pleurer. Elle ne voulait plus pleurer. Joignant ses mains, son index tapotait nerveusement le dos de sa main. « C’est constant... Ça ne s’arrête jamais.. » le sentiment de manque, la tristesse. Pas un seul moment. Elle n’a pas de répit, jamais ça lui trotte dans la tête. Elle baissa les yeux, se fixant ses doigts. « Je sais que ça passera, parce qu’on arrête pas de me le dire. » ces paroles qu’on lui rabâche sans arrêt depuis près de deux semaines. Elle aurait aimé que tout cela soit plus simple, comme quand on est enfant. On oublie tout du jour au lendemain. « .. J’arrive pas à savoir quand. » elle grimace légèrement, elle releva la tête en direction du grand brun. Elle l’observa prendre place, elle avait besoin de se changer les idées. Lou se redresse sur sa chaise, croisant ses jambes l’une sur l’autre. « Tu as ramené des milkshakes ? » le questionna-t-elle, se forçant un peu à sourire. Elle devait se changer les idées, et sa présence l’aiderait probablement. Ses yeux faisant l’aller-retour sur le gobelet en plastique et son ami. C’était leur habitude, les milkshakes. Depuis qu’ils s’étaient rencontrés, ils avaient cette habitude. Elle aimait passer du temps avec lui. « je suis contente de te voir ici. » |
| | | | BONJOUR, NEW-YORK Since : 22/03/2020 Avatar : Benedict Cumberbatch D.C : Heath, Tali et Mason, c'est bien assez comme ça ! Identité : 39 ans Activité : Propriétaire et gérant d'un restauran-cabaret nommé «le Boudoir» Statut : Célibataire et dieu merci Logement : Un appartement tout ce qu'il y a de plus basique à Manhattan Bon à savoir :
Né roux, tu te teins les cheveux en noir depuis ton plus jeune âge, d'abord sous l'influence de ta mère, l'obligation est devenue une habitude • Véritable oiseau de nuit, le travail de ta génitrice qui est devenu tien t'a contraint à vivre de nuit et à dormir de jour. • Tu es hermétique à toute forme d'humour, y compris les sarcasmes et l'exagération. • Amoureux des reptiles, tu es le fier propriétaire de Coal, un python piedbald panda • Féru de langue et d'histoire, tu dévores tout les ouvrages à ta portée. • Végétarien, tu reconnais les multiples bienfaits et avantages d'une alimentation dénuée de viande • Fumeur très actif et buveur occasionnel, tu reconnais volontier les effets apaisants du tabac. • Tu méprisés les réseaux sociaux et les influenceurs, à tes yeux ce n'est qu'un moyen utilisé par les gens «normaux» et ennuyeux pour partager leurs petites vies mornes et désespérantes. Tu prends de haut ce nid à narcissique qu'est Instagram. • Tu te penses incapable d'aimer et d'être aimer. • Frère caché du bon maire Rosenbach, tu suspectes ta mère de ne t'avoir garder que pour l'argent | Dim 17 Mai - 14:40 |
“ Anger and Tears;
Always with you
Tu demeurais perplexe alors que Lou peinait à répondre à ta question, cherchant ses mots. Tu aurais parié qu'elle aurait fondu en larmes mais aucune goutte de s'écoula, pas la moindre. Ça te surpris, tu la savais forte mais pas à ce point. Tu restais tout de même prêt d'elle, tu craignais qu'elle ne craque, qu'elle ne demande de l'aide alors tu restais là, au cas où, prêt à l'accueillir dans tes bras si elle éprouvait le besoin. Ses mots te perturbèrent, Estela ne t'avais pas préparé à ça. Sa détresse t'atteignait, t'enserrant le cœur jusqu'à le faire saigner. Tu avais besoin de t'asseoir toi aussi. Tu pris place face à elle alors que tu continuais de chercher tes mots, tu devais lui répondre, tu ne devais pas la laisser dans cette détresse et pourtant tu avais l'impression que ton cerveau brassait du vide.
Son changement de sujet te fis sursauter, te ramenant à la réalité. Tes yeux rencontrèrent de nouveau ceux de ta cousine avant de retomber sur les gobelets que tu avais apporté. Tu hochas la tête à la positive avant de lui tendre le sien. Vous aviez pris vos petites habitudes, les milk-shakes en faisaient parti. Vous les sirotiez toujours à la même table, au même dinner, tu choisissais toujours le même goût. C'était une constante à laquelle tu t'étais attaché, une constante que tu avais longtemps craint de voir disparaître, une crainte qui t'avait poussé à remettre ta grande révélation au lendemain, et puis encore au lendemain, et encore au lendemain et encore au lendemain. Et tu savais que tu n'avais pas fini de la reporter, ce n'était clairement pas le bon moment.
«Moi aussi je suis heureux de te revoir. Tu es mon amie, je suis toujours heureux de te revoir. Même si ça ne se voit pas toujours.»
Tu avais conscience de ta froideur, tu en avais toujours eu c'est pourquoi, lorsque tu devais de te montrer sociable avec ta sœur ou tes cousines un sourire forcé se dessinait sur ton visage. Un sourire que les deux soeurs avaient le don de rendre plus sincère. Des sourires forcés, tu étais devenu le roi alors tu voyais bien que celui de ta cousine n'avait rien de sincère.
«Quand ma mère est morte, une femme m'a dit qu'on savait que c'était fini lorsqu'on se mettait de nouveau à rire. Sincèrement. Un bon gros rire tenace. Je ne sais pas si c'est vrai mais … j'aimerai que ça le soit.»
Tu avais peiné à te souvenir de cette histoire, elle était si lointaine et tu étais si distrait lorsque l'on te l'avais conté. En lui déclarant cette phrase, tu t'étais inconsciemment fixé cet objectif: arracher un rire sincère à la blonde.
«Ça te ferait rire de tourmenter ton frère ? On pourrait … L'endormir et l'habiller en fille. Et le faire se réveiller dans le lit d'un autre homme. Ça pourrait être drôle, non ?»
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