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 [RP Flashback] - Feelings change, memories don’t

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyDim 18 Aoû - 22:53
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

La musique du journal télévisé retentit à travers le plateau de tournage. L’écho d’une voix familière brise le silence. C’est elle… Lou. Lou Rosenbach. Si quelques mauvaises péripéties ne nous avaient pas conduits à cette situation, nous serions peut-être encore ensemble. Alors que le réalisateur émet ses dernières directives, un sourire nostalgie s’éprend de mon visage. Certains souvenirs s’imprègnent de ma mémoire… Parfois je donnerai tout pour revivre ces doux moments.

Trois ans auparavant -

Les premiers rayons de l’astre de la nuit tendent à naître. La lumière qui émane d’eux ont chassé les obscures couleurs chaleureuses du jour, ne serait est-ce que pour quelques heures tout au tôt plus… L’épaisse brume blanche qui borde l’orée de la forêt s’élève peu à peu. Les cordes vocales des oiseaux ne vibrent plus au rythme du torrent jaillissant de la cascade aux reflets béryls. La nature s’endort tout doucement. Peut-être même que les biches, les faons et les cerfs sombrent déjà à travers le pays de Morphée. Si l’on tend l’oreille, je suis certain que l’on pourrait entendre le claquement de leurs sabots fouler le sol de ce paysage divin. Toute cette nature si resplendissante, luxuriante offre au commun des mortels un spectacle digne des plus grands peintres de renom. Renoir, Archim Boldo, Matisse ou encore Monet et ses coquelicots… 

À l’heure où fleurit la campagne, je partirais… N’est-ce pas le premier vers qui entame le célèbre poème des Châtiments de Monsieur Hugo ? Quelle question saugrenue ! Quel autre poème ne pourrait-il pas témoigner plus encore de la grandiose, de la virtuosité de cette nature. De tous les dédales végétatifs qu’il existe, Lou a choisi celui qui nous représente. Le morcellement de chacun de ces singuliers recoins en témoigne. 

Pendant que ma femme pousse la lourde porte en chêne, mon regard parcourt l’environnement qui nous entoure. Le paysage qui s’offre à nous demeure si innocent. Le feu crépitant contre le conduit de la cheminée tamise l’atmosphère d’une intime proximité. Nonobstant le charme de notre chalet, Lou parvient à conquérir toute mon attention. Sa voix s’élève, à l’instar de son verre. J’ignore ce qui se dissimule derrière ses propos mais le silence qui s’en suit se retrouve rapidement pris de cours par un nouveau baiser. Le contact de ses lèvres, encore froides, m’extirpe un furtif tremblement. La tumultueuse caresse de nos muscles labiaux mêlée à l’effervescence de nos véritables retrouvailles trahit, silencieusement, l’affection que je lui porte. La rupture de cette liaison s’accompagne d’un sourire ainsi que d’un regard : le sien. 

Le revers de mon pouce s’éprend des courbes de son visage. La différence de taille qui nous sépare ne réussit pas à atténuer le Désir et l’Amour que j’éprouve pour ma femme. « Nous… » L’usage de ce simple pronom personnel se suffit à lui-même. Tout comme Lou parvient à me combler, en tout point. Non on ne peut me confondre avec un autre homme, à l’instar de son collègue ingrat qui a osé poser sa main grasse contre l’enveloppe charnelle de celle qui tourmente mon esprit. Je ne ressemble à aucun autre homme. Moi et mon petit sourire de déjà-vu. Mon regard aigue-marine se perd contre le sien. Vainement je tente de braver le Désir qui s’empare de ma personne. Ses lèvres tendent au péché originel. La lueur incandescente de la cheminée ébauche malgré tous nos visages respectifs. L’instant m’échappe de plus en plus. Je déteste être dans cette posture. Je veux lutter, lutter contre mes instincts, lutter contre l’envie irrémédiable d’embrasser longuement ses lèvres. Le baiser clandestin que nous avons partagé sur le trottoir du restaurant ne me satisfait pas. Au contraire il attise le Désir.

Dans un sobre mouvement, je m’écarte de ma femme afin d’extirper deux paquets cadeaux de mon sac de voyage. Même si je suis incapable d’achever mes phrases incomplètes, Lou le pourra peut-être.  « Nous, et rien d’autre… » Je m’érige près d’elle en lui tendant les deux paquets qui lui sont destinés. Un carnet, encore vierge de tout contact d’une simple plume, et un stylo plume. Ces deux présents témoignent de l’intérêt que je lui porte. Si d’aventure Lou pouvait penser que j’oubliais chacune de ses paroles, même lors de nos disputes, je tiens à lui prouver le contraire. Je m’intéresse à elle, à sa personne avant tout. Le regard qu’elle me porte me pousse à l’inviter à s’asseoir sur le canapé. Dans un mouvement tendre, j’embrasse son front, sa joue puis sa nuque. Jusqu’à présent je voyais le temps comme un voleur qui me prenait tout ce que j’aimais. Mais je sais désormais que vous donnez avant de prendre, que chaque jour est un cadeau, chaque heure, chaque minute, chaque seconde. Être avec elle ou ne pas être avec elle est la mesure de mon temps. « Lou… » Une nouvelle fois la fin de ma phrase se meurt. Le raclement de ma gorge atteste de l’intensité de l’instant présent. Cependant prononcé son prénom demeure l’un des moments appréciables qu’il ne puisse exister.

Instinctivement ma quintuplée gagne la sienne. Tandis que son homologue se saisit du pied du verre de vin qu'elle m'a servi. J'ai l'impression que Lou n'a rien laissé au hasard. Chaque instant semble être minutieusement préparé. Même si je refuse de me l'avouer, il est très agréable de pouvoir se reposer sur quelqu'un. Encore plus lorsqu'il s'agit de la personne que l'on aime. « J’ignore ce que tu as prévu, mais… J’aimerais beaucoup qu’au cours de notre séjour nous puissions nous promener, main dans la main. » Peut-être qu’au cours de cette promenade je parviendrais à lui révéler, véritablement et sans faux semblant, ce que j’éprouve pour elle. Et puis je n’aurai pas à affronter, directement, son regard. Et si tout ce qui nous arrivait n’était pas le fruit du hasard ? Si tous ces évènements auxquels nous avons été confrontés n’étaient l’objectif d’une volonté commune : nous.
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Lou Rosenbach
Lou Rosenbach
BONJOUR, NEW-YORK
Since : 31/07/2019

Avatar : Emilia Clarke (chaussette)

D.C : pas de schizophrénie à déclarer

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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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3/4, il me reste une mini place

sashabeauheath
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyLun 19 Aoû - 2:46
Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach

Épuisante. Épuisante serait le terme le plus juste pour qualifier la semaine qui venait de se dérouler. La seule échappatoire qui se présentait à moi, c’était lui. Son visage, sa façon de se comporter avec moi, l’impression d’être unique au monde. J’avais passé toute ma semaine à organiser ce week-end, je voulais que tout soit parfait, tout soit parfait pour lui.. La maniaque du contrôle que j’étais voulait que tout soit parfait. Nous nous étions échappés comme deux adolescents. On avait réussi à passer inaperçue dans un petit restaurant, le début de la soirée était déjà parfaite à mes yeux, tout ce que je souhaitais, c’était un peu plus de temps. Le temps nous faisait toujours défaut, qu’importe l’endroit où nous étions celui-ci nous filait entre les doigts. Un rapide baiser devant le perron du restaurant, nous nous en allions rapidement.

Le chalet semblait hors du temps, perdu au beau milieu de toute cette verdure. Un petit sourire se dessinant sur mon visage, tandis que je regardais celui que je considérais comme mon âme sœur. C’était ma personne. Je reportais rapidement mon attention sur la route, et finis par garer la voiture au plus loin du sentier. Voulant profiter pleinement du sentier qui menait au chalet, j’attrapai la main de celui qui partageai ma vie pour l’attirer vers l’entrée. Ce chalet appartenait à mes parents depuis des décennies, et il était toujours inoccupé. Les Rosenbach préférant leur manoir construit comme un château-fort, plutôt qu’un cottage perdu dans la forêt. Un rapide coup de fil à la gouvernante, même si cette dernière avait un peu rechigner avant de me rendre ce service. J’avais vraiment dûs user de mes charmes - menaces - auprès d’elle, pour qu’elle cède. Elle avait absolument tout préparer, nous n’avions plus qu’a nous installer et profiter de cette bulle dans nos vies respectives.

La lourde porte en chêne, me faisant presque défaut. Laissant ainsi, Adrian pendant un instant tout seul dehors. Me délestant du trench beige que j’avais sur les épaules. Cet endroit était tout simplement magique, et c’est l’endroit où je me sentais le mieux, ça.. Et les bras de l’homme qui se tenait à quelques mètres de moi. « Que penses-tu d’une bouteille de vin rouge, pour commencer ? » Ce dernier ne me répondant pas, je me saisis de deux verres à vin. Il passa enfin la porte, je laissai la bouteille et les verres sur l’îlot de la cuisine, pour me rediriger vers lui à pas de velours. Venant me planter juste devant lui, le regard brûlant. Je finis par poser mes lèvres contre les siennes. Presque triste de m’extirper de cette étreinte, je souris en le regardant. Parcourant chaque parcelle de ce visage, qui me donnait des papillons dans le ventre.. Sentant son pouce contre ma joue, je fermai les yeux un instant « Nous… » Ce pronom me donnait des frissons qui parcourait toute ma colonne vertébrale.

Il finit par s’écarter de moi, d’une moue un peu boudeuse, je le fixais alors que ce dernier se saisit de son sac de voyage. Je chérissais ses moments comme la prunelle de mes yeux, les courts laps de temps que nous pouvions partager m’emplissaient de joie et d’amour. Je me demandai souvent comment j’arrivais à vivre sans lui à mes côtés. Cela m’apparaissait comme une évidence, quelque chose que je voulais garder uniquement pour moi « Nous, et rien d’autre… », me fit il en me tendant deux paquets, soigneusement emballés. Le regard pétillant, je ne pus m’empêcher de sourire à nouveau bêtement. « On avait dit pas de cadeau.. » Faisant la moue, je le fixai un instant, avant d’ouvrir délicatement les paquets qui se trouvait juste devant moi. Un carnet et un stylo plume, je lui adressai un large sourire. «  Je pourrais y consigner tous les événements important que nous traverserons ensemble.. » Nous nous installâmes sur le canapé. M’embrassant le front, la joue, et la nuque, je déglutis, je n’allais pas arriver à tenir bien longtemps avec ça. « Lou… » Dans sa bouche, mon prénom semblait totalement différent, je pris une grande inspiration pour ne pas laisser mes instincts me dicter ma conduite. Je souhaitais passer du temps avec lui, faire de chaque secondes un souvenir inoubliable.

Je regarde sa main s’emparer de la mienne, comme une évidence. Je lui tendis un verre, que j’avais rempli du précieux liquide rouge que je venais d’ouvrir. « J’ignore ce que tu as prévu, mais… J’aimerais beaucoup qu’au cours de notre séjour nous puissions nous promener, main dans la main. » Levant les yeux vers celui qui faisait battre mon cœur, je me figeai un instant, partagée entre deux sentiments qui me tiraillaient, la surprise dans un premier temps puis quelque chose qui réchauffait mon cœur. Je me pus m’empêcher de lâcher un petit sourire, avec lui j’avais l’impression d’avoir à nouveau quinze ans et que je fréquentais mon premier amour de jeunesse.. « Tu crois vraiment que c’est une bonne idée ? » Faisant une courte pause, je repris avant que mes paroles ne soient mal interprétées. « Je vois déjà les gros titres dire, ‘Qui est donc cette brune une nouvelle conquête ?’ Je ne veux pas être ta conquête du moment, tu le sais bien.. Et puis dans deux semaines, je vais avoir une marrée de journalistes et photographes devant chez moi.. C’est quand même le comble pour une journaliste de se faire traquer par des confrères.. » Me radoucissant aux dernières paroles que je venais de prononcer, posant le verre que je fixai depuis que j’avais ouvert la bouche. Je pris son visage entre mes doigts, plongeant mes yeux dans le bleu des siens. « Je préfère largement te garder pour moi toute seule, plutôt que devoir te partager avec des furies.. » Murmurai-je comme une confession que je n’aurais dus avouer à personne d’autre que lui. « Ne te fâche pas, je t’en supplie.. » Je baissai les yeux vers la robe que je portais, passant la main sur un pli imaginaire de cette dernière.
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyLun 19 Aoû - 22:29
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

Les regards tendres et affectueux que Lou me lance se mêlent à l’ambiance intimiste du chalet dans lequel nous séjournons. Les flammes du feu crépitent contre l’épais mur de brique. Sa voix s’élève à l’instar de son verre. Loin de tout ce qui caractérise notre monde professionnel, la sincérité est à l’honneur. Les caméras sont éteintes des deux côtés. Elle n’est plus la journaliste si adulée. Je ne suis plus l’acteur fantasmé. Il n’y a plus aucun obstacle entre nous à présent. Seule la faible distance qui nous sépare s’apparente à une forme de sécurité involontaire. L’un comme l’autre, nous savons pertinemment ce qui se passe lorsque véritablement nous nous retrouvons. Certains mois nous ne nous fréquentons que très peu… Elle au bout du monde avec ses reportages et interview et moi… Bien trop occupé sur ces plateaux de tournage. Si j’avais su que nos carrières respectives nous mèneraient à cette situation… Pour rien au monde je ne voudrais recommencer mon histoire. Malgré toutes les aventures par lesquelles je suis passé, les bonheurs et malheurs je suis heureux d’être l’homme que je suis. Pourquoi ? Parce que j’existe aux yeux de quelqu’un. Je ne suis pas un simple acteur parmi tant d’autres non. Avec Lou je suis Adrian. Son Adrian.

Je ne compte plus le nombre de fois où je m’inquiète pour elle. Lorsqu’elle me jette un dernier regard en montant dans un avion en direction des zones de conflits, j’éprouve toujours le même sentiment. Et s’il s’agissait de la dernière fois ? Je ne lui ai jamais révélé ô combien je n’appréciais pas ces instants. Pourtant ils existent bel et bien. Les nuits où nous ne sommes pas ensemble je surveille mon téléphone portable. Aux moindres sons ou vibrations, je sursaute en espérant ne jamais lire une terrible nouvelle. Secrètement je sais ce qui se produirait si le pire devait malheureusement arriver… Des semaines durant je ne serais plus présent sur aucun plateau de tournage, télévisés ou mêmes réseaux sociaux. J’ai déjà porté le deuil en Norvège. Je ne tiens pas à l’arborer une fois de plus, même si cette fois il se trouvait outre-Atlantique. À croire que je n’ai jamais eu le temps de partir, les autres le font toujours avant.

Cette date.
Cet instant.
Ce jour où tout a basculé.
Ces secondes qui m’ont paru une éternité.

Ses petites mains s’amourachent autour de ma nuque alors que nous échangeons un nouveau baiser. Le premier d’une longue série. Depuis le premier jour, ses orbes me regardent comme si tous ceux qui se sont épris de ses lèvres n’étaient plus qu’un mauvais souvenir. Ses paroles pourraient me vexer, mais il n’en est rien. Je comprends parfaitement ses raisons. Pourtant j’ai la désagréable sensation qu’elle prononce celles-ci avec une prudence certaine. « Ne te fâche pas, je t’en supplie. » Sans réfléchir, l’extrémité de mon index redresse son menton en direction de mon visage. Je n’ai jamais levé la main sur elle, et ne briserai jamais cette règle. Elle le sait. Je peux parfois m’emporter, mais je ne suis pas un homme violent. Un peu maladroit certes, mais je ne suis pas l’un de ces abrutis sans cervelle qui se complaisent dans leur virilité en frappant leur femme. « Tu me prends vraiment pour un ours grognon ! » Rétorquais-je d’un ton plaisantin afin de lui faire comprendre que je ne lui en voulais absolument pas pour cette remarque. Le revers de mon pouce s’éprend du galbe de sa joue avant de replacer l’une de ses mèches rebelles derrière le creux de son oreille. « Dans ce cas… Il va être très difficile de m’interdire de t’embrasser !  Je ne suis pas un homme facile, tu devrais le savoir non ? » Loin des caméras et de toute mascarade médiatique, nous redevenons nous-mêmes, et non ceux que l’on désire que l’on soit.

D’un geste tendre j’attrape Lou par la taille. La différence de taille qui s’opère entre nous m’extirpe un petit rire. Pour une fois qu’elle me surplombe. La presse n’est pas encore informée de notre liaison. Tant mieux. Je n’aime pas que l’on aborde ma vie privée. Si jadis je n’aimais pas du tout les journalistes, il en est autrement à présent. Lou a réussi à déroger à ce dictat que je m’impose. Une règle que je n’avais jamais brisée avant elle. On dit que les meilleures relations amoureuses sont celles qui mêlent à la fois amitié et amour. Avec Lou l’adage se vérifie à chaque fois que nous nous retrouvons. Elle me parle de son travail, se confie sur ses problèmes et moi je l’écoute en l’embrassant de temps à autre. « Tu sais que tu es adorablement sexy lorsque tu es en colère contre moi. » Glissais-je en la déposant sur le canapé avant de la délester de son verre de vin. Rapidement je reprends une position que nous apprécions tous deux. Allongé contre ce dernier, seule ma tête repose sur ses genoux. « Et alors… Qu’avez-vous prévu, Mademoiselle Rosenbach ? »  Ce vouvoiement inopiné n’est aucunement utilisé pour créer de la distance, elle le sait. En attendant sa réponse, j’embrasse le dos de sa main en espérant qu’aucun de nos téléphones respectifs ne retentit. Surtout le sien. Un évènement et elle partira…
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Lou Rosenbach
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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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3/4, il me reste une mini place

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyMar 20 Aoû - 0:32
Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach

« Tu me prends vraiment pour un ours grognon ! », faisant la moue l’instant précédant, je ne pus m’empêcher de rire, nous étions avant tout des amis avant de devenir des amants, suite à ces années de complicités, ça m’était paru comme ça comme une évidence, je ne voyais plus ma vie sans lui.. Je ne pouvais plus imaginer ma vie sans lui.. Cette distance devenait par moment insupportable, comme une envie de tout claquer et de prendre le premier avion pour le rejoindre. Mais je m’étais fait cette promesse, de toujours faire passer mon travail en premier, ô joie de savoir que ce dernier avait un emploi du temps tout aussi prit que le mien. Je passai rapidement mes doigts dans mes cheveux, jouant avec comme une enfant. « Tu es l’ours grognon, le plus canon que je connaisse.. » Un peu de romantisme, Lou et ses phrases de tueuse. Je ne pus m’empêcher de pouffer de rire à ma dernière réplique, beaucoup trop fière de moi.

« Dans ce cas… Il va être très difficile de m’interdire de t’embrasser !  Je ne suis pas un homme facile, tu devrais le savoir non ? » Un petit rire sortit de ma bouche. Ce jeu du chat et de la souris que nous jouions avant de sortir officiellement ensemble, il continuait encore à certains moments. Même si au final personne a part notre entourage très proche ne le savait. Je souhaitais garder ma bulle le plus longtemps possible. « Je n’aime pas te partager, si je dois t’interdire de m’embrasser pour la bonne cause, je le ferais.. », un petit sourire se dessinant sur mon visage, je ne sais même pas si j’en étais capable de fond. De ne pas le toucher quand il se trouve dans la même pièce. Comme Icare voulant se rapprocher trop près du soleil, j’espérai juste une chose ne pas me faire brûler les ailes.

Il finit par m’attraper par la taille, de ce fait, je me retrouve à être plus grande que lui. Son sourire.. Son rire.. Son visage.. Me font chavirer à chaque fois que mon regard se pose sur lui. Son rire résonne en moi comme une douce mélodie qui m’arrache un sourire une fois de plus..

« Tu sais que tu es adorablement sexy lorsque tu es en colère contre moi. »
Je souris tendrement à sa réplique, alors qu’il me déposait sur le canapé, posant le verre de vin que j’avais dans les mains sur la table basse en bois, prenant soin de s’allonger pour pouvoir poser sa tête sur mes cuisses, caressant légèrement sa joue du bout des doigts. « Je ne suis pas en colère contre toi, je ne peux pas l’être..  » Tu es ma personne.. Pensai-je en me gardant bien de lui avouer. Je l’aimais comme jamais je n’avais pu aimer quelqu’un, tous les autres me semblaient bien fades comparé au blond qui se tenait juste là, coucher à côté de moi. « Il faudrait un jour qu’on s’évade, plus longtemps, loin de New York.. »

« Et alors… Qu’avez-vous prévu, Mademoiselle Rosenbach ? » Je fis mine de réfléchir un instant, soulevant légèrement sa tête pour avoir accès au sac qui se trouvait au pied de la table basse. « Déjà..  » commençai je alors que j’extirpai mon smartphone de mon sac, appuyant longuement sur le bouton principal pour l’éteindre. Un sourire satisfait sur le visage, j’en oublierai presque le deuxième téléphone qui se cachait au plus profond des entrailles de ce que j’appelais plus communément la caverne d’Ali-baba. Éteignant rapidement le deuxième téléphone, j’étais vraiment satisfaite de mon action, moi qui d’habitude ne les lâchais jamais des yeux. Mais ce week-end était le nôtre, et je ne souhaitais en aucun cas être dérangé. Prenant bien soin tout au long de la semaine de bien prévenir tout ceux qui m’entouraient au travail, que je ne serais absolument pas joignable.. « Mademoiselle Rosenbach n’est pas joignable ce week-end..  » Faisant une courte pause, je repris ma place initiale, passant ma main droite dans ses cheveux. Je déposai un baiser sur son front. « Je comptais surtout profiter de toi..  » Lui fis-je en lui adressant un petit sourire en coin. J’étais vraiment malheureuse de toujours devoir l’abandonner, de toujours devoir partir.. Sentir sa présence près de moi, me donnait cette impression de pouvoir gravir tous les obstacles qui se dressaient devant nous. « Tu m’as beaucoup trop manqué, ces derniers jours..  » j’avais cette impression, les jours ne voulant pas se finir, ils tiraient et s’étiraient à l’infini, j’étais tellement pressée de pouvoir le serrer dans mes bras que j’en devenais presque exécrable avec ceux qui partageaient ma journée. Je devrais penser à m’excuser, courant de la semaine prochaine.

J’avais passé les trois dernières semaines dans des régions assez éloignées de toutes technologies avancés, mon collègue avait prit un malin plaisir à me souligner que de toute façon dans le désert le réseau ça ne tombait pas du ciel. J’avais souvent soufflé, et étais prise de crises de colère, que voulez vous chez les Rosenbach, les chiens n’ont jamais fait des chats. Nombre de fois, j’avais jeté rageusement ce téléphone dans le sable, quand tout était calme et que nous étions revenu dans un lieu plus sécurisant. Je secouai la tête à cette pensée, je devais arrêter de penser à ça profiter, chérir l’instant.

« Et toi, mon amour, que voudrais - tu faire, pendant les quarante-huit prochaines heures ?  » lui demandai-je en passant pour le énième fois mes doigts dans sa chevelure, embrassant son front, puis son nez, m’attardant un peu plus longtemps sur sa bouche.. N’ayant aucune envie de me séparer de ses lèvres, je fis durer quelques secondes en plus  ce moment. Haletante, je sentais monter en moi ce désir, ces papillons qui se bousculaient dans mon ventre. Je me laissai retomber en arrière, fermant les yeux un instant. « Je.. » je m’interrompis un instant, était ce le bon moment pour lui dire, peut être pas. « Parle moi de ta semaine, que s’est-il passé de palpitant ?  » je changeai finalement de sujets, pour en revenir sur un peu plus classique, continuant de jouer avec une de ses mèches de cheveux..
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyMer 28 Aoû - 22:56
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

Il y a des jours, des mois, des années interminables où il ne se passe presque rien. Il y a des minutes et des secondes qui contiennent tout un monde. Les rares instants de bonheur que nous dérobons au Maître du temps me paraissent aussi agréables que ses baisers. Sa quintuplée foule ma chevelure, ses yeux me fixent si intensément qu’elle parvient à me faire croire que le monde s’est arrêté. Il n’y a plus de journaliste ni d’acteur. Simplement une femme et un homme qui s’aiment sans parvenir à se l’avouer. Lorsque Lou éteint son téléphone portable afin de véritablement se consacrer sur nous, un sourire satisfait étire le labre de mes lèvres. Sans réfléchir, j’agis de même. Cependant le mien refuse de s’éteindre. Aux grands mots les grands remèdes. J’active le mode avion sur le premier, quant au second je lui retire carrément sa batterie. À présent plus personne ne peut me joindre. Ni mon agent ou même ma famille. « Monsieur Henriksen est indisponible pour les jours à venir ! » Ajoutais-je à sa suite en reposant l’objet responsable de bien des maux sur la petite table basse qui juxtaposait le canapé sur lequel nous sommes installés. La manière dont elle me regarde en me lançant une telle phrase caractérise l’effet que je lui procure. Si Lou pouvait savoir ô combien ce sentiment de manque est réciproque. Les rares moments où nous parvenons à échanger quelques messages se retrouvent rapidement pris de court par nos carrières respectives. Combien de fois ai-je perçu le timbre de voix de ses collègues l’appelant pour une interview quelconque. Si parfois je lui reproche son manque de temps, il en est de même pour moi. Entre nos deux emplois respectifs, il est presque impossible de pouvoir jouir de quelques heures en tête à tête. Soit elle est appelée de toute urgence, soit je suis trop préoccupé par mes activités annexes. « Hmm… Premièrement je vais t’embrasser, ensuite je vais te préparer un bon bain chaud. Deuxièmement j’ai une petite surprise pour toi ! Et troisièmement… » Sans achever ma phrase, je me redresse légèrement afin de l’embrasser. L’espace de quelques secondes, je me tais. Je contemple son si joli visage. L’ourlet de ses lèvres est un péché pour quiconque s’ose s’y aventurer. Ses pommettes s’empourprent d’une carnation carmin. Le sourire qui illumine sa physionomie accentue chacune de ses qualités. Comment pourrais-je m’imaginer avec une autre femme qu’elle ? Lou Rosenbach. L’élégance de son nom n’a qu’un maître : elle-même. Pour rien au monde je ne me risquerai à rompre l’équilibre précaire que nous sommes parvenus à trouver. « … Tout ce qui te fera plaisir, me fera plaisir chérie. » Finissais-je par avouer en attrapant sa quintuplée que je porte à mes lèvres. Le dos de celle-ci ébauche mon visage alors que les effluves de son parfum endiguent ma cavité nasale. Soudain elle prononce un mot, une syllabe avant de se taire. Si je ne profite pas de la situation pour la taquiner, comme j’en ai l’habitude, je ne peux m’empêcher de l’embrasser une nouvelle fois. Un furtif baiser qui ne nous satisfera aucunement. Mais suffira pour lui faire comprendre que je ne lui en veux pas de ne pas avoir achevé sa phrase. Après tout… Je ne suis pas du tout un exemple à suivre en matière de déclaration d’amour. Bien au contraire. Fort heureusement Lou rebondit assez vite sur ma carrière, une belle échappatoire pour une personne qui mène régulièrement des interviews.

Si d’ordinaire je dissimulais certains détails de ma vie professionnelle à mes ex-conquêtes, aussi éphémères soient-elles, avec Lou c’est différent. Même si cela ne lui plaira pas, je lui dis tout, ou presque. Je n’ai pas envie qu’elle découvre une quelconque information via les torchons publics. « Dans l’ensemble elle s’est bien passée. Par contre je tiens à te dire une chose ! » Et là je me tais, juste assez pour laisser le suspens s’insinuer. « La fille avec qui je suis censé être en couple dans la série, embrasse très mal et son odeur n’en parlons même pas ! Un mélange de sueur et de cheval ! » Un petit détail totalement anodin, mais suffisant pour caractériser certains aspects de mon travail, qui n’est pas du tout flatteur. Devoir s’étreindre une personne qui ne nous attire pas du tout et en plus sent affreusement mauvais… Il y a parfois des concessions qu’il faut savoir accepter pour conserver un rôle ou un poste. Lou connaît certainement ce que je vis, à son échelle certes, mais cela peut engendrer des conséquences assez importantes. « Et toi alors ? Raconte-moi tout ! Parce que… À part les belles photographies que tu m’as envoyées, je ne sais rien de plus ! » Demandais-je à mon tour en me calant davantage contre elle. Être avec elle est devenu la mesure de mon temps. Je chéris chaque seconde en sa compagnie. Lorsque nous nous appelons, parfois avec un important décalage horaire, je grogne de ne pas pouvoir passer davantage de temps avec elle. Même si les nouvelles technologies nous rapprochent, elles finissent toujours par nous éloigner. Lorsqu’elle poste une photographie, cela me rappelle qu’elle demeure loin de moi. Trop loin même. « Ah oui j’oubliais… Si tu continues de me dévorer du regard, je vais devoir t’embrasser plus encore ! » Une petite plaisanterie supplémentaire pour détendre l’atmosphère. Après tout le meilleur des couples, c’est celui qui mêle amitié et amour, non ?
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Lou Rosenbach
Lou Rosenbach
BONJOUR, NEW-YORK
Since : 31/07/2019

Avatar : Emilia Clarke (chaussette)

D.C : pas de schizophrénie à déclarer

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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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3/4, il me reste une mini place

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptySam 31 Aoû - 3:36
Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach


Amusée de la situation qui se déroulait devant mes yeux , je ne pus m’empêcher de sourire bêtement, alors que le beau blond en face de moi tentait désespérément d’éteindre l’engin du crime. Il finit par enlever tout simplement la batterie. « Monsieur Henriksen est indisponible pour les jours à venir ! » reposant l’objet de son désespoir sur la table basse. L’objet de notre désespoir à tout les deux, avec le peu de temps que nous puissions avoir ensemble.

Il me manquait un peu plus tous les jours, la séparation devenait toujours un peu plus difficile a force que les années passent, et défilent, j’ai de plus en plus de mal à boucler ma valise. En lui disant qu’il me manquait, je pensais vraiment de plus en plus à arrêter de partir à l’autre bout du monde, ou l’autre solutions c’est de partir avec lui. Mais cette idée semblait un peu saugrenue, je ne pouvais pas lui demander de tout plaquer pour s’enfuir avec moi, c’était de la folie. « Hmm… Premièrement je vais t’embrasser, ensuite je vais te préparer un bon bain chaud. Deuxièmement j’ai une petite surprise pour toi ! Et troisièmement… » Se redressant légèrement pour déposer ses lèvres contre les miennes, comment pourrait-t-on résister a tant d’amour et de beauté, cette complicité, cette bulle fragile que nous parvenions à créer quand nous étions ensemble. « … Tout ce qui te fera plaisir, me fera plaisir chérie. », sentant sa main, se diriger vers ma bouche, mon cœur eut un raté, relevant ma main droite pour la diriger vers sa bouche. Embrassant doucement le dos de cette dernière, je sentis à nouveau des petits picotements qui me traversait toute l’épine dorsale, cette sensation était pour moi l’une des meilleure qu’il puisse m’arriver. « Tu es le meilleur, mon ange.  » Finis-je par souffler à son oreille, toujours assise sur le canapé Adrian coucher juste là à côté de moi.

Je décidai de passer à tabou certaines de mes pensées, je n’avais jamais été programmé pour avouer mes sentiments à toutes personnes, ni même ma famille. Tout avait toujours était question de conflit dans cette famille, et surtout de bien paraître ce à quoi j’excellais à vrai dire, prenant toujours un malin plaisir à les contrarier par la même occasion. Car au final, le jeu en valait la chandelle. Adrian semblait être mon échappatoire, je ne savais absolument pas à quel moment je pourrais lui avouer ce genre de choses qu’il provoquait dans tout mon être, je m’imaginais déjà la tête de ma mère, qui répétait sans cesse que les sentiments ne servaient qu’a affaiblir les gens, et quand je me suis rendu compte que cette dernière n’était même pas capable de nous souhaiter bonne nuit avant d’aller nous coucher, elle le faisait évidement pour ma soeur mais je me demande vraiment si elle avait eut quelque chose à dire sur nos éducation à Ezra et moi. J’hésitais souvent à me faire des amis, ou même nouer quelques liens qu’ils soient, tout était différent depuis que je l’avais rencontré. Depuis que j’avais croisé ce regard dans lequel j’adorais me perdre bon nombre de fois, depuis maintenant trois ans..

Préférant rebondir finalement sur un autre sujet, sa vie quand je n’étais pas là, nous ne nous cachions rien au risque de peut-être blessé l’autre, il ne fallait rien se cacher au risque de l’apprendre d’une manière qui nous déplairait forcément et créerait des tension « Dans l’ensemble elle s’est bien passée. Par contre je tiens à te dire une chose ! » faisant une courte pause, ce dernier tentait de faire durer le suspens, faisant la moue en espérant le faire craque plus vite « La fille avec qui je suis censé être en couple dans la série, embrasse très mal et son odeur n’en parlons même pas ! Un mélange de sueur et de cheval ! » je grimaçais légèrement suite à cette annonce, rien que cette idée me rendait dingue savoir que quelqu’un d’autre que moi puisse le toucher, l’embrasser. Même si je savais pertinemment que c’était son travail, et qu’au final c’était moi qu’il retrouvait à chaque fois en cachette comme des enfants.. Gérer cette relation s’avérait bien plus délicat que ce que je ne l’aurais pensé. Pour éviter de nous retrouver autant l’un que l’autre à la une de la presse à scandale, tous les stratagèmes était bons. Le nom de Rosenbach faisait toujours et encore son petit effet de base j’étais bien plus connue comme étant l’enfant terrible de cette famille de barges que pour mes talents journalistes. Mais la balance avait finit par jouer peu à peu en ma faveur, me faisant un peu plus oublier de ce genre de une, préférant de loin cette situation actuelle, même si je me retrouvais de temps en temps en face-à-face avec mon paparazzi attitré, allez savoir il se trouvait toujours là quand je sortais n’importe où. J’étais bien contente d’avoir réussi à le semer pour pouvoir passer mon week end en amoureux comme quelqu’un de normal. Remettant en ordre mes pensées, pour a nouveau être attiré par la bouille d’ange qui se trouvait juste devant moi. « S’il le faut je lui achète des chewing-gum. » une point de jalousie dans la voix tout de même, je n’aimais pas cette fille, avant même de l’avoir rencontré. Je ne partageais pas ce qui était à moi, même si Adrian était loin d’être mon objet.

« Et toi alors ? Raconte-moi tout ! Parce que… À part les belles photographies que tu m’as envoyées, je ne sais rien de plus ! » J’avais l’impression d’être parti depuis bien trop longtemps, et peu être qu’au final, je ne me trompais pas. Les trois dernières semaines avaient été relativement longues pour moi, sans sa présence pour me rassurer. « Nous avons été envoyés en Israël, d’où les jolies photos que j’ai pu t’envoyer, le cameraman n’arrêtait pas de râler à cause de la chaleur étouffante qu’il y avait là-bas.  » je fis une courte pause levant les yeux au ciel à cette pensée. « Puis il a eut ces deux attentats suicide dans la bande de Gaza, en début de soirée, des bombes à deux checkpoint de la police. C’était un peu la panique.. La population vit sous une telle pression, j’ai envie de tous les emmener avec moi, à chaque fois que je vois ce genre de chose. On avait été hébergés par une famille, qui avait une adorable petite fille.. » Distraite, par ce que je racontais, je continuais de jouer avec ses mèches de cheveux, les souvenirs me revenaient en tête comme des boulets lancés à pleine puissance. « Notre mission terminée, Jack a décidé sur un coup de tête de partir en Jordanie, voir la cité de Pétra, comme si nous avions des laisser passer à travers les frontières.   » Jack étant notre contact sur place, il passait son temps à se déplacer, il avait fini par rencontrer pas mal de personnes, et nous avion pus traverser la frontière en quatre heures. « Les soldats qui nous accompagnent depuis le début de la mission, et un traducteur. La cité de Pétra était magnifique.  » lui fis-je un petit sourire se dressant sur mon visage. Chassant les mauvais souvenirs, ceux qui m’empêchaient parfois de dormir la nuit.

« Ah oui j’oubliais… Si tu continues de me dévorer du regard, je vais devoir t’embrasser plus encore ! » je ne pus m’empêcher  de rire à cette phrase. Il avait toujours cette phrase pour détendre l’atmosphère, ce petit truc en plus, qui me donnait envie de l’embrasser encore et encore. Passant rapidement une main dans mes cheveux, je reposai mon regard sur lui « J’attends mon bain très cher, je te prends au mot, je veux le grand jeu ce soir..  » Embrassant rapidement son front, je renchéris «  Il parait que j’ai une surprise en plus ! Je veux savoir !  » j’adorais les surprises plus spécialement quand elles venaient de lui, même si au final sa simple présence était déjà un cadeau.
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptySam 31 Aoû - 22:30
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

Nous ne nous dissimulons rien. Nos disputes en témoignent. Même si cela ne risque pas de nous plaire, à l’un comme à l’autre, nous en discutons avant de nous disputer et nous réconcilier. Si les différents rôles que j’occupe ne lui plaisent pas, Lou ne s’est jamais privé pour me dire qu’elle n’appréciait pas qu’une autre personne qu’elle m’embrasse ou pire encore… « Malheureusement pour elle, mon amour, les chewing-gums seront bien inefficaces. Par contre si tu la plonges dans un bain de javel et que tu la décapes après au karcher, là peut-être qu’il y a moyen que je survive ! » Le petit trait d’humour que j’emploie n’est pas si éloigné de la réalité. En y repensant c’est une véritable torture que de devoir l’étreindre et l’embrasser. Après tout, la beauté ne remplace pas tout ! Encore moins la bouteille de parfum. J’ignore si Lou a visionné la série dans laquelle actuellement je joue ou encore les films dans lesquels j’ai eu l’opportunité de tourner. Sauf un, I can’t forget but I can pretend, c’est à la suite de ce dernier que nous nous sommes rencontrés. Elle m’a interviewé. Je l’ai regardé, j’ai répondu à ces quelques questions et j’ai compris que ce qui ne peut être dit avec des mots ne peut être compris qu’à travers le silence d’un regard. Je me souviens de ce jour… Je suis arrivé en retard à cause de ce stupide agent de sécurité. Et malgré cela Lou m’a attendu. Elle était là. Un sourire timide en coin, des lèvres qui tendaient au péché originel et cet air si bienveillant. Elle n’était pas comme ses confrères qui s’amusent à s’insinuer dans ma vie privée, avec leurs débiles questions. Et pour la première fois au cours de notre interview je ne me suis pas adressé à la journaliste mais à la femme qui se dressait devant moi.

Les récits de ses aventures me fascinent toujours autant. Lou est la véritable héroïne de ses aventures, alors que moi je le suis héros fictif que le public et scénariste désirent. Les octaves de sa voix se tintent d’une saveur de liberté. Secrètement je jalouse ces magnifiques paysages. Ils ont pu profiter de la présence de ma femme alors que moi non. Il y a toujours quelqu’un ou quelque chose pour entraver nos retrouvailles. Ce soir semble échapper à cette règle. Au fur et à mesure de son récit, un léger pincement se saisit de mon muscle myocardique en entendant le terme « attentat ». Ce simple mot me rappelle qu’elle risque sa vie pour sa vocation. Être entouré de soldat, réussir son reportage tout en veillant sur sa propre vie… Combien de ses homologues se sont déjà défilés devant de telles situations ? Mais elle jamais. Ou alors elle ne me l’a jamais avoué. Et si cela devait arriver, je serais là. Cependant chaque fois qu’elle passe le seuil de ce maudit aéroport un vaste sentiment d’inquiétude me gagne. Et s’il s’agissait de la dernière fois ? Une vie sans Lou ? Ce n’est plus une vie. C’est une survie. Il y a des scènes auxquelles je n’aimerai jamais assister. Celle-ci en particulier. Jamais je ne lui ai révélé cette angoissante peur. Au contraire, je la pousse à privilégier sa carrière. Un talent comme le sien ne devrait pas se retrouver entraver, pas même par moi. Dans le plus grand des secrets, j’écoute toutes les interviews qu’elle a menées, lis et conserve chacun de ses articles. La plume journalistique de ces derniers ne ressemble à aucune autre. Je suis certain que d’ici quelques années elle présentera le journal télévisé ou mieux encore… Elle possède toutes les qualités et l’envergure des plus grands de ses pairs. Je suis certain que son premier article sera une franche réussite. Elle me conte avec une telle intensité ses souvenirs que certains en deviennent douloureux. J’aimerais être à ses côtés. Pouvoir l’étreindre ces soirs où la violence demeure trop présente. Mais non… Un océan d’absence nous sépare l’un de l’autre. Silencieusement je suis fier d’elle. Ce n’est pas par hasard qu’il s’agisse de la première personne avec qui j’ai réussi à trouver une once d’équilibre. « Tu sais que tu n’as qu’un seul mot à dire pour que je te rejoigne… » Répondais-je à la suite de son récit. Malgré nos emplois du temps surchargés, voire même impossibles à concilier, je suis prêt à abandonner plateaux de tournage, interviews ou toute autre activité pour la rejoindre. Si Lou a besoin de moi, je serais présent. Une fois de plus j’embrasse la paume de sa main avant de la reposer contre mon cœur. Un geste très symbolique pour le couple que nous formons. Nous n’habitons pas ensemble. Lou possède encore son appartement et moi le mien. Parfois nous nous rejoignons chez l’un ou l’autre. Malheureusement nous ne disposons pas de véritable chez nous. Un endroit où nous pourrions nous retrouver sans que personne n’en soit informé, sans qu’une horde de journaliste voyeurismes ou de paparazzi en furie ne débarque.

« Oh mais tu es une petite curieuse dis donc ! Et si j’ai envie de te faire patienter un peu, que comptez-vous faire, Mademoiselle Rosenbach ? Si c’est une grève de bisous, n’y comptez même pas.  Vous céderez bien avant moi ! » Le ton que j’emploie est taquin. Bien loin de celui que j’utilise lors de mes interviews. Avec Lou je peux réellement être moi-même. Sans attendre sa réponse, je quitte le confort de ses genoux afin de me lever. Non sans un dernier baiser. Cette fois c’est moi qui me penche dans sa direction. Si je me laissais tenter, nous ne quitterions jamais le canapé. Toutefois il le faut ! Dans un élan presque courageux je délaisse son étreinte afin de lui préparer, comme promis, un bon bain chaud. Quelques minutes plus tard, je reviens dans le salon, l’incite à se relever avant de l’entraîner dans la salle de bain. « Je vous attends, Mademoiselle Rosenbach. » Puis je tourne les talons. Au dernier moment je me retourne dans sa direction. « Je n’ai pas oublié ton péché mignon. » Lançais-je en désignant le plan de travail sur lequel reposait l’une de mes chemises. À chaque qu’elle s’envole, une ou plusieurs d’entre elles disparaissent mystérieusement. À présent je sais qui est responsable du kidnapping de ces dernières. Sans attendre une quelconque réponse de sa part, je quitte la petite pièce chaude. Inutile de préciser qu’elle ne devrait pas trop s’attarder. Et puis si Lou s’amuse à y rester plus de temps que de raison, je viendrais moi-même la rechercher. En attendant, je rejoins le balcon. L’air frais de cette soirée m’offre une bouffée de liberté dont j’ai cruellement besoin.
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Lou Rosenbach
Lou Rosenbach
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D.C : pas de schizophrénie à déclarer

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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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3/4, il me reste une mini place

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyDim 1 Sep - 1:30
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@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach


« Malheureusement pour elle, mon amour, les chewing-gums seront bien inefficaces. Par contre si tu la plonges dans un bain de javel et que tu la décapes après au karcher, là peut-être qu’il y a moyen que je survive ! » Une moue désapprobatrice plaquer sur mon visage, je n’aime au finale pas cette idée, comment pouvais-je imaginer que quelqu’un d’autre puisse embrasser la personne que j’aimais le plus au monde, j’aurais tout donner pour pouvoir prendre la place de cette fille, rien qu’a imaginer la scène se dérouler devant mes yeux. Je n’avais jamais vraiment regardé les épisodes de cette scie dans laquelle Adrian jouait, de peur de faire une crise de jalousie plus que terrible. Je ne voulais en aucun car me défouler sur lui, je n’aimais pas ces moments ou nous entrons en conflit tous les deux me sentant toujours coupable de ce sentiment qui prenait le dessus, comme une bête cacher dans l’ombre. «  j'irai acheter de la javel avant de repartir mardi matin, pour ton bien-être.  »" je tentais d'être drôle malgré cette petite pointe de jalousie qui naissait en moi comme une étincelle qui pouvait déclencher un feu à tout moment.


« Tu sais que tu n’as qu’un seul mot à dire pour que je te rejoigne…  » Le ton emprunté me faisait manquer des battements de ce qu’on pouvait appeler un coeur, s’il le déchirait en morceau je continuerais de l’aimer quoi qu’il arrive il était mon évidence, comme si nous avions toujours été fait pour nous rencontrer. D’ailleurs, cette rencontre avait changé ma vie à tout jamais, ce regard, ce sourire, ce qui faisait de lui un être à part entière. Toujours plus vite, toujours plus haut, je ne voyais pas mon ascension sans lui à mes côtés. Embrassant une fois de plus la paume de ma main, comment pourrait, on résister a tant d’amour. Je tentais vainement de prendre du recul par rapport à la situation, comment dire non à ce genre de propositions. J’hésitai un instant avant de prendre la parole, fixant toujours nos deux mains enlacé comme si elles étaient faites l’une pour l’autre. « Je ne peux pas te demander ça, tu le sais très bien..  » Embêtée, c’était le mot qui résonnait en moi, mon coeur me dictait une certaine conduite, alors que mon cœur le contredisais à chaque instant. « Je ne veux pas briser tout ce que tu as pu construire, je sais que tu seras toujours avec moi, mais prendre ce risque..  » je relevai la tête pour le fixer un instant dans les yeux, me perdant dans la profondeur de son regard azur, regard qui me perturbait à l’instant où je l’avais croisé, cette rencontre avait peut-être causé ma perte, mais me changeait à tout changer, ne voulant de moi que le meilleur. Cette interview, cet agent contre qui j’aurais voulu défouler toute ma haine et mon impatience, tout ça fait changer à partir du moment, plus jeune je l’étais, c’était certain, j’avais cette patience que certains de mes collègues auraient aimé avoir le secret. J’avais attendu pendant un bout de temps, assise dans cette chaise qui me semblait bien trop inconfortable pour moi, on m’avait promis que je pourrais voyager et partir voir d’autres horizons si je faisais cette interview. Dieu merci, j’avais accepté, je ne pensais pas être aussi croyante à cette période de ma vie. Cette petite interview avait bien duré deux heures d’après mes souvenirs, j’avais été subjuguée par ses paroles plus que par l’interview qui de base m’ennuyait plus que de raison. « je ne veux pas tout gâcher, en te demandant de venir avec moi.  » employant la petite voix, tentant de me convaincre qu’il ne devait pas être avec moi dans ce genre de situation, pourtant, je rêvais chaque nuit, de me retrouver dans ses bras : protecteur, mais amoureux plus que tout, ses paroles rassurantes, tout mon être criant de pouvoir sentir sa présence contre moi.

« Oh mais tu es une petite curieuse dis donc ! Et si j’ai envie de te faire patienter un peu, que comptez-vous faire, Mademoiselle Rosenbach ? Si c’est une grève de bisous, n’y comptez même pas. Vous céderez bien avant moi !  » avant que je ne puisse en placer une, ce dernier est déjà parti, me redressant toujours sur le canapé, j’étais bien trop curieuse de savoir ce que ce dernier me réservait, mais la pointe de fierté en moi me dictant que je devais rester assise sur ce foutu canapé, alors que le reste de mon corps me dicte de courir le rejoindre et l’embrasser jusqu’a en avoir le souffle coupé. « Je veux bien prendre le pari de savoir qui craquera avant l’autre  » lui fis je en parlant un peu plus fort, afin qu’il m’entende depuis la salle de bain. Un petit sourire en coin, je me posai vraiment cette question, mais le jeu en valait vraiment la chandelle au final.. Regardant autour de moi un instant, ce chalet avait quelques choses de rassurant. Je m’y sentais bien, même si ce dernier avait toujours appartenu à ma famille. Il revint quelques minutes plus tard, me coupant dans ma méditation. « Je vous attends, Mademoiselle Rosenbach.  » prenant ma main pour me faire me lever du canapé, les jambes engourdies a force d’avoir été assise. Je finis par lui faire face, alors qu’il se retourne après avoir parcouru les quelques mètres qui nous séparait « Je n’ai pas oublié ton péché mignon.  » Passant ma main droite sur mon cœur, faisant mine d’être choqué par cette annonce, je regardais à mon tour le plan de travail ou siégeait une chemise. « Je ne vois pas du tout de quoi tu me parles, j’y suis absolument pour rien si elles disparaissent subitement, je pense que tu devrais interroger ton chauffeur, peut-être qu’il t’aime en secret..  » Haussant les épaules, un air innocent sur le visage, son chauffeur n’était en aucun cas le voleur de chemise attitrée, et nous le savions tous les deux. Je ne pus m’empêcher de rire face au regard qui me lançait.. Je déposai rapidement les deux verres de vin sur le même plan de travail ou étais cette chemise qui serait mienne dans très peu de temps.

Il finit par disparaître alors que je restais bloqué sur cette chemise, je passais la tête par l’embrasure de la porte de la salle de bain, fronçant les sourcils ne le voyant pas, je me dirigeai à pas de loup, vers l’endroit où il semblait l’être. Les bras croisés, fixant l’horizon, je marque un temps d’arrêt. J’aimerais que cette image reste graver à tout jamais dans ma mémoire. Une bouffée d’air frais envahit ma poitrine, alors que je passe la porte menant au balcon. Enlaçant mes bras autour de sa taille, je pose délicatement, mes mains sur son torse, je dépose délicatement. J’hésitai un instant à briser ce silence si précieux. « L’eau va refroidir..  » bon, ok le romantisme est mort à l’heure actuelle. « qui a-t-il mon amour ?  » lui fis-je alors que ce dernier fixait toujours l’horizon. Le serrant un peu plus fort, je pris un grande inspiration, allais-je vraiment dire ce qui me traversait l’esprit ? « Je t’aime Adrian, plus que n’importe quoi sur cette terre.  » lui fis je chuchotant, action totalement inutile car nous étions seuls au beau milieu de ce grand terrain, mon cœur battait la chamade, tentant de calmer mon palpitant. Le fait qu’il soit dos à moi me facilitait grandement la tache, j’avais dit ça, comme si on avait oublié de me greffer un filtre. « Je t’aime, je pense depuis la première fois où je t’ai rencontré..  » toujours en chuchotant, cette confidence faisait peut-être l’effet d’une bombe. Je me détachai rapidement, je pris la direction de la salle de bain, enlevant les escarpins que j’avais aux pieds. Je n’aurais peut-être pas dû lui dire, garder tout ça pour moi, comme le plus gros secret de ma vie.. Prenant une longue inspiration, je sentis une main se poser sur mon épaule. Je n’osai en aucun cas me retourner, je n’avais pas envie de lui faire face.

« Tu peux m’aider ?  » désignant de ma main la tirette de la robe que j’avais portée toute la soirée, alors que je n’arrivais pas a la deziper moi-même.
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyDim 1 Sep - 16:49
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@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

L’air frais de cette agréable soirée m’enveloppe et me serre contre lui. En aucun cas il ne peut se substituer à la chaleur réconfortante de Lou. Sa voix vient égayer le silence auquel mes oreilles venaient de s’accoutumer. Ses petits bras s’amourachent autour de ma taille. Sa joue se pose contre mon dos. Ces quelques secondes de bonheur que nous dérobons au Maître Temps me paraissent affreusement courtes. Dans trois jours elle sera loin de moi et je chérirai ces quelques minutes du plus profond de ma personne. Sa remarque sur la température de son bain me dérobe un petit sourire à mi-chemin entre la taquinerie et le bien-être. Soudain Lou réussit à capter plus que mon attention. Surprendre Adrian Henriksen c’est une chose. Mais surprendre Adrian en est une autre. Lou parvient exactement à perturber les deux hommes qui sommeillent en moi. Sans me laisser le temps de répondre, elle rompt notre étreinte en quittant le balcon. Pendant quelques secondes mon corps refuse de me laisser esquisser le moindre mouvement dans sa direction. Comme si la nouvelle qu’il venait d’apprendre le laissait totalement impuissant. Une brise nocturne réussit à ébranler sa fierté pour que je puisse la rejoindre. Ma quintuplée se pose contre son épaule dénudée. Au moment même où je tente de m’exprimer, Lou me coupe pour me demander de l’aider à avec la fermeture éclair de sa robe. Mais que croit-elle ? Que je vais sagement lui obéir et la laisser se prélasser d’un bon ban chaud ? Certainement pas.

Cette fois je ne lui laisse pas le choix et me place devant elle. Ses orbes bistres me regarde avec une telle intensité qu’il me devient pénible de conserver l’image que je dégage. Il n’en faut pas plus, pas moins pour qu’elle parvienne à abaisser les barrières qui nous séparent. Lou parvient sans aucune difficulté particulière à fendre mon armure. Je sais que certaines situations lui sont pénibles. À chaque fois que l’on me pose une question sur ma vie privée, je réponds toujours que je suis célibataire. Je ne veux pas qu’elle se retrouve à essuyer le revers de la médaille de la célébrité. Si dans un premier temps elle le comprend, je sais quel horrible sentiment peut s’emparer d’elle. Comme si je pouvais avoir honte d’elle. Comme pourrais-je avoir honte d’une telle femme ? Si toutes les cérémonies auxquelles je suis invitée, j’apparais seul, sans personne aux bras commencent à me peser. Il n’en est rien comparé à la peine qu’elle me procurerait en la voyant harceler de part et autres.

Le chalet dans lequel nous sommes regorge d’intimité. On dit que le véritable plaisir d’une vie ce sont les surprises. Ce soir Lou est parvenue à me surprendre plus que de raison. Je comprends à présent pourquoi ses lectures l’apprécient tant. Elle sait insinuer le suspense et le briser au moment opportun. Naïvement je pensais qu’elle se faufilerait dans son bain, mais il n’en n’est rien. Bien au contraire. Elle m’a rejoint sur ce balcon pour m’avouer quelque chose de plus fort, quelque chose qui nous dépasse tous deux. Quelque chose à laquelle je ne m’attendais nullement. Et pour la première fois, je suis à court de mot pour décrire l’effet qu’elle me procure. Pour la première fois, je demeure muet derrière mes sentiments.

J’ignore si Lou parvient à percevoir, mes inaudibles et muets je t’aime.
J’ignore comment elle réussit à supporter mon caractère de cochon.
J’ignore si elle a conscience de l’impact de sa présence.
J’ignore si ces nuits où je me réconforte contre elle l’affectent autant que moi.

Le feu crépite contre l’épaisse brique rouge qui recouvre le conduit de cheminée. La faible lueur qui en émane suffit à éclairer la pièce et nos silhouettes. Une épaisse brume opalescente recouvre peu à peu le dédale végétatif. Le silence s’éprend de Dame Nature. Seuls les battements de nos cœurs parviennent à rythmer ce dernier. Nous sommes seuls. Plus rien n’a d’importance. Ni le temps. Ni l’espace. Lou m’humanise et me rend réel. Ces quelques paroles suffisent à me rendre fou : d’elle, de son rire, de son odeur, de sa douceur, de ses yeux pensifs, de son regard concentré quand elle lit.

Cependant j’éprouve la plus grande des difficultés à dévoiler mes sentiments. Pourtant ils sont bel et bien existants. Je ne sais pas si elle s’en doute, mais je refuse qu’elle l’ignore plus longtemps. Malgré cette peur et cette appréhension, mon regard s’élève en direction du sien. Elle me fixe si intensément qu’il serait insensé que de ne pas lui répondre. « Je… » Une fois de plus je refrène ces trois mots, pour les substituer par un seul et unique. Lou ne désirait sans doute pas l’entendre et pourtant c’est lui qui s’est échappé de mes lèvres. Le revers de mon pouce s’échoue contre le galbe de sa joue. Puis nos lèvres s’étreignent. Légers. Passionnés. Piquants. Silencieux. Vaporeux. Émouvant. Bouillonnants. Fébriles. Fragiles. Exacerbés. Parfumés. L’océan de ses baisers n’est pas prêt de s’évaporer.

Sa bouche est venue
Se pose sur la mienne.
Je suis devenu aveugle,
Sourd, muet.
Né pour cette seconde-là. 

Mon visage se réfugie contre son cou afin d’échapper à son regard. Le panel de baiser que j’y dépose me permet de ne pas perdre le contrôle. En quelques minutes Lou vient de perturber le dérouler de cette soirée. « Je suis amoureux… » Un je t’aime inaudible, mais perceptible. Mes quintuplées cernent ses hanches, avant que l’une d’entre elles ne vienne se saisir de la fermeture éclair de sa robe. Lentement elle descend jusqu’à la chute de ses reins. « … De toi. » Murmurais-je en cherchant une quelconque forme de réponse à travers l’expression de son visage. Je ne lui ai jamais révélé, et ne lui confierai certainement jamais ô combien j’ai besoin de sa présence, de savoir à quel point je compte à ses yeux. Et pourtant… À travers son regard je vis, j’existe.
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Lou Rosenbach
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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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3/4, il me reste une mini place

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyLun 2 Sep - 1:02
Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach

Pensant pouvoir y échapper faire comme si de rien n’était, j’aurais peut-être fait de tout garder pour moi. J’avais toujours tendance à agir avant de réfléchir. Ce qui en soit était l’un de mes plus gros défaut, je n’avais même pas pris le temps d’attendre sa réponse avant de disparaître dans la salle de bain, peut être qu’au final ça ferait oublier les cinq minutes qui venaient de se dérouler. Seule, dans cette salle de bain, je prends deux minutes pour réfléchir à ce que je venais de faire, je ne savais toujours pas si j’avais bien fait de le lui dire. Les gestes en valaient beaucoup plus à mes yeux que des paroles, mais j’avais grandement envie de lui dire, de lui montrer bien plus que par des baisers ou des étreintes que je l’aimais de tout mon cœur, âme et corps. Ces longues nuits loin de lui m’avaient fait réaliser de l'amour que je lui portais, mais qu’avais je encore fais ? Je sens sa main se poser sur mon épaule, sursautant presque à son contact. Lui demandant vainement de s’occuper de la tirette récalcitrante, comme si ça allait changer et que l’on allait reprendre le court normal des choses. Il me fait face, je me risque à le regarder un instant dans les yeux. Cet instant semble durer une éternité comme si la terre, c’était arrêter de tourner pour nous, je bénis l’idée d’avoir éteint mon maudit téléphone, c’était toujours dans ce genre de moment qu’il se mettait subitement à sonner sachant tout le moment magique qui pouvait se dérouler entre nous.

«Je… » Je continue de le fixer un instant, comprenant enfin ce qu’il semblait vouloir me dire. Son pouce sur mes lèvres, je craque je me laisse aller. J’attrape ses lèvres, l’embrassant longuement, tentant de lui faire comprendre tout ce que je ressens à l’heure actuelle. J’ai toujours voulu être compréhensive avec lui, ce soir, je m’étais lancé, j’avais pris mon coeur le déposant sur un plateau et lui offrant en cadeau, il pouvait à présent en faire ce qu’il voulait, comme bon lui semblait. Je m’étais rendu compte qu’il était la première personne pour qui j’avais envie de me battre, cette personne pour qui on a envie de se lever le matin et le rendre fier.. Malgré le fait que nous ne nous affichions pas en public, lui évitant de se dire en couple devant les harpies. Et moi éludant toujours ce genre de questions, face à mes collègues et ma famille bien trop curieuse, lui se prétendant célibataire à la vue des caméras. Parfois, je me surprenais à quand même être jalouse, quand je voyais ces mannequins et autres écervelées accroché à son bras comme si elle était la seule au monde. Me faisant souvent violence pour ne pas lire la presse people, où celle-ci disait qu'il filait le parfait amour avec le dernier mannequin en vogue, je jetai en général assez rapidement ces torchons. Cette relation durait déjà depuis plus de trois ans et nous arrivions a nous contenter de tout ça pour garder le peu d’intimité, la seule personne qui était au courant de tout ça devait être son majordome et ma petite soeur qui je savais qu’elle garderait sa langue, même sous la menace de notre frère. Wilfried nous aidait toujours en cas de situations farfelues, nous permettant de nous rejoindre sans trop d’encombres..

Son visage dans mon cou, il finit par reprendre la parole. « Je suis amoureux…  » Trois mots qui me firent frissonner, sentant tout les muscles de mon corps se contracter à cette annonce, je baisse la tête pour regarder ses mains descendre sur mes hanches. Sa main droite s’emparant de la fermeture éclair de ma robe, sa main glissant le long de mon dos accompagnant la fermeture de la robe, provoquant un vague de chaleur en moi. « … De toi.  » Finit-il par murmurer dans un souffle, un petit sourire niais sur le visage. Je redresse son visage de mes doigts, le fixant un instant dans les yeux. « De moi, tu es sûre ?   », lui fis je un petit sourire en coin sur le visage, caressant doucement sa joue, j’agrippais sa chemise de ma main libre. Mon index et mon pouce firent sauter les premiers boutons de la chemise qu’il portait. Posant délicatement ma main sur son torse à présent nu, je passais mes mains autour de son cou pour l’embrasser, ses lèvres étaient la chose la plus douce que je connaisse. « Du coup, je peux te le redire ?   » Cherchant son regard pour avoir son approbation. Ne voulant pas attendre une seconde en plus, je le regardai « Je t’aime Adrian   » me penchant à nouveau pour l’embrasser encore un fois, passant ma main dans ses cheveux. Un grand sourire sur le visage, la robe encore ouverte.

« Tu as perdu..   » Le défiant du regard, devant son regard interrogateur. « La grève de bisous, c’est toi qui as céder en premier..   » Mon regard s’illuminant à ma remarque, je ne pus m’empêcher de glousser légèrement. Je retrouvais une âme d’enfant que je me retrouvais en sa présence, j’avais l’impression d’être vraiment moi. Ne pas avoir à me cacher devant des faux-semblants, et des sourires hypocrites. Jouant un instant avec la bretelle de ma robe, ne pouvant m’empêcher de regarder Adrian dans les yeux.. Faisant tomber peu à peu la robe sur mes épaules, me mordillant légèrement la lèvre continuant de la fixer dans les yeux, je voulais lui montrer à quel point je pouvais l’aimer, a quel point je ne pouvais me passer de lui, dans ma vie. Que chaque séparation était pour moi une déchirure au plus profond de mon âme.
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyMar 3 Sep - 13:16
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

Pour rien au monde cet instant de quiétude ne devrait être rompu. Ses regards amoureux, ses lèvres enchanteresses, ses divines caresses. Je jalouse tous ceux qui m’ont substitué ne serais est ce qu’un minime moment. Personne… Personne au monde, ne peut lui apporter tout ce que j’ai à lui offrir. Je n’ai pas encore eu l’opportunité de lui murmurer l’étendue de mes sentiments… Mais ils ne sont rien comparé à la profondeur des émois qui bouillonnent dans mon cœur. Je donnerais tout pour elle. Même si je dois laisser mon cœur sur le trottoir pour son bonheur… Je suis prêt à balancer argent, confort et célébrité si c’est le prix à payer pour n’être qu’avec elle… Je veux lui permettre d’oublier ces hommes de passage qui ne l’ont pas regardée ou mal. Ces aventures au goût amer. Ces rejets qu’elle dissimule sous un masque de fierté inavouée. Parfois je la sens si fragile, si chancelante. Toutes les horreurs qui défilent devant ses yeux, en zone de guerre, ne me laissent bien évidemment pas indifférent. Ces nuits où Morphée tente d’apaiser son esprit, il se retrouve terriblement inefficace face aux visions de violence dont elle a été victime. Et à chaque le même réflexe de réconfort survient. Après une chaude tisane, Lou se blottit contre moi. Son souffle chaud et court caresse ma nuque avant d’achever sa course contre mon échine. À ce moment je bénis mon sommeil léger. Je me retourne afin de la laisser s’éprendre de mes bras, avant de l’embrasser tout en lui murmurant que je suis là. J’ignore si cela lui permet de s’endormir plus paisiblement, mais je tiens à être présent.

Sa question taquine étire un sourire le long du labre de mes lèvres. Sans réfléchir, l’un de mes sourcils s’arque d’un air interrogatif. « J’ai dit que j’étais amoureux de toi ? Tu es sûr ? » Ce petit jeu m’amuse. Nous nous réfugions tous deux derrière l’humour lorsqu’il s’agit de nos sentiments. Comme si nous étions parfaitement incapables d’être sérieux en ces instants. Pendant quelques secondes, je fais mine de réfléchir en levant les yeux aux ciels l’air pensif. « Tu dois entendre des voix mon amour. C’est le début de la folie ! » Alors que je me penche afin de l’embrasser de nouveau. Mais au dernier moment je me ravise. Mais que croit-elle ? Que je suis un homme à me laisser faire aussi aisément ? « Ce soir j'ai peut-être perdu, mais j’ai gagné ton cœur. » Ajoutais-je d’un air victorieux en la soulevant par la taille. Instinctivement ses jambes s’enroulent autour de mes hanches. D’un air innocent et angélique, ses petits doigts s’affairent à déboutonner les premiers boutons de ma chemise. Puis ses épaules dénudées s’échancrent. « Je crois que le bain devra attendre… » Et sans lui demander l’autorisation, je la dépose contre le plan de travail avant de relever son visage en direction du mien. « Avec toi je pourrais vraiment devenir quelqu’un de bien… Ton homme. » Murmurais-je entre deux savoureux baisers. Sa nuque est à moi pour toute la soirée et même plus encore. Elle est rentrée dans ma vie comme sans prévenir. Je m’étais habituée à une vie instable où les filles n’étaient que de passages, où les regards ne me procuraient plus rien. Mais Lou a réussi à rétablir ce stress. Celui de la rencontre et du premier baiser, où les silences à se regarder demeuraient atrocement attirants et enivrants. Je ne me suis jamais senti aussi vivant que lorsque je suis dans ses bras. « Lou… » Son prénom m’échappe. À mes yeux c’est le plus beau prénom qu’il puisse exister.

C’est dingue. C’est fou. C’est l’effet Lou. Les octaves qui jalonnent sa voix défrayent instantanément le Désir qui ne cesse de hanter chacune de mes pensées. J’ignore pourquoi je demeure autant à sa merci, dès l’entente de ces trois mots et de mon prénom, une affolante vague incandescente s’éprend de ma personne. Entendre mon prénom rouler d’une manière si sensuelle me procure un effet des plus extrêmes. Lou réclame un monde qui lui semblait encore impénétrable. Alors que les pans de ma chemise finissent par s’éprendre du carrelage froid. Je me joue de sa robe, qui ne tarde pas à la rejoindre. Il y a quelques minutes encore, la faible distance qui nous caractérisait n’existe plus. Assise contre le plan de travail, ses petites quintuplées s’agrippent fermement à ma nuque. Son tendre regard cherche une quelconque forme de réponse. Son souffle chaud se heurte à mon silence. Sa phrase s’éteint au moment même où ses lèvres charnues retrouvent leur place alors que sa langue se joue de la mienne. Son regard trahit cette irrésistible envie de Désir. Aujourd’hui elle ose. Elle brave l’inconnu pour ce monde qu’elle n’a que trop peu exploré. Est-ce là sa réponse à mon interrogation ? Ou bien se retrouve-t-elle perdue entre nous tous ? Son travail si prenant et la confiance dont elle me témoigne. Est-ce là une manière de retarder l’inévitable ou bien de me répondre ? Je ne saurais vous décrire l’état actuel dans lequel je me retrouve. Je suis tourmenté entre deux sentiments que tout oppose. En somme les deux faces d’une même pièce. D’un côté elle est là et de l’autre je suis là. Tout nous différencie et nous réunit. Promptement j’extirpe un écrin, avec la clé de mon appartement, puis le lui présente. « Veux-tu emménager avec moi ? » J’avais prévu cette demande pour plus tard dans la soirée, mais la tournure des évènements me pousse à lui avouer maintenant. Nous n’avons jamais encore sauté le pas. Parfois nous en discutions sans réellement concevoir une vie ensemble. Mais ce soir… Tout semble à jamais bouleversé. J’ai compris. J’ai compris que parfois, on ne peut avancer sans certaines personnes. J’ai compris. J’ai compris que parfois, il ne suffit que de quatre yeux qui se regardent pour être heureux. « La prochaine fois… Je serais à genou, avec une bague ! » Malgré tout le sérieux de cette situation, je ne peux m’empêcher d’esquisser un trait d’humour. Nous n’en avons jamais parlé et surtout… Fonder une famille n’est véritablement pas à l’ordre de mes priorités. Je privilégie davantage ma carrière à une potentielle vie de famille inexistante. Mais pour le moment je garde cette information secrète.
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Lou Rosenbach
Lou Rosenbach
BONJOUR, NEW-YORK
Since : 31/07/2019

Avatar : Emilia Clarke (chaussette)

D.C : pas de schizophrénie à déclarer

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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyMar 3 Sep - 17:31
Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach

« J’ai dit que j’étais amoureux de toi ? Tu es sûr ?   » Ce sourire, comment ne pas se damner pour ce sourire ? J’aimerais pouvoir me réveiller tout le restant de ma vie face à ce visage, ce serait mon vœu le plus cher. Pouvoir vieillir avec lui, nous trouver une maison, des enfants, lui et moi contre le reste du monde. Comme s’il n’y avait que ça qui existait, comme si c’était une évidence entre nous. Je ris à sa réplique, vaincu à mon propre jeu, vaincue tout court par Adrian Henriksen. Pouvoir vieillir avec lui, nous trouver une maison, des enfants, lui et moi contre le reste du monde.  « Tu dois entendre des voix mon amour. C’est le début de la folie !   » Secouant la tête, amusée, il approcha ses lèvres de mon visage, sentant son souffle chaud sur moi. Puis s’éloignant à nouveau, ma bouche formant un o, surprise par ce revirement de situation. Je finis par lever les bras en l’air. « Je plaide la folie de t’aimer, c’est sûr..   »  Attrapant sa chemise pour l'attirer vers moi.

« Ce soir j'ai peut-être perdu, mais j’ai gagné ton cœur.   » Faisant la moue face à son affirmation, je pense que j’allais en entendre parler encore longtemps, de ma déclaration, vu comment on était partie ça allait pouvoir en faire tout un tas de blagues. M’attrapant par la taille, j’enroulai mes jambes autour de sa taille. Défaisant ses boutons de chemise assez rapidement pour pouvoir sentir sa peau sous mes mains, douce et chaude comme dans mes souvenirs, souvenirs qui me semblaient déjà lointains, vu le temps que nous passions loin l’un de l’autre. J’avais l’impression de le découvrir à nouveau à chaque fois que je pouvais le toucher. « Je crois que le bain devra attendre…   » me retrouvant assise sur le plan de travail, Adrian me faisant face. « Avec toi je pourrais vraiment devenir quelqu’un de bien… Ton homme.   » me murmurait il à l’oreille, réveillant tout les papillons qui semblaient sommeiller en moi, au grand jamais je n’avais eus quelqu’un qui m’avait donner toutes ses sensations, il était l’amour de ma vie, autant que mon meilleur ami, la personne dont j’avais besoin pour me sentir être moi. La personne qui me permettait de me sentir en sécurité. Je passais tout un tas de nuit blanche quand il n’était pas à côté de moi, cela, parfois, inquiétait grandement mes collègues, qui me demandaient souvent qu’est ce que je pouvais bien faire quand je ne dormais pas. Je pensais souvent à lui. Sa voix. Ses mains rassurantes. Son regard dans lequel j’aime me perdre de longues secondes, sans pour autant passer pour une folle.. Cette confession procure en moi, une sensation que je n’explique pas, je le rends meilleur à mesure qu’il me rend de même.. « Tu es quelqu’un de bien n’en doute jamais.   » lui fis je en l’embrassant doucement sur la joue.


Deboutonnant rapidement les quelques boutons restants de sa chemise, délicatement je passais mes mains sur ses épaules, faisant glisser peut à peut la chemise pour que celle ci finisse sa course sur le carrelage, quelques minutes plus tard, ce fut le tour de ma robe, j'attrapa sa nuque de mes deux mains, le rapprochant plus sauvagement de moi, plaquant mes lèvres contre les siennes, pour lui montrer à quel point ce dernier avait put me manquait. Ma peau contre la sienne semblait brûler rien qu'a contact de ses doigts. Bruler de désir pour lui. Je le sens se reculer, mettant fin à notre étreinte.  Haletante, je regarde sa main descendre jusqu'a sa poche de pantalon. Un regard interrogatif sur le visage.

Un écrin rouge sortit de sa poche, mon cœur s’affole comme si je risquais une crise cardiaque. Mon cœur reprenant un rythme un peu plus normal. Il finit par l’ouvrir. À l’intérieur une clé, LA clé de son appartement. Je pose une main sur mon cœur, j’étais prête à tout sauf à ça.. « Veux-tu emménager avec moi ?   » Prenant une grande inspiration, toujours assise sur le plan de travail. Je le regarde un instant jonglant rapidement entre ses yeux et la clé présenter dans ce petit écrin. « Veux tu vraiment t’engager dans ce genre de chose..   » Marquant une courte pause voulant faire durer le suspens un peu plus longtemps, pour mêler un petit côté dramatique à la situation, je savais très bien que j’aurais pus être une très bonne actrice. Un sourire taquin sur le visage. « Avec une fille qui entends des voix ? Ça pourrait être contagieux. Je veux dire dans ce sens-là que ça risquerait de nuire à ta réputation..   » Je ris à ma propre blague, cherchant son regard avec le mien, m’empare de la clé du bout des doigts. « 3000 fois, oui je dirais.   » je pris son visage entre mes doigts, afin de le rapprocher du mien. Je déposai doucement mes lèvres contre les siennes, le désir reprenait possession de moi. Laissant ainsi ma langue jouer avec la sienne, mordillant légèrement sa lèvre, joueuse encore une fois. L’idée d’habiter avec lui me procurait une sensation de sécurité, savoir que quelqu’un m’attend quelque part à une connotation rassurante. Avant de le rencontrer, malgré ma famille beaucoup trop envahissante. J’avais toujours l’impression d’être toute seule, depuis cette fameuse journée, ces rendez-vous en cachette, puis notre vie à deux en cachette. Tout ça prenait une tournure qui me rendait heureuse. Le hasard pouvait nous conduire à des choses merveilleuses. « La prochaine fois… Je serais à genou, avec une bague !   » Secouant la tête, je levai les yeux au ciel. « Pas trop vite en besogne, Monsieur Henrisken   » Dans ma tête tout une scène vient se dérouler devant mes yeux, m’imaginant déjà avec une robe blanche, une grand maison en banlieue, un chien et peut être des enfants.. Des têtes blondes courant joyeusement dans un grand jardin. « Vu qu’on est dans la période des grandes annonces, je dois te dire quelques choses de très important..   » glissant mes doigts contre son bras. « Je pensais arrêter d’être sur le terrain, d’ici deux ans, le temps de former quelqu’un, je me verrais bien présentatrice..   » je pris une grande inspiration. « Je me dis que notre vie à deux ne seraient que meilleur si j’arrêtais de partir à l’autre bout du monde.. Par contre, je suis très mauvaise cuisinière..   » Grimaçant à cette révélation. « Je risquerais de t’intoxiquer, il nous faudrait donc quelqu’un pour nous faire à manger.   » Je devais être la pire cuisinière du monde, brûlant et loupant tout ce qui me passait sous la main dans une cuisine. « Je suis prête à t’attendre même si c’est toi qui doit partir..   » lui fis je en posant ma main sur sa joue.
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyMer 4 Sep - 16:33
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

Les quintuplées de Lou s’éprennent de mon torse comme si elles le découvraient pour la toute première fois. Ses baisers laissent à désirer son corps tout entier. Sans grande surprise, mais avec une pointe d’appréhension quand même, Lou accepte ma demande. Ses lèvres se réfugient contre les miennes. Nos souffles chauds et courts se chevauchent. Ses yeux caressent mon visage si innocemment qu’il me devient de plus en plus difficile de concevoir ma vie sans elle. « Le crime serait presque parfait mon amour. Mais… » Dans la lancée de mes paroles, je m’arrête de nouveau. Le dernier mot reste en suspens quelques secondes supplémentaires avant que je ne l’attrape par les hanches une nouvelle fois. À présent je la surplombe de nouveau. Mais plus pour très longtemps. Dans l’intimité de l’instant, nous quittons la salle de bain. « … Mais au moins, je quitterai ce monde de ta main. » Soufflais-je en caressant le galbe de sa joue. Lorsque Lou m’annonce vouloir arrêter d’être sur le terrain, mes sourcils se froncent l’air interrogatif. « Peu importe ton choix. Tu sais que je te soutiens. Que tu sois à cinq cent mètres ou à l'autre bout du monde... Je serais toujours à toi. » Inutile de lui répéter que je ne veux pas qu’elle prenne une quelconque décision professionnelle en fonction de moi. Nous en avons déjà vaguement discuté par le passé. L’exemple dont je me sers à chaque fois n’est pas flatteur, mais il a le mérite d’être clair. Lou ne doit pas prendre de décision uniquement parce que nous sommes ensemble. Si demain matin je disparais, tout ceci n’aura servi à rien. « Sauf si tu veux volontairement me rendre malade, pour que je reste avec toi. Si c’est ton idée, vous êtes démasquée Mademoiselle Rosenbach ! » Ajoutais-je d’un ton taquin avant de reprendre un air sérieux. Dieu que j’apprécie ces petits moments de complicité. Lorsqu’elle part pour ses grands reportages, je guette avec une attention particulière l’actualité mondiale. Combien de fois l’ai-je appelé en catastrophe, lorsqu’un important évènement se produisait ? Et à chaque fois la tonalité et son répondeur ont le don de m’agacer. Cependant, la priver de ce qu’elle aime, de qui anime sa vocation serait bien égoïste de ma part. Un peu trop sans doute…

« J’ai envie de t’embrasser mon amour. » Ce soir j’emprunte à ses lèvres le souffle de mon prénom qu’elle murmure. Malgré la pénombre environnante, sa bouche demeure si proche de la mienne, mais ses lippes ne me touchent pas. L’un de ses empans s’aventure contre ma joue mal rasée tandis que son homologue remonte le long de mon buste, avant qu’elles ne se rejoignent contre ma nuque. Notre différence de taille se tarit lorsque ma nuque cède sous sa pression. Les effluves de son essence taquinent ma cavité nasale. Chaque lettre possède sa propre odeur, chaque verbe un arôme. Pourtant ce n’est pas moi qui découvre son parfum ce soir, c’est lui qui me découvre. À chacun de ses baisers, il s’éprend peu à peu de mon enveloppe charnelle. Dans un mouvement de tête lent et caressant, Lou cherche mes lèvres puis s’en délecte. L’ivresse amoureuse mêlée à l’intensité du moment présent renforce l’envie et le désir que nos baisers trahissent. La manière dont elle prononce mon prénom suffit à me dérober un sourire inavoué. Ses mains innocentes s’aventurent contre mon torse, alors que nous basculons contre le moelleux matelas. Ce premier contact me soustrait un frisson d’inquiétude. L’angoisse qu’elle souffre à mes côtés, et qu’elle n’apprécie pas les instants que nous partageons me gagne. Cependant un nouveau baiser de ma femme suffit à dissiper chacun de mes tourments. Au même instant elle me murmure une nouvelle révélation qui me rassure. Pourquoi devrait-elle m’attendre ? Pourquoi ne pourrions-nous pas continuer ? Notre couple fonctionne ainsi depuis trois ans, pourquoi pas quatre ou cinq, et même six ? « Lou… » Prononcer son prénom demeure l’une de mes plus belles paroles. Mais lire, à travers ses yeux, l’affection qu’elle me porte n’a pas de prix. Dans un mouvement tendre, je la laisse me surplomber. Désormais c’est elle qui doit abaisser son visage pour m’embrasser. Ses petites mains se posent contre mon torse nu, tandis que mes quintuplées se perdent contre la chute de ses reins. Mes orbes aigues-marines adulent la tenue dans laquelle elle s’est parée. Sa robe n’est plus. Son décolleté attire mon regard, mais pas autant que ses lèvres tentatrices. La situation n’est pas équitable puisque je porte encore certains de mes habits. Pourtant elle m’offre l’avantage de pouvoir me délecter de l’instant présent.

Dans une lenteur exagérée, le revers de mon pouce caresse sa joue rosée. Le baiser que je lui offre brise la dernière barrière charnelle qui nous séparait. Nos langues se taquinent, se cherchent. Mes paupières closes intensifient chacune de mes sensations. Cependant lorsque nous rompons ce contact le bleu de mes yeux se révèle. J’étais né pour l’amour impossible, et le hasard a voulu que je fusse servi par-delà mes souhaits. « Promets-moi de toujours prendre soin de toi, même si je ne suis plus là pour veiller sur toi… » Sans la quitter du regard, la première phalange de mon index suit la courbe de son décolleté. Sa respiration s’accélère. Son souffle chaud et court se heurte au mien. Le silence s’est substitué à toutes inutiles paroles. D’un air innocent, je réitère mon geste aguicheur avant de m’arrêter brusquement. Les expressions de son visage, la tendresse de son regard, de ses gestes… Comment puis-je m’y refuser ? Nonchalamment les caresses qui ébauchent son dos achèvent la faible distance qui nous sépare. Le froissement du tissu augmente l’envie et le désir. Pourtant je me refuse à lui céder tout de suite. Mon visage s’enfouit contre son cou que je marque d’un panel de baiser. Les quelques gestes tendres qu’elle me prodigue se suffisent à eux-mêmes. « Lou… » Une nouvelle fois son prénom franchit le seuil de mes lèvres. Cette douce complainte demeure différente. Jamais je ne pourrai oser la quitter. Comment le pourrai-je ? Lou me comble en tout point. Avec elle tout me semble singulier. Le soir lorsque je pousse la porte de notre domicile la première pensée qu’il me vienne c’est elle. Pouvoir me retrouver dans ses bras, m’aventurer contre ses lèvres charnues. Tout l’opposé à toutes celles qui l’ont précédé. La fureur de l’instant présent… Jamais je n’en ai connu de telle auparavant. Nos corps se heurtent l’un contre l’autre. Lentement mes empans se risquent à ses épaules que je dénude. Son soutien-gorge n’est plus qu’un léger souvenir. 

Ce n’est pas la première fois que mon torse se retrouve exposé à ses yeux innocents. Mais le regard qu’elle laisse échapper trahit ses pensées. Qu’est-ce que j’apprécie lorsqu’elle me contemple ainsi. J’ai l’impression d’être unique à ses yeux, d’être le seul être capable de lui apporter tout l’Amour, le Bonheur, l’Affection qu’une femme de son rang mérite. « Tu es à moi… » Sentiment de possessivité. Sentiment de faiblesse également. Sans elle je ne suis plus. Elle m’a appris à me perdre, parce qu’elle seule sait me retrouver. J’ai beau faire le tour du monde je reviendrais toujours m’éteindre dans ses bras. Dans un mouvement bienveillant, je remonte délicatement son menton afin de renverser sa tête, qui se retrouve davantage accolée à l’oreiller. Une fois sa nuque à ma merci un panel de baiser se meurt. Lentement ma bouche s’aventure, pour la toute première fois, contre les prémices de sa poitrine que je n’ose pas découvrir. Son épiderme nacré m’insuffle de l’embrasser encore et encore. « Je vous appartiens, Mademoiselle Rosenbach… »  Soufflais-je en prolongeant chacun de mes baisers. Je n’ai rien vu venir. Lou me surprend en tout point. À mes yeux ce séjour hors de notre quotidien ne représentait qu’un week-end en tête à tête. Je ne me suis pas douté, un seul instant, qu’elle désirerait briser la distance qui nous maintenait loin de l’autre, ce soir. Jamais un homme ne s’est aventuré contre elle. Jamais un homme ne s’est adonné à apprécier chacun de ses baisers. Jamais un homme n’a apprécié ses caresses. Aucun homme ne peut lui apporter ce qu’elle mérite, sauf moi. L’angoisse et la peur de la décevoir me gagnent. J’imagine qu’elle doit appréhender ce moment plus que moi. Vivre auprès d’Adrian Henriksen ne sera jamais de tout repos. Et pourtant… Elle vient de signer sa perte. « Tu es magnifique mon ange… » Le réconfort dont elle a besoin. Il n’y a que moi qui puisse lui apporter. Aucun autre homme n’en est capable. Avec Lou le silence ne m’effraie pas. Les mots sont inutiles. Ils ne font que confirmer ce que les regards ont su dès les premiers instants.
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Lou Rosenbach
Lou Rosenbach
BONJOUR, NEW-YORK
Since : 31/07/2019

Avatar : Emilia Clarke (chaussette)

D.C : pas de schizophrénie à déclarer

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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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3/4, il me reste une mini place

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyJeu 5 Sep - 16:16
Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach

« Beaucoup trop shakespearien, comme finalité, je pense mon ange.. » lui fis-je, en gloussant à sa dernière remarque, je préférais être mille fois être à sa place s'il pouvait lui arriver quelque chose, alors qu'il caressait ma joue. J'étais une piètre cuisinière, n'ayant jamais pris le temps de me consacrer à cette sorcellerie. Peut-être qu'un jour je m'améliorerai, mais pas demain.. Pensant de plus en plus sérieusement à rester à un poste fixe, j'en avais déjà placé quelques mots à mon chef, ce dernier n'y avait pas vraiment vu d'objections, me prévenant tout de même qu'il allait y avoir un temps d'adaptation avant de me remplacer et après.. J'avais de plus en plus de mal à suivre avec le décalage horaire, ma vie privée qui en prendrait forcément un coup, nous avions décidés de ne jamais mettre en parenthèse nos vies professionnelles, qui techniquement étaient déjà à leur apogée. Mais aujourd'hui j'avais besoin d'autre chose. Chaque séparation me déchirait le coeur, de plus les nombreuses insomnies que j'avais n'aidaient en rien à mon état général.

Prenant un air un plus taquin, je finis par hausser les épaules, relevant la tête me mordillant légèrement la lèvre. « coupable votre honneur » fis-je en levant les bras, comme si j'étais au final démasqué de mon plan diabolique qui n'en était au final pas un. Coupable de l'aimer surtout.. Je sentais mes barrières sauter une à une en sa présence, la personne que j'étais au final ressortait tout doucement en sa présence. Je ne savais pas vivre autant mes sentiments que par le conflit, toujours et encore, depuis petite ça n'avait toujours été que conflit mon caractère ne rentrait absolument pas dans le moule de ma famille, mais depuis qu'il était entré dans ma vie tout avait changé. J'étais assagie, jusqu'au prochain conflit qui ferait sortir la bête qui était en moi. Il avait fait de moi une personne meilleure..

«  Promets-moi de toujours prendre soin de toi, même si je ne suis plus là pour veiller sur toi… » Cette phrase me fait froncer les sourcils, pourquoi soudain me dit il tout cela ? Qu’a-t-il derrière la tête ? Hochant la tête à la positive, je sais qu’il sera toujours là quoi qu’il arrive, car ma vie aujourd’hui, je ne la vois plus sans lui. Longtemps les aventures, les hommes de passage jamais quelqu’un n’avait marqué ma vie de la façon dont il avait put le faire depuis que je l’avais rencontré. À l’heure actuelle, je ne voyais pas ma vie autrement, on dit toujours qu’il y a des personnes qui nous marque à jamais, Adrian faisait parti de ces personnes à mes yeux. toi et moi, c’est ce qu’on s’était dit.. Ne préférant pas briser cet instant si précieux pour moi. Sentant ma respiration s’accélérer à chaque fois que nos peaux rentrent en contact, la tension devenant palpable, je ne saurais pas craquer, voulant faire durer cette instant un peu plus, voulant à tout prix graver ces précieux instants dans ma mémoire. «  Lou… » Entendant à nouveau mon prénom sortir de sa bouche, ce dernier semblait résonner différemment quand il le prononçait. Tout me semblait plus beau quand j’étais en sa présence, le contact de sa peau contre la mienne de son corps contre le mien me fait entièrement perdre la tête, me délestant de ce bout de tissus qui était déjà un lointain souvenir. Prenant soin de le regarder encore, voulant pouvoir me souvenir de tous ces gestes, de la façon dont il me regarde à chaque fois.

«  Tu es à moi… » Doux son à mes oreilles, la moindre de ses paroles fait de moi quelqu'un de différent comme si je ne pouvais avoir peur de ce qui allait hypothétiquement nous arriver. Comme si cette bulle fragile, nous emmenant loin de la terre nous bloquant dans une dimension différente.. Ici couché sur ce matelas, malgré la pénombre qui nous entourait je me sentais bien. La lune était à son apogée, les rideaux laissant traverser la lumière douce de cette froide nuit d'hiver «  Je vous appartiens, Mademoiselle Rosenbach… » Ce week end allait de surprise en surprise, non pour me déplaire, en ouvrant mon coeur, j'étais condamnée, je courrais à ma perte peut-être, mais le jeu en vaut vraiment la chandelle. Souriant à sa remarque, je ne pus m'empêcher de vouloir à nouveau l'embrasser, je n'avais jamais réussi à exprimer clairement mes pensées, quand j'étais avec lui tout se bousculait, tout mon être s'alarmait comme si sa présence était vitale à la mienne. Depuis ce jour où je l'ai rencontré jusqu'à ce soir, j'avais l'impression d'avoir quinze ans à nouveau, les premiers émois qui nous font rougir, le premier baiser.. j'avais l'impression que tous ces sentiments «  Tu es magnifique mon ange… » caressant doucement son torse, j'en embrassais chaque parcelle de sa peau, douce et chaude. Cédant à mes plus profonds désirs, je pris le temps de l'observer longuement, assez fière, cet homme était le mien maintenant et à jamais. Je devenais bien trop romantique pour une heure aussi tardive. « trop de compliment pour mon humble personne » un petit sourire en coin se dessinant sur mon visage, faut-il toujours que je prenne toujours un air désinvolte comme ça ? Chassez le naturel il revient toujours au galop..


Impatiente comme à mon habitude, je l’attirai à nouveau vers moi, mes doigts jouant sur son torse, descendant jusqu’à sa ceinture. Il m’avait tellement manqué que je ne savais pas comment l’exprimer. Ceinture ouverte, petit air fier sur le visage, je relevai la tête pour croiser son regard. Ne voulant qu’une chose, ne faire qu’un avec lui.. Couché comme cela dans ce lit, cette scène semblait irréelle à mes yeux, passant délicatement ma main dans ses cheveux, je tirais délicatement dessus, offrant son cou j’y déposai de rapide baisers, remontant doucement sur sa mâchoire, embrassant ensuite sa joue mal rasé. « je t’ai déjà dit que tu m’avais beaucoup manqué ? » lui susurrais-je à l’oreille, passant rapidement ma main dans mes cheveux afin de le remettre un peu en ordre, même si je savais que ça ne serait en ordre pas pour très longtemps. Mes doigts faisant des ronds imaginaires sur sa poitrine, embrassant doucement l’endroit où le rond se terminait à chaque fois. Ma main descendant vers le bouton de son pantalon, je l’embrassai à nouveau. Ma langue venant jouer avec la sienne. « Je pense que ce n'est pas très équitable que tu gardes ton pantalon.. » joignant le geste à la parole, je finis par faire sauter le bouton de son pantalon.

✻✻✻✻✻

Ce cauchemar, toujours le même m’avait encore une fois fait sursauter, regardant sur ma droite, je m’aperçus qu’Adrian dormait encore paisiblement. Le front perlant, je me sentais déshydratée, les larmes aux yeux, j’avais l’impression que ma cage thoracique se refermait peu à peu, m’empêchant de respirer. Il me fallait rapidement de l’air.. Je me levais discrètement, trouvant la chemise qui était sur le carrelage, que nous avions abandonné dans la soirée. L’enfilant rapidement, le soleil venait à se lever en cette froide matinée. Il était peut-être six peut être sept heures du matin. Une fois dans la cuisine, je me servis un rapide verre d’eau, le buvant d’une traite. Pieds nus, je m’aventurais sur la terrasse, l’air frais me faisait le plus grand bien. La brume peinait à se lever, le regard perdu dans ce dédale de verdure. Perdant toute notion du temps à fixer les arbres, je sentais mon corps et mon esprit se calmer peu à peu laissant place à la quiétude de ce petit bout de verdure perdue au milieu de nulle part. Je me décidai à revenir à l’intérieur, une fois mon esprit calmé, ma conscience ne l’étant toujours pas plus.. Je me saisis de mon téléphone sur la table basse, ne résistant pas à la tentation de l’allumer. Huit appels manqués et autant de messages, étais je donc la seule à travailler pour cette boite ? Écoutant rapidement les messages toujours le même qu’il fallait que je les rappelle, c’était urgent.. Je le reposai à nouveau sur la table basse, secouant la tête. Je sortis l’ordinateur portable de la mallette que j’avais emmené, le déposant sur l’îlot de la cuisine. Déformation professionnelle. Je tapai rapidement un email, pour bien leur signifier que je ne répondrais pas à leurs appels, a voir ce qu’ils allaient encore pouvoir trouver comme excuses bidons. Je survolai rapidement les autres informations qu’on m’avait envoyer pour ma prochaine mission. Faisant partager tous ça au cameraman, et à notre accompagnateur de la semaine suivante, si tout se déroulait bien, je n’aurais pas besoin de partir avant mardi soir, ce qui me laissait encore un peu de temps pour Adrian. Fermant l’ordinateur, je soufflais, je n’aurais peut-être jamais dut l’ouvrir, mon cerveau était déjà en ébullition de savoir ce qui allait nous arriver. Je me dirigeai à nouveau sur la pointe des pieds, le sol ne faisait que grincer sous mes pas. Prière silencieuse, j’arrivai à l’entrée de la chambre, me posant au niveau de l’embrasure de la porte, je pris une minute pour le regarder dormir, sourire niais plaquée sur mon visage, je croisais les bras. Subitement ce cauchemar n’était plus qu’un lointain souvenir dans mon esprit tant j’étais prise par l’image qui se déroulait sous mes yeux. Il finit par se retourner, sa main vint se poser sur la partie du matelas que j’occupais, il y a encore quelques minutes. J’en profitais pour venir m’asseoir au bord du lit, caressant doucement sa joue. « Salut joli cœur.. » lui fis je en embrassant sa joue, m’allongeant sur le flanc pour être à côté de lui. « Je suis désolé de ne pas être resté à tes côtés, je n’arrivais plus à dormir.. » lui chuchotais-je en passant doucement, mon index sur son dos. Préférant omettre le passage concernant mon cauchemar, rien que d’y penser, je sentais mon corps se crisper à nouveau.

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyJeu 5 Sep - 23:01
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

L’intimidé de cette étreinte passionnelle se retrouve confinée entre nos deux aveux mutuels. La faible luminosité des flammes qui s’échappent des bûches se heurte à l’obscurité de la pièce. Pour la première fois, depuis des semaines d’absence, nous nous sommes adonnés l’un à l’autre. Lentement son regard se relève. Ses yeux cherchent les miens tandis que je me penche dans sa direction. Un chaste baiser se perd contre ses lèvres. Peu à peu Lou s’éprend peu à peu de mon torse tandis qu’elle glisse son visage au creux de mon cou. Par instant son souffle se joue de mon épiderme, me dérobant ainsi un tendre sourire. J’ignore totalement ce qu’elle nous a prévu pour les jours à venir. Pourtant je la laisse tout contrôler, jusqu’aux sentiments que j’éprouve pour elle. Pour la dernière fois, où elle demeure consciente, je l’embrasse. Si mon rythme cardiaque parvient à s’apaiser, il n’en est pas de même pour mon esprit. 

Plusieurs souvenirs me reviennent en mémoire. Le premier jour où nous nous sommes connus, j’ignorais tout d’elle. Seuls son charme, son élégance et sa culture m’ont retenu. Elle maniait ses mots et ses regards d’une main de maître qu’aucun homme n’oserait la contredire, sauf moi. La manière dont elle fronce les sourcils lorsqu’elle s’énerve m’attendrit. Elle tente vainement de paraître en colère, mais non… Il y a quelque chose qui m’empêche de l’être contre elle. Pourtant le jour de nos disputes je le suis, sans véritablement l’être. Dans ces moments j’aurais tellement apprécié entendre d’autres réponses de sa part, lorsqu’un involontairement je la place aux pieds du mur. Parfois les choses que nous ne désirons pas se révèlent préférables à celle que nous espérions. Et comme à notre habitude nous nous retrouvons. Je me penche dans sa direction pour l’embrasser très furtivement, l’air désolé. La première fois que nos lippes se sont éprises l’une de l’autre, j’ai cru ne plus pouvoir m’en séparer. Si douce, si tendre et affectueuses. Nos premières disputes, futiles, ne me délaissent pas non plus de réminiscence. Et puis il y a eu ce soir, ce moment, cet instant. Ses lèvres se sont posées sur les miennes. En un second Lou est parvenue à briser la distance et le silence qui s’étaient peu à peu instaurés entre nous. Puis je me suis éloigné. Je suis revenu, mais elle n’était plus là… Le triste spectacle de son absence volontaire continue de me perturber lorsque j’y pense davantage. L’espace d’un instant Lou a réussi à bouleverser chacune de mes certitudes. Je l’ai cherché. Dans tous les regards. Et dans leurs absences… Cependant elle possède le don de me surprendre. Elle était là. Non loin de moi. Nos retrouvailles me laissent un souvenir particulièrement sensible. Pour la première fois, depuis plusieurs années, j’ai compris qu’elle demeurait chère à mes yeux et à mon cœur. Il y aura toujours une date, un mot, un regard, un film, une musique, un sourire qui me feront penser à elle.

Sans m’en rendre compte, mon visage se tourne en direction du sien. Lou s’est endormi. Morphée a eu raison d’elle. J’embrasse son front, caresse son épaule dénudée en continuant de ressasser un panel de souvenir. Cependant l’envie frénétique de l’observer dormir me gagne. Elle demeure si apaisée ainsi. Loin de tous nos tracas quotidiens et de son travail si prenant… Quelques mots, qu’elle aimerait sûrement percevoir éveillée, s’échappent du labre de mes lèvres tandis que le sommeil me fauche à son tour. 

*******

Quelques heures plus tard, les rayons de l’astre du jour viennent chasser Morphée de son royaume. Sans hésiter, je grogne. S’il existe bien une manière de me réveiller, que je n’apprécie pas, c’est la lumière. J’ignore totalement l’heure qu’il est. Un regard furtif se heurte à ma table de chevet alors que la présence encore endormie de Lou m’incite à me rendormir, ce que je ne tarde pas à faire. Il est hors de question que je délaisse ma femme, au profit d’une soudaine envie matinale. La position dans laquelle nous nous trouvons demeure hautement explicite, si on s’y attarde davantage. Lou me tourne le dos, recroquevillée sur elle-même, tandis que je la couve de mon torse et de mes bras. J’embrasse sa joue avant de m’extirper de me rendormir. Instinctivement je rabats les draps contre son enveloppe charnelle dénudée. La chaleur de son enveloppe charnelle me rassure. Par instants je perçois sa respiration. Lentement je me laisse de nouveau happé par Morphée. J’ignore toujours chacun de ses projets, mais je suis certain d’une chose : je veux être avec mon elle. Une vingtaine de minutes plus tard je sens une présence me quitter. Soit il s’agit d’un rêve ou bien Lou s’est déjà levé. Instinctivement je grogne. La chaleur humaine n’est plus. J’imagine qu’elle quitte la chambre pour vaquer à ses occupations. Bien trop occuper par ce sommeil réparateur je n’y prête même pas attention. En revanche je ne me prive pas pour allègrement m’étaler dans notre lit.

Soudain au moment même où je commence à émerger, de doux souvenirs me reviennent à l’esprit. Pas un seul instant je me suis doutée de ce qu’elle prévoyait et pourtant… Il aura suffi d’un instant, d’un lieu et d’un baiser. Alors que j’entrouvre les yeux, un soupir gagne ma cavité auditive. Elle n’est pas là. Elle n’est plus là. Sa place froide en témoigne. J’espère que je ne l’ai pas poussé hors du lit. Rapidement mes paupières lourdes finissent par s’ouvrir. Lou est là. Allongée près de moi. Elle me salut et s’excuse de ne pas être resté davantage. Je pourrais lui en vouloir, bouder tel un enfant, mais non… Il n’en est rien. Ou presque. « Je sais que j’ai le don de m’étaler dans le lit, mais j’ose espérer que ce ne sont pas mes ronflements qui t’ont poussé à te lever ! » Ajoutais-je d’un ton taquin. Joueur de si bon matin ? Bien évidemment. C’est mal me connaître pour penser que je vais lui répondre dans le plus grand des sérieux. Sans réfléchir, ma quintuplée se perd contre sa joue rosée, un nouveau baiser s’échoue contre ses lèvres inertes. Le regard qui se pose contre elle demeure tendre. Par instant il s’aventure contre ses jumeaux dénudés ou encore ses lèvres affreusement attirantes. Toutefois la fin de sa phrase m’interpelle. Comment se fait-il qu’elle n’arrivait plus à dormir ? Nous sommes dans un cadre idyllique. La soirée que nous venons de partager demeurait parfaite en tout point. Est-ce un vieux cauchemar ? Sans doute. « Tu veux m’en parler ? » Lui demandais-je en l’entraînant contre mon torse. Le léger grognement qu’elle émet me pousse à sourire alors que je me penche dans sa direction. « Je peux tout entendre, tu le sais non ? Même si tu as été braquer une banque ! Promis je t'aiderai à cambrioler la seconde !» Lentement le revers de mon pouce effleure son visage pendant que mes orbes continuent de l’observer. Je ne lui ai certainement jamais confessé un tel aveu, mais j’éprouve la plus grande des satisfactions à l’imaginer m’observer dormir. L’impression qui émane d’elle me pousse à apprécier l’instant présent, sans précipiter le prochain. « Moi aussi… » Ce moi aussi timide et réservé, je suis certain qu’elle parviendra à le comprendre. Même s’il me semble pénible et difficile de me dévoiler davantage à elle, je veux qu’elle sache, qu’elle comprenne que je l’aime. À ma manière, certes, mais je l’aime.
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Lou Rosenbach
Lou Rosenbach
BONJOUR, NEW-YORK
Since : 31/07/2019

Avatar : Emilia Clarke (chaussette)

D.C : pas de schizophrénie à déclarer

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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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déterminée — sociable — provocatrice — un brin psychosée — têtue — bavarde — souriante — casse pied — hyperactive — handicapée des sentiments — impatiente — loyale — impulsive — curieuse — ambitieuse — brillante — intelligente


— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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3/4, il me reste une mini place

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptySam 7 Sep - 3:20
Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach


Réveil difficile, le soleil pointant déjà son nez, accompagné de ces quelques terreurs nocturnes dont mon cerveau avait le secret, je m’étais levée rapidement tentant de chasser ses sombres pensées de mon esprit, voulant à tout prix me rappeler de cette nuit que nous venions de passer, me changeant les esprits assez rapidement avec mon ordinateur. La présence d’Adrian me manquait déjà, décidant qu’il y avait un moment pour tout, je laissais alors mon téléphone et mon ordinateur sur l’îlot de la cuisine. Me redirigeant d’un pas de loup vers la chambre. Prenant bien soin de ne faire aucun bruit, alors que je me glissais à nouveau à côté de lui, cela ne manqua pas. Ce dernier ouvrit les yeux, alors que je le regardai amoureusement. Un baiser bien trop court à mes yeux. «   Je sais que j’ai le don de m’étaler dans le lit, mais j’ose espérer que ce ne sont pas mes ronflements qui t’ont poussé à te lever ! » joueur a peine réveiller je souris, secouant la tête à la négative, alors qu’il enchaîna, passant sa main sur ma joue.

«   Tu veux m’en parler ?» Finit-il par dire m’attrapant pour le coller à son torse, petit grognement de ma part, je ne pus m’empêcher de sourire, il savait très bien que tôt ou tard, je finirais par céder à sa demande. Bien que je n’avais pas envie de gâcher toute l’ambiance si singulière qui régnait dans cette pièce. Sentir son odeur s’emparer de mes narines, était quelque chose qui me rassurait. Quand sur mon dernier contrat en date, il était là personne à appeler en cas de besoin où même d’urgence. Même s’il fallait toujours s’attendre au pire, il était ma personne, ma famille à présent, malgré nos caractères parfois un peu contradictoires. Je pensais sincèrement qu’il me complétait. Je l’aimais peut-être même un peu trop pour que cela soit raisonnable, j’ai toujours eus ce besoin quand j’étais attachée à quelqu’un, de m’y jeter corps et âme. Même si dans certaines de nos réactions, je pensais qu’on pouvait avoir les mêmes toujours trop fier et bien trop têtu pour admettre que l’autre avait raison..

«   Je peux tout entendre, tu le sais non ? Même si tu as été braquer une banque ! Promis je t'aiderai à cambrioler la seconde !» me retrouvant alors sous son emprise, son pouce vint doucement effleurer mon visage, je fermais les yeux un instant. « Promis, je t’appellerai si je dois braquer une banque dans les prochains temps.. » Soufflai-je en souriant de toutes mes dents, les nouveaux Bonnie&Clyde seraient dans la place, même si je pense que nous ferions de piètres cambrioleurs à nous deux. Sachant qu’il ne pouvait pas sortir sans qu’une horde de fans hystérique ne viennent à sa rencontre, les aléas des personnages publics, car techniquement, j’arrivais à échapper encore un petit peu de ce genre de manifestation hystérique. En même temps, comment ne pas craquer quand on le voyait au juste ? Même moi au jour d’aujourd’hui, je m’avouais vaincue par sa personne. L’intimité de ce chalet ne pouvait être meilleure, sachant pertinemment que personne ne pouvait nous déranger. Ne voulant en aucun cas lâcher son regard, je souris alors qu’il effleure mon visage avec son pouce. Comment avais-je bien pus faire pour vivre sans lui à mes côtés au juste ? À quel moment tout cela-a-t-il déraper par que je ne puisse plus m’imaginer sans lui ? « C’est toujours le même qui me réveille en ce moment, de toute façon..» Soufflais-je alors que je me blottissais contre lui à, sa peau contre la mienne avait ce don de me rassurer bien au-delà de ce que j’avais pu vivre, ou ne serait ce qu’éprouver auparavant.

«  Moi aussi… » Sorti de nul part, ce moi aussi me surprit dans un premier temps, il me fallut que quelques secondes pour que le comprendre, relevant la tête pour le regarder alors que j’étais toujours coller à lui. L’embrassant rapidement dans le cou, je ne préférais rien dire, ayant beaucoup trop peur que ce ne soit qu’un rêve, un doux rêve d’entendre ces mots sortir de sa bouche. J’aurais aimé lui répéter toute la journée que je l’aimais. Le faisant basculer sur le dos, je me retrouvais à cheval sur lui, riant de ma manipulation maladroite. Je me retrouvais au-dessus de lui, plaçant mes cheveux, sur le côté afin d’éviter qu’il se les prenne dans la figure. « Je te propose qu'on aille chercher un endroit où ils servent un petit-déjeuner déjà, car je commence à avoir faim. » Faisant une pause, passant doucement mon index sur son torse, en y réfléchissant bien, j’avais tenté d’organiser des choses pour notre week-end, mais au final je souhaitais juste pouvoir le serrer un peu plus longtemps dans mes bras, avant que l’heure de nous quitter résonne. « On pourrait peut-être même faire un tour dans la ville à côté avec un peu de chance et une casquette, on devrait pouvoir passer inaperçu ! » Cette idée me semblait des plus ingénieuses, alors que mon ventre commençait déjà à crier famine, vivre d’amour et d’eau fraîche pouvait durer un temps. « on pourra se balader main dans la main, avec peu de chance qu'on nous reconnaisse ! » bien sûr Lou, et les licornes existent, et elles produisent les paillettes. Cette idée m'enchantait au plus au point, même si en somme elle semblait peu réaliste.  Je me penchai juste au-dessus le lui, prête à l’embrasser encore une fois. Cependant, je me redressai, alors que j’entendais mon téléphone sonner. Enchantement de courte durée. Je levai les yeux au ciel, qu’elle douce idée avait put me traverser l’esprit quand je l’avais allumé. « Je dois décrocher », grimaçai je, le nez légèrement froncé, alors que le téléphone continuait de sonner sans s’arrêter. J’étais fâchée contre moi-même à l’heure actuelle, je ferais mieux de les jeter par la fenêtre.. Et pour une fois penser à autre chose que mon travail. « On aurait dû parier qui de nous deux, allait craquer en premier en rallumant le téléphone.. » lui fis-je d’une petite voix, alors que je caressais sa joue.. « Je vais le rééteindre.. La seule personne avec qui j'ai envie d'être c'est toi..  »

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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyDim 6 Oct - 22:25
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@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

Qu’est-ce qu’elle est sexy lorsqu’elle demeure ainsi. Entre ma chemise qui accentue à merveille son pouvoir de séduction, son regard perturbant et son sourire enjôleur… pourtant son cauchemar me perturbe. D’un geste tendre, j’embrasse sa tempe avant de me redresser. « La prochaine fois, réveille-moi d’accord ? » J’accompagne mes paroles d’une simple caresse. Alors que Lou s’amusait à passer son index contre mon torse. Assise à califourchon, Lou réussissait à émerveiller ma journée en quelques secondes. « Je n’ai pas envie de me lever aujourd’hui… » Soufflais-je en jetant un rapide regard à la fenêtre. L’enfant turbulent que j’étais ressort. Mais après tout cela serait légitime ! Nous nous retrouvons à peine, pourquoi nous éloigner maintenant ? Nos disputes œuvreront bientôt dans ce sens. « … J’ai envie de t’embrasser toute la matinée ! » Au diable toutes nos responsabilités, métiers respectifs… « Oui bien sûr. Et nous allons parfaitement nous fondre dans le paysage ! Personne ne va venir nous harceler ! » Rétorquais-je d’un ton purement ironique. Cette situation semblait impossible… Pourquoi ? Tout simplement parce que Lou était adulée autant que moi, mais pas pour les mêmes raisons. Sans attendre une quelconque réponse de sa part, je l’attrape par la taille afin qu’elle bascule contre ma personne. Par chance l’objet de toutes les convoitises demeure sage, et non agité comme lors d’une certaine nuit. Sauf que… nonobstant cette accalmie, il effleure son anatomie. Ce n’était peut-être pas l’idée du siècle, mais maintenant qu’elle me surplombe, pourquoi laissé ce dernier gâcher ce moment ? Sans réfléchir, je me relève, cerne ses hanches avant de relever le menton dans sa direction. « Embrasse-moi… »

Ces propos s’apparentent plus à une requête qu’à autre chose. Si je la connais aussi bien que je le pense, Lou va s’amuser à me faire languir autant que je peux le faire. À travers son regard, je comprends que son idée de cabane dans les bois n’est peut-être pas si mauvaise qu’elle n’y paraît. Loin de tout. Loin de toutes contraintes, peut-être que nous trouverons le temps et surtout le moyen de nous parler à cœur ouvert ? Au même instant une sonnerie stridente retentit : son téléphone sonne. Mais quel est l’imbécile qui vient nous déranger à une heure pareille ? Un dimanche matin en plus ! Pourtant je fronce des sourcils… Je pensais qu’elle l’avait réellement éteint, apparemment non. Deux solutions s’offrent à moi, soit je boude tel un enfant, soit je m’en amuse. Si rapidement la seconde proposition me semble la plus adéquate, je ne peux retenir un semblant de reproche. « Tu attends quelqu’un ? » Demandais-je faussement. « Si c’est important je comprendrais que tu me laisses hein… Ils ont certainement plus besoin de toi, que moi. » Petite pique, avant de calmer le jeu. Ce n’est pas le lieu ni le moment pour se disputer. « Si c’est le prince charmant, il est devant toi ! » Je n’ai pas envie qu’elle aille décrocher, encore moins qu’elle s’éloigne de moi. D’une moue boudeuse, presque enfantine, je cerne davantage sa personne afin de l’empêcher d’aller répondre. Alors que nous nous affalons sur le matelas, tels des enfants, elle retombe contre mon torse. Profitant de cette unique occasion, ma quintuplée s’aventure contre sa hanche afin de la stimuler. « Reste avec moi mon Cœur… S’il te plaît ! Laissons-le sonner ! » Au même moment son cellulaire sonne de nouveau. Mais qu’est-ce qu’il veut à la fin ? Nous vendre un aspirateur ? Un radiateur ? Lui demander de changer de forfait téléphonique ? Bien décidé à profiter allègrement de notre premier réveil, j’entraîne Lou contre mon torse. Si elle ose aller décrocher, je lui boude pour le restant de la journée. Ou tout du moins je vais essayer de lui bouder. Je me connais, il suffit qu’elle esquisse l’un des sourires dont elle a le secret pour que je cède.

Sans réfléchir, ou pas, je sors mon arme secrète. Juste pour qu’elle n’aille pas répondre. C’est égoïste sans doute, mais pour une fois que nous soyons ensemble… Il y a quelque chose dans son regard bienveillant qui laisserait à penser que rien ne peut nous arriver. Ses gestes accompagnent ses dires si affectueusement qu’il serait insensé de lui résister. Ses orbes clairs cherchent vainement une réponse à cette interruption si soudaine. Sa quintuplée se languit de la mienne. Elle s’en empare, les pose contre sa cuisse puis se détourne dans ma direction. Le moment semble bien trop singulier pour se permettre d’être dérangé. Heureusement que nous avons tous deux coupé nos téléphones respectifs. Ou pas. La sonnerie de son cellulaire retentit. Et là je grogne. Habilement je me rapproche d’elle, embrasse sa nuque charnue en libérant mon empan de la sienne afin cerner sa taille. Il suffirait que l’un de nous cède pris pour que l’habitacle de la voiture devienne plus intime. Comme si son épiderme nacré n’avait pas été assez marqué par cette nuit, mes lèvres étreignent une nouvelle fois les siennes. « Je suis amoureux… C’est grave Docteur ? » Murmurais-je en attrapant sa quintuplée afin de la poser contre mon muscle myocardique. Inconsciemment Adrian Henriksen, l’homme d’affaires, s’est immiscé entre nous. Ce subterfuge, très agréable, me permet de ne pas lui révéler ce que je désire lui communiquer. La question n’est pas de savoir si j’ai confiance en elle, la réponse demeure évidente. Mais puis-je suffisamment faire confiance à mon instinct pour le laisser guider chacune de mes décisions ? J’ignore totalement si Lou a perçu cet habile stratagème de diversion mais nos yeux ne se quittent pas. Ils se cherchent. « Qu’est-ce que vous m’avez fait Mademoiselle Rosenbach ? » Depuis que nous apprenons à nous connaître, toutes disputes confondues, j’ai l’impression qu’elle est parvenue à m’apaiser sur certains points. Jamais je n’aurai accepté un week-end tel que celui-ci, sans en connaître les tenants et les aboutissants et pourtant… Lou dirige tout d’une main de maître.
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Lou Rosenbach
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Identité : — elle est née un trente-et-un décembre 1990, et a donc vingt-neuf ans, très proche de la trentaine. La crise qui ira forcément avec. — de nationalité américaine, elle a des origines anglaises de part son grand père. — elle mesure un mètre cinquante-sept, petite mais mignonne non ? — elle a les yeux de couleur bleus clairs, aussi charmeur que perçant. — elle est issue d’une famille influente, les Rosenbach ont eut quatre enfants, Ezra, Evan, Lou, et Lizzie.

Activité : Présentatrice télévision NBC depuis un an à présent, on peut voir sa jolie bouille tous les matins de sept heures à dix heures. Elle était journaliste avant d’être une figure publique, grand reporter sur les zones à risques, il lui arrivait de se mettre en danger.

Statut : célibataire depuis près d’un an, elle n’a jamais été du genre à vouloir se caser. Lou est volage, comme un papillon. Elle n’a eut qu’une seule véritable histoire d’amour, et en a eut le coeur brisé. Une rumeur sur deux concerne ses relations amoureuses, et elle en joue.

Logement : Avant elle habitait dans un appartement qu'elle a fait rénové de fond en comble dans un immeuble un peu vieillot à Manhatthan, près de son boulot. Depuis la disparition de sa soeur, elle a rejoint le manoir familiale, seule et unique fois où elle a été docile. Elle ère comme une âme en peine dans l’immense demeure.

Bon à savoir :
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— Troisième de la fratrie Rosenbach, première des filles. Elle a deux grands frères, Ezra, et Evan, ainsi qu’une soeur Lisbeth. — Elle n’a que très peu, voir pas du tout de souvenirs d’Evan. Il a été emporté par une leucémie très agressive alors qu’elle n’avait que trois ans. — Elle grandit entourée, de parents assez absents et d’une gouvernante qu’elle s’applique à faire tourner en bourrique. — Sa mère est une grande fervante des galas de charité et des associations humanitaires. Elle se retrouve souvent à devoir faire la belle et sage petite fille modèle — la réalité est toute autre, Lou, elle prend un malin plaisir avec son caractère bien trempée a se salir, à casser des choses sur son passage. Enfant terrible à qui on pardonne presque tout, au vue de son nom de famille. — Quand Lisbeth naît, c’est comme un rayon de soleil pour elle, elle devient plus protectrice, plus attentive. Elle a tendance à la couver comme ses parents le font. — Très jeune, elle rentre déjà en conflit avec son frère, Ezra. Elle ne comprend pas pourquoi il est froid et autoritaire avec elle. Alors elle se donne pour mission de l’embêter et de le faire sortir de ses gonds. Marque d’amour, peut être parce qu’elle n’arrive pas a communiquer avec lui correctement — Elle est hyper active, elle ne tient pas en place. Lou apprend à monter à cheval, la chasse, et les échecs très tôt, bien qu’elle n’ait que très peu de patience et un très mauvais souvenir de ses parties d’échecs. — Adolescente, elle fait beaucoup parler d’elle. Elle prend sa première cuite à quinze ans. — Lou intègre l’université de New York, en section journalisme. Elle décide de prendre une chambre universitaire, pour s’éloigner un peu de sa famille — Elle a toujours été une élève brillante, la seule chose qui la canalise c’est sa passion pour le journalisme. — Elle se fait viré de sa chambre universitaire, à cause des nombreuses soirées où elle se rendait, et de sa colocataire un peu trop sérieuse. — Lou c’est une fétarde depuis le jour où elle a découvert les fêtes, l’alcool et les garçons, surtout les garçons. Elle sait qu’elle est jolie, et qu’elle peut en jouer assez facilement — lorsqu’elle obtient son diplôme, se faisant recruter à la sortie de l’école pour sa jolie tête et son ambition. Elle devient rapidement reporter pour la NBC, et va voyager dans les quatre coins du globe. Zones de conflits ou non, elle s’éclate et voit sa tête de plus en plus sur les écrans. — de part son nom, et sa petite notoriété, elle commence à se faire suivre par les paparazzis. Lou est toujours aux dernières fêtes, a fréquenter les personnes les plus en vogue. Souvent elle se retrouve en ligne de mire, « l’enfant terrible » se fait toujours voir, et on lui prête des relations avec des acteurs, des chanteurs, des sportifs. L’histoire qui a fait le plus de bruits étaient sa potentielle relation, avec un joueur de baseball, cependant celui ci est marié. L’histoire dure pendant plusieurs mois et affolent la toile Ils nieront tout en bloc, seuls eux savent la vérité. — elle s’est faite tatouer l’annulaire, d’une abeille qu’elle adore. Cadeau de ses vingt-cinq ans. — Lou n’a pas froid aux yeux, quand elle veut quelque chose elle insistera jusqu’à l’avoir. — elle obtient une promotion, qui fait d’elle une des nouvelles figure de la NBC, la notoriété venant avec. — sa plus longue relation a duré un an, elle avait arrêtée de sortir, et était même plus sage. Cependant suite à un mensonge de son frère, Ezra, qui ne voulait pas qu’elle sorte avec un policier. Elle le quitte et en a le coeur brisée. — Elle repart dans ses travers, l’alcool, les soirées a n’en plus finir. Le coeur brisée, elle sait qu’elle ne s’en remettra probablement jamais. — Elle apprend la vérité, sur sa séparation avec son ex petit ami, par le biais de sa soeur. Lou se fâche avec son frère. Et ce dernier disparait pendant quelques semaines sans donner d’explications. — Ses histoires amoureuses font beaucoup de bruits, elle sort pendant quelques semaines avec un homme qui a l’âge d’être son père. — elle est allée faire un faux mariage avec son meilleur ami à Vegas — elle a la mauvaise manie de filtrer ses appels, surtout ceux de son frère et de sa mère — c’est une piètre cuisinière, elle ne sait pas faire une omelette — elle a adopté deux chiens, Marley au mois d’août 2019 et Ted en février 2020 — en avril 2020, sa petite soeur disparaît puis est retrouvée par son grand frère dans un lac. Sa disparition est beaucoup trop louche. — Lou est anéantie par cette nouvelle, elle perd son rayon de soleil. — elle vit pour l'instant au manoir de chez ses parents, et commence à faire son deuil. Elle a reprit le boulot depuis une semaine maintenant.


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Feelings change, memories don’t

@Adrian Henriksen & Lou Rosenbach



« La prochaine fois, réveille-moi d’accord ? » sentant ses doigts contre ma joue, je finis par secouer la tête à la négative. Je ne voulais pas le réveiller pour ça, il semblait toujours si serein alors qu’il était dans les bras de Morphée, j’aimais passer du temps avec lui. Assise a califourchon sur lui, je continuais mon petit manège passant doucement mon index contre son torse nu. « Je n’ai pas envie de me lever aujourd’hui… » fit il par m’annoncer, regardant par la fenêtre, il marqua une courte pause, petit sourire en coin, si seulement il pouvait savoir tout ce qu’il provoque en moi, si pendant une minute il pouvait lire dans mes pensées. « … J’ai envie de t’embrasser toute la matinée ! » Cette situation me plairait aussi beaucoup même. la proposition était bien trop tentante pour passer à côté. « Oui bien sûr. Et nous allons parfaitement nous fondre dans le paysage ! Personne ne va venir nous harceler ! » l’ironie dans son timbre de voix me fit légèrement sourire, je n'avais pas eu une très bonne idée. Mais l’idée de pouvoir partager un moment simple parfois me manquait, toujours devoir se cacher parfois me contrariait, mais au final le jeu en valait la chandelle. Je ne me voyais mal à devoir fuir tous les jours, les nombreux photographes qui se tiendraient devant ma porte, à la recherche d’une information croustillante. Ayant déjà assez à faire avec ceux qui me photographiaient déjà comme ça. j’étais plus une bête de foire qu’une journaliste qui essayait de se faire sa place. « ok restons ici, alors.. » Résignée, je ne boudais pas au final, il devait avoir raison. « Je sens quand même une pointe d’ironie dans ta voix, tu n’aimes pas les casquettes ? » je ne pouvais pas m’en empêcher, je devais toujours l’embêter. Riant alors qu’il me fait basculer contre lui, j’avais cette impression.

« Embrasse-moi… » Le regard pétillant, mettant mes mains de chaque côté de son si joli visage. Je prenais un peu de hauteur, plaçant méthodiquement mon visage près du sien. Joueuse, je pris un air innocent avec que je finis par coller mon bassin contre le sien. « où est ce que je dois t’embrasser au juste ? » déposant doucement mes lèvres sur son nez, je continuais ma course au baiser contre sa joue, descendant lentement, embrassant chaque parcelle de son visage. « Là, peut être » mon index longeant sa gorge, déposant un baiser-là, où il s’était arrêté. Je m’arrêtai un instant, reprenant ma position initiale. « Ou sinon ici.. » posant doucement mes lèvres sur les siennes.. Le temps s’était soudain arrêté, ici alors que je me trouvais juste au-dessus de lui. Ma main droite passant dans ses cheveux.

Rapidement prise au dépourvue alors que j’entends mon téléphone sonner, je me sens coupable de ne pas l’avoir couper, coupable de n’avoir pas tenue ma parole. Je pensais que ça passerait inaperçu, mais au final le retour avait été plus rapide que ce que je pensais.. je souris gênée de m’être fait prendre la main dans le sac. « Tu attends quelqu’un ? » finit il par placer alors que je voulus me redresser, hésitant une instant je me redressai, me mordillant le lèvre.  « Si c’est important je comprendrais que tu me laisses hein… Ils ont certainement plus besoin de toi, que moi. » me raidissant un instant, j’étais partagé, j’avais toujours fait passer mon travail avant tout, avant même ma famille, et maintenant j’essayai de faire passer Adrian avant tout ça, même si nous nous étions dit que tout cela était stupide nos carrières passaient avant tout, une infime partie de ma personne souhaitait le faire passer avant tout le reste. « Si c’est le prince charmant, il est devant toi ! » Je me redressai, mon plus grand sourire se fixant sur mon visage. « Tu me caches encore des choses alors.. » lui fis-je une petite moue sur le visage, taquine.

Il finit par nous faire basculer tous deux sur le matelas, prise au piège, je ne pus m’empêcher de rire devant cette manigance. « Reste avec moi mon Cœur… S’il te plaît ! Laissons-le sonner ! » Sentant ses doigts remontés le long de ma cuisse, ces doigts se glissaient doucement, je déglutis, inspirant afin de calmer mon palpitant. « qu’est ce que tu ne ferais pas pour rester au lit.. » un petit sourire en coin sur mon visage. Nous allions au final passer notre journée dans cette chambre. en même temps, l’objet du diable finit par s’agiter à nouveau.  Je lève les yeux au ciel, mais avant que je puis faire quoi que ce soit je me retrouve à nouveau contre lui. Doucement je passe mon index contre son bras, ne me privant pas pour caresser sa peau, elle était tellement douce sous ce contact, je sentais en moi à nouveau ce feu qui m’animait toujours quand j’étais en sa présence.

Sa main dans la mienne, je me laisse aller à ses caresses. Fermant les yeux pour me sentir tous mes sens se décupler sous ses mains, attrapant la sienne, je la dépose contre ma cuisse. Voulant profiter au maximum de ces rares moments que nous pouvions partager tous les deux. Ce fichu téléphone résonne pour la troisième fois. J’entends celui qui fait battre mon cœur grogner, je ne peux m’empêche d’ouvrir les yeux pour détailler a nouveau son visage, par peur qu’il disparaisse comme dans certains de mes rêves. Ces rêves qui souvent se transforment rapidement en cauchemar, cette peur de le perdre, tout pouvait arriver, mais je ne sais pas si j’arriverais à m’en remettre un jour. Toujours plus proche de moi, je sens ses lèvres se poser sur ma nuque, léger grognement de ma part, je ne saurais pas décrire toutes les émotions et surtout sentiments qui se font la bataille dans ma tête et mon corps. « Je suis amoureux… C’est grave Docteur ? » me souffla-t-il alors que ma main prenait était posé juste là où son cœur était. Le regard pétillant, je ne savais plus quoi répondre, moi qui parlais tellement, je me retrouvais à nouveau dans cette bulle que nous avions construit tous les deux jours après jours. Délaissant son coeur je posais mes doigts sur son front, tentant de vérifier sa température. « du moment qu’il n’y a pas de fièvre mon amour ça devrait aller.. » joueuse. Je retrouvais toujours un peu mon âme d’enfant, femme-enfant au final, j’aimais beaucoup trop attirer l’attention, pour rester sagement dans mon coin. Adrian me donnait souvent l’attention dont j’avais cruellement besoin pour évoluer sainement, nous nous complétions, même parfois un peu trop.

« Qu’est-ce que vous m’avez fait Mademoiselle Rosenbach ? » haussant les épaules, ce petit sourire idiot toujours plaqué sur mon visage. «  Je t’aime, tellement.. » tellement que ça me briserai de te savoir loin de moi, tellement que ta simple présence suffit à mon bonheur, tellement que je ne serais jamais capable d’aimer quelqu’un d’autre comme je t’aime.. Cette relation aurait pu très clairement devenir toxique, autant l’un pour l’autre, m’imaginer vivre ma vie sans lui me donnait envie de pleurer de tout casser sur mon passage, comme une tornade qui s’abat.. Le téléphone s’était enfin arrêté de sonner à mon plus grand soulagement, je frottai mon nez contre le sien, avant de caresser doucement sa joue, effleurant sa barbe naissante. « Vu que le coup des casquettes tombe à l’eau qu’aimerais-tu faire aujourd’hui ? » je ne perdais jamais le nord dans ce genre de situation. « Sachant qu’une partie de notre journée se passerait finalement dans ce lit.. » sourire entendu, je l’embrassai plus fougueusement, le désir remontait en moi comme un feu ardent.
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[RP Flashback] - Feelings change, memories don’t  EmptyVen 11 Oct - 23:10
Feelings change, memories don’t

@Lou Rosenbach & Adrian Henriksen

Ces petits moments dérobés au Maître du Temps me paraissent irréels. Lorsqu’elle n’est pas au bout du monde, je le suis. Et inversement. Parfois nous ne nous voyons pas durant plusieurs semaines. Heureusement nos nombreux messages et appels téléphoniques comblent tant bien que mal cette cruelle distance. Cependant ils ne se substitueront jamais à la douce présence de Lou. J’apprécie toujours autant ces agréables réveils où elle me regarde avec envie et désir. Où elle s’amuse à me décoiffer plus encore. Où ces yeux trahissent chacune de ses émotions silencieuses. Il y a des amours qui ne nous décevront jamais… Parce qu’ils n’ont rien promis… Mais ils nous donnent tout… L’Amour avec un A majuscule, celui que l’on éprouve pour une unique personne, je crois que je l’ai trouvé. Je l’aime de tous mes silences. « Moi aussi Mademoiselle Rosenbach… » Sans lui laisser le temps de répondre nous échangeons un nouveau baiser, mais plus court que les autres. Juste pour la frustrer. Incandescentes, nos lèvres n’osent plus se lâcher. C’est toujours la même chose quand je m’approche d’elle. Lorsque l’on s’approche vraiment d’elle. On est attiré. Aspiré. C’est comme une chute. On ne contrôle plus rien. On se laisse aller. C’est fou. C’est dingue. C’est l’effet Rosenbach. « Oh, mais tu as bien une petite idée ? Ne fais pas l’innocente mon ange. Tu ne l’étais pas autant hier soir. » Soufflais-je en me redressant légèrement, assez pour l’embrasser de nouveau. Mes orbes détaillent sa physionomie. « Dis donc, Mademoiselle Rosenbach, c’est ma chemise ! M’avez-vous demandé la permission ? Je ne crois pas ! Je vais devoir sévir ! » D’un habile geste mon index se joue de son épaule, à présent dénudée. Qu’est-ce qu’elle est exquise ! On dit que les meilleurs et les plus belles choses du monde ne peuvent être vus ni même touchés. Elles doivent être ressenties avec le cœur. Jamais je n’ai cru en cet adage, sauf avec Lou. J’embrasse chastement sa nuque puis ses épaules, alors que nous basculons l’un contre l’autre. Cette fois c’est moi qui la surplombe. « Pour commencer, je vous propose de vous faire l’amour, puis… Nous pourrions regarder ton reportage. Si ma mémoire est bonne, il est diffusé aujourd’hui ? » Je n’exclus évidemment pas l’idée de lui dérober quelques clichés lorsqu’elle sera blottie dans mes bras, son habituel bol de pop-corn entre les mains. Elle est trop mignonne ainsi. Elle dévore ces petites sucreries en un rien de temps. Pire que moi ! Et pourtant je suis gourmand. « Je te proposerai bien une promenade, mais notre tranquillité risquerait d’être fortement compromise ! Que veux-tu, c’est toi la star ! » De nous deux, Lou brille davantage que moi. Enfin à mes yeux, ce qui n’est pas du tout objectif ! Au même moment son téléphone sonne de nouveau. Le soupir d’exaspération qui s’échappe de mes lippes se suffit à lui-même. Pourtant une idée me vient en tête. Une idée qui lui rappellera qu’elle n’a pas tenu sa promesse d’être totalement injoignable.

Sans réfléchir davantage, mes lèvres épousent les siennes, avant de s’échouer contre sa nuque, ses seins puis les prémices de son bas-ventre. Le regard, que je lui lance, à mi-chemin entre une taquinerie une culpabilité qui n’ose s’avouer me trahit. « Je crois que tu vas regretter d’avoir rallumé ton téléphone mon amour. » La pente du temps se raidit. Le battement de mon cœur s’accélère. Le silence grandit. Sa quintuplée glisse contre mon épaule puis mon torse. Ce mystère de la caresse révèle la vérité du désir. Le plaisir fugitif laisse un frisson s’émouvoir. À l’intérieur de ce désir, je ne demeure jamais seul. Ses yeux innocents effleurent la courbe de mon buste. Instinctivement mes incisives emprisonnent ma lèvre inférieure. Mes paupières se ferment un court instant.

J’ai envie d’elle.
Ses lèvres ourlées
Son sourire timide.
Son regard bistre.
Son épiderme nacré.

« Lou… » Cette complainte sonne comme une faiblesse inavouée. Parfois, nous n’avons pas besoin de longs discours… On a simplement besoin qu’on nous prouve que l’on tient un peu à nous… Une petite attention, une petite pensée, un petit mot… Il y a toujours une phrase suspendue au bout du fil de la pensée. La mienne porte un nom, le sien. Le silence reprend parfois ses droits.

Jamais un homme ne l’a regardé comme je la regarde.
Jamais un homme ne l’a désiré comme je la désire.
Jamais un homme ne l’a aimé comme je l’aime.

Les prémices de ses jumeaux se tendent. Je relève mon visage dans sa direction avant que mes lèvres ne tracent une ligne de désir. Je me perds contre elle. Les effluves de son essence nimbent mon odorat. Mes empans cernent sa taille avant de longer ses hanches. Ses yeux innocents se heurtent à mon regard gourmand. Rester de marbre demeure impossible tant son charme et son élégance s’imposent. Par instant l’une de ses quintuplées s’amuse des mèches rebelles qui jonchent ma nuque. Notre baiser se teinte d’un sentiment particulier. J’ose à peine quitter ses lèvres que son prénom m’échappe de nouveau. « Lou… » Le plus beau prénom qu'il m'ait été donné de prononcer.
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