Être au mauvais endroit, au mauvais moment

Libre + Arthuro

Qu'on sauve le mauvais garçon.

Une journée normale ? Oui, sans doute, mais qui pourrait prévoir que tout va basculé ? Personne, quelques heures avant, j'étais assis dans la cuisine, je prenais tranquillement mon petit déjeuner, je discutais avec Lyn, car je dois bien avouer qu'avec Gabriela, on a eu une petite tension, oh oui, elle a voulu me cacher qu'elle avait revue Caleb … Ce flicard … C'est vrai qu'avant que je sache qu'il est flic, je l'appréciais, parce qu'il rendait ma sœur heureuse, mais depuis … Je n'ai qu'une envie … de lui mener la vie dure, mais je n'ai pas de chance, les flics, c'est pire que la tête de l'hydre : tu coupes une tête, elle repousse avec une autre … Voilà, avant j'avais que Caleb au cul … ensuite il y a eu Kyu … et Sybil et maintenant, d'après certaines rumeurs un certains flic de la DEA. Oh oui, je devrais faire attention, mais le goût du risque était important.

Enfin, une fois que j'ai terminé, je vais à la douche, je reçois plusieurs messages d'un de mes clients … Il était impatient. Attrapant mon téléphone alors que je suis totalement a poil. « Mec !!! Si tu veux avoir ta dope, laisse-moi me laver, sinon tu viens chez moi. » Bon … ça c'était interdit, on avait une règle, on reste loin de l'appartement, on parle peu de nous, surtout si on ne veut pas se faire prendre directement.

Une fois ma veste en cuir sur les épaules. « Les filles, je vous laisse a toute. » Cette dernière phrase … Si j'avais su ce qui allait arrivé … J'aurais dis à mes sœurs que je les aime … que je veillerais toujours sur elles, comme je l'ai toujours fais … Si j'avais su … Quel con !!! Enfin prenant la route, j'avais la dope sur moi, je n'avais pas de voiture et je trouve que cela ne sert à rien … Oh oui, a part pollué, voilà à quoi cela sert. D'accord, je dis ça parce que je n'ai pas le permis.

Quittant mon quartier pour aller jusqu'à Manhattan, je patiente quelques minutes puis c'est alors qu'arrive mon premier client du jour, je lui donne sa dope, puis je m'en vais assez rapidement, la journée était intense, il faisait beau, rien n'indiquait alors qu'un événement tragique -Pour  certains, pour d'autres ça serait pas plus mal- était sur le point de se préparer, enfin je continue de marcher, jusqu'à ce que je tombe nez-à-nez avec un gars, c'était un homme qui faisait partie d'un gang, pas très content que je deale sur son territoire. « Mec !!! Calme-toi d'accord, je ne reste pas. » Mais ce dernier avait voulu se la jouer, il était seul, après des coups échangé -coup de poing, de pied, et un œil au beurre noir et une lèvre saignante- il décide de se barrer en me promettant que je n'ai pas fini d'en entendre parler. « Pas de soucis chéri … quand tu veux., mais là prochaine fois … taille moi une pipe, on ira plus vite. » Oui … j'ai toujours ce coté un peu prétentieux ou alors à jouer au chaud … Qui sait, un jour je le paierais.

Je suis rentré qu'une fois à l'appartement … Oh oui, comme un presentiment que quelque chose aller arriver, j'ignore quoi, mais je voulais me rassurer voir que mes sœurs étaient bien, mais personne à l'appartement, je dépose l'argent dans un petit coffre, en dessous de mon lit, puis le reste de la dope aussi, et je retourne dans la cuisine, je bois un coup attrapant mon téléphone, puis j'envoie un message à mes jum's, une fois les réponses reçue, je suis rassuré, je sors alors sereinement, il devait être les vingt-et-une  heures. J'ai sur le dos ma veste et un tee-shirt, prêt pour profiter de la soirée … Oh oui, la soirée va être bonne.

Quittant alors l'appartement pour la seconde fois de la journée, je me dirige vers le Bronx, le soleil c'était couché, je ne savais pas ce qui ce passé dans les rues, mais il y avait beaucoup de monde, marchant, je sens alors mon téléphone vibrer, je regarde, un message d'un destinataire inconnu qui me disait de me retourner, au début, je prends ça pour une blague, je ne le fais pas, déposant mon téléphone dans la poche, mais très vite, je sens de nouveau qu'il vibre et après une petite insulte, je m'arrête et je décide de me retourner, puis je vois derrière moi trois gars, dont celui que j'avais croisé quelques heures plus tôt. « Oh alors tu es venu avec tes potes … Désolé, mais un plan à plusieurs ne m'intéresse pas … J'aime le un pour un. » Dis-je en souriant, mais l'autre n'avait pas envie de rire, c'est à ce moment qu'il sort son arme, je le regarde, je me suis dis qu'il n'allait pas tiré, au vue du monde. « Mec !!! Je suis encore moins objet sexuel. » Dis-je en souriant, « Oh mais c'est pas un jeu … maintenant tu vas arrêter tes conneries et tu vas t'excuser. » Je me mets à le regarder, il était sérieux et la boule à l'estomac qui allait se passer quelque chose … vient de nouveau de me frapper, mon impression qui allait arriver quelque chose était donc pour moi, je fais la grimace.



Je commence à réaliser alors, une larme coule le long de ma joue. « Mec c'est bon. » Mais ce dernier ne me laisse pas en place une, je peux voir son doigt aller sur  la gâchette, je fais un signe de tête négativement, mais un bruit sourd envahit alors les alentours, une violente douleur au niveau du ventre, un rire, mon regard se pose alors sur le mec. « Espèce d'enfoiré... » Je n'ai pas le temps de faire quoi que ce soit, je penche la tête vers mon ventre et je tombe a terre, posant mes mains sur ma blessure, sous le choque, j'essaie de rester calme, mais mes mains se mettent à trembler « M...er....de... » C'est a ce moment-là que je me mets à penser à Gaby et Lyn qui auraient cru que mon pressentiment me viser ? Qui aurait cru que je me serais prit une balle de la part d'un dealer ? J'ai toujours pensé que je me ferais tirer dessus, certes, mais par un flic, pas un mec vereux … Je pense alors à Gaby et notre embrouille ridicule, pourquoi je lui ai dis que je lui en voulais … je ne sais pas si j'aurais le temps de m'excuser, alors que j'essaie de fouiller dans ma poche, une voix lointaine me dit d'éviter de trop bouger, et que je devais rester éveillé.

Être au mauvais endroit, au mauvais moment

Libre + Arthuro

Qu'on sauve le mauvais garçon.

Voilà ce qui arrive quand on joue au con … On perd de temps en temps, cela ne m'arrivait que très rarement, mais là, j'avais devant moi trois personnes et dont une avec une arme, j'essaie d'apaiser les choses et qu'il ne tire pas, il y avait des gens qui faisaient sans doute comme-ci ils n'avaient rien vu, et dans le fond, je ferais sans doute pareil, je me mets à le regarder et pourtant, je pouvais essayer de faire tout mon possible pour qu'il ne tire pas, je peux sentir une douleur au niveau de ventre et je savais ce que ça signifiait, mais je vérifie avec une de mes mains, du sang sort d'une blessure et je me mets à tomber.

Au début, je voulais attraper mon téléphone, je voulais envoyer un message a Gabriela pour lui dire que j'étais désolé, mais une voix assez lointain, enfin … Ce que j'avais cru prendre pour lointain me disait qu'il ne fallait pas que je bouge, mon regard se pose alors sur la personne et je vois que c'est Allen … Un ami, je l'avais vu être devant chez nous, dans l'appartement, il m'avait expliquer qu'il a vécu dedans et je l'avais laissé entrer, nous avons discuté et depuis on était pote, je ne m'attendais pas à le retrouver alors que je suis entrain de pisser du sang, j'avais envie de fermer les yeux, mais les ordres d'Allen étaient clair … « J'...Essaie... » je devais essayer de prendre une grande inspiration et oublier cette fichue balle … mais c'était tellement douloureux que j'avais envie de hurler.

C'est alors que je sens qu'il prend mon bras pour le passer sur son épaule et me fait me lever, je gémis de douleur, puis me relevant, je l'entends me dire qu'il fallait que je tienne bon. « Oh...pu*** » Je me mets à marché, mais je perdais quand même du sang, avec ma main libre, j'essaie de faire pression pour éviter la perte de sang, j'avais vu ça dans une épisode de Grey' anatomy, a ce qui paraît, ça marche, mais la marche n'aidant pas nous commençons à arriver prêt de chez lui et il me fait m'allonger. Je sens alors qu'il appuie sur la blessure, je gémis … C'était tellement difficile. « Al...len... ça...va...aller...hein... » J'essayais sans doute plus me convaincre que ça allait aller qu'Allen, je ne savais pas si j'allais tenir bon. Je fouille dans ma poche... « Appelle....le 911...et...va...t...en... » Je devais être en sueur et pâle … mais il ne fallait pas qu'il reste, sinon les flics allaient directement penser que c'est lui qui m'a tirer dessus et je ne veux pas lui causer plus de soucis...

Être au mauvais endroit, au mauvais moment

Libre + Arthuro

Qu'on sauve le mauvais garçon.

Qui aurait cru que ma soirée se serait passée comme cela ? Se prendre une balle, si j'avais su que mon pressentiment plutôt dans la journée me concernerait, je crois que je ne serais pas sorti … Comment vais-je faire pour m'en sortir ? Par chance, on ne me laisse pas crever sur le tarmac, non, Allen était dans les parages et il m'aide, on peut dire que c'est un ami, car il aurait pu s'enfuir … On sait très bien ce qui va se passer … Les flics vont débarqués et étant un grand amateur de flic, je suis sûr qu'ils seraient capable de me dire que c'est moi qui l'ai cherché et que c'est moi qui ai en tort … Dans le fond ? Ce n'est pas faux, mais tout de même.

J'avais envie d'appeler Gabriela … Ouais, j'ai envie de m'excuser de mon comportement, c'est vrai que je n'avais pas eu envie de me prendre la tête avec elle, mais en même temps, comment je pouvais réagir lorsqu'on s'était promis de ne plus avoir de flics dans nos vies et qu'elle a été voir son ex ? Non, je ne sais pas trop comment réagir, alors on s'est embrouillé pour ce genre de connerie et je le regrette, de toute façon c'est toujours quand il est pratiquement trop tard qu'on a des regrets. J'ai jamais apprécié dépendre de quelqu'un, mais là j'avoue que je suis obligé de me laisser faire, il faut qu'Allen m'aide et qu'il ne reste pas, parce que je pense qu'il va avoir quelques soucis. Alors qu'il m'aide à me relever, je gémis de douleur …. Purée, ce n'est réellement pas comme dans les films … C'est ultra douloureux et je suis sur que je pourrais tourner de l’œil à chaque instant, mais je mords sur ma chique .. Je dois avancer et je dois trouver un moyen de guérir.

C'est alors qu'on arrive assez rapidement chez lui, je grimace lorsque je m'allonge, je peux sentir aussi la pression qu'il fait sur la blessure, sans doute pour éviter l’hémorragie, mais ça ne sera pas aussi, je ne sais même pas si la balle est sortie. Je serres beaucoup trop les dents lorsqu'il compresse, oh oui, c'est une douleur atroce et j'ai envie de gueuler, mais je dois garder en tête qu'il faut que je la ferme, il ne faut pas non plus alerter le monde entier de ce qui ce passe ici. « Oh … ce n'est...pas...De...ta...faute. » J'avais envie de lui dire que tout ça est arrivé par ma faute, parce que c'est le cas, c'est moi qui a voulu jouer au chaud et voilà ce qui arrive quand on tombe sur plus fort que soit -Enfin je peux dire ça parce qu'il a une arme, mais bon-. Mes mains sur la veste en jean d'Allen, j'essaie d'être positif, même si c'est pas facile. Je hoche la tête positivement, alors que du sang coule le long de mes lèvres. « Je...vais...tenir...le...coup... » Dis-je en essayant de garder les yeux bien ouvert.

Je n'ai jamais eu une blessure par balle et j'avoue … que maintenant, je vais bien me calmer ou alors j'irais m'acheter une arme à mon tour, il faut que je sache me défendre, ce qui est sûr, c'est que si je m'en sors, je vais devoir me venger, j'ai une très bonne mémoire et je vais devoir le buter, je sais que je devrais faire profile bas et je vais aussi devoir mentir … Oh oui, je ne vais pas dire qui m'a tiré dessus parce que je compte lui faire payer. Alors que j'attrape mon téléphone et je lui tends, je lui dis d'appeler le 911 et de partir, je le regarde dans les yeux. « Non, je ne veux pas … que tu.... me laisses.... mourir, tu les.... préviens et dès ...que tu...entends les sirènes...tu...t'en...vas... » La loyauté d'Allen me touche et j'avoue que je ne devrais pas abandonné aussi facilement. « Tu...es...trop...têtu...mais...D'accord. » Je grimace lorsque j'appuie de nouveau, je ne relâche pas, mes yeux se ferment quelques secondes, mais j'arrive à les ouvrir. « Quelle ...Soirée...hein... » J'essaie de faire conversation, mais je dois bien avouer que la fatigue m'attrape et ne me lâche pas, je ferme les yeux toujours quelques secondes, mais plus je les fermes, mais plus ça dure plus longtemps.

Lorsque j'ouvre les yeux, je peux le voir au téléphone, j'entends, mais c'est assez vague, je le sens revenir vers moi avec un cris de douleur lorsqu'il tient de nouveau le tissus pour continuer la compression. « Me...merci...All' » Dis-je en respirant, mais à chaque inspiration, une grimace pointe le bout de son nez sur mon visage. Allen a raison, je dois tenir bon pour mes sœurs, mais aussi pour lui, c'est un de mes proches amis, je peux lui faire confiance, d'ailleurs si ça n'aurait pas été le cas, je ne lui aurai pas fait la visite guidée de notre appartement qui était le sien avant. Je me mets à prendre une grande inspiration, tout faisant tout pour rester eveiller, ce qui n'était pas facile à faire.

Être au mauvais endroit, au mauvais moment

Libre + Arthuro

Qu'on sauve le mauvais garçon.

Je ne sais pas pourquoi il faut toujours que je joue au con … mais ce qui est sur, c'est qu'aujourd'hui, j'ai compris une chose : Ne plus se balader dans les rues sans armes, je sais que c'est dangereux, parce que déjà que les flics ont de gros soupçons sur moi et mes sœurs, mais si je me balade avec une arme, ça sera juste une case en plus de cocher dans mon dossier de malfrats, mais si je survis … Oh parce que je vais survivre, je vais lui faire payer … Je vais le buter … Deux balles … Une dans la tête … une dans les parties intimes, bien sûr la première sera dans les parties intimes, il va comprendre qu'on me cherche pas, mais pour le moment, je suis allongé sur le sol dans le logement d'Allen, j'ai réellement eu de la chance de tomber sur lui.

Je me sens en vie, lorsqu'il appuie sa veste contre ma blessure, mais en même temps, c'est ce qu'il fallait faire pour essayer d'arrêter l'hémorragie, ce n'était pas comme dans les films … non, c'était plus douloureux et j'avais envie de m’évanouir, mais une chose est sur, c'est qu'il ne fallait pas, il faut que je garde les yeux ouverts et parler avec Allen était une façon de rester en vie, j'essaie de sourire … mais c'était assez difficile, j'avais l'impression que chaque geste que je faisais me demander beaucoup trop d'énergie. Je voulais une nouvelle fois sourire, mais c'était une grimace et je suis prit d'une toux, ce qui me fait cracher un peu de sang.

Je n'avais pas envie de lui causer de soucis, c'est pour ça que je lui avais dis d'aller le 9-1-1 et de partir, bon j'avais pas réfléchir à plusieurs détails et dont le premier, c'était chez Allen … Aller expliquer à quelqu'un que je suis monté à l'étage tout seul … Bon cela peut se faire, mais tout de même, ils vont bien voir que le sang n'est pas à côté et donc j'ai eu de l'aide. La loyauté est quelque chose de rare dans mon domaine et pourtant Allen vient de me prouver une nouvelle fois que je peux compter sur lui. « J'a...voue....je...ne...peux...pas...décider... » Dis-je en ayant un petit sourire. C'est vrai que je n'étais pas en position d'exiger quoi que ce soit. La seule chose que je pouvais dire ou faire, c'est qu'il ne m'abandonne pas.

J'essaie de tout faire pour rester les yeux ouverts et mine de rien, je ne me rendais pas compte a quel point parler, marcher, lever le bras, demander vraiment beaucoup d'énergie, c'est dingue, mais lorsque le corps va bien, on peut que tout est acquis, mais c'est dans ce genre de moments que tu te rends compte que tout est difficile, je verrais la vie autrement. Je hoche alors la tête lorsque je l'entends me dire qu'il fallait que je me taise pour garder des forces, je hoche la tête positivement, une nouvelle fois, je sais qu'il a raison et si je veux tenir jusqu'à l'arriver des ambulanciers, je pense qu'il faut que je me taise et que je fasse tout pour garder les yeux ouverts. Je me mets à sourire lorsqu'il me dit qu'il pouvait mettre de la musique. « Vaux....mieux.... que tu...gardes ta ….batterie ..non ? »

Le fait qu'il me laisse quelques secondes, je garde mes mains sur sa veste pour faire compression, j'avais l'impression qu'il y avait moins de saignement, mais peut-être que je me trompe, qui sait. La perte de sang avait quand même été assez énorme, mon teint était devenu bien pâle, mais je faisais en sorte de garder les yeux ouverts, je me mets à le regarder lorsque je l'entends me dire que les secours allait arriver, je devais juste essayer de garder les yeux ouverts, je fermes ces derniers quelques instants, mais j'entends Allen me dit qu'il fallait que je le regarde et que je reste avec. « Oui...dés...olé... » A mon tour je m'excuse, parce que j'ai pas envie de mourir, j'ai la vision de mes deux sœurs seules, sans repères, sans moi, je sais qu'elles arriveraient à survivre sans moi, mais j'ai besoin de les voir une dernière fois, alors autant me battre jusqu'au bout.

Je pouvais entendre les sirènes se rapprocher, je me mets à sourire. C'est la voix d'Allen qui me fait ouvrir de nouveau les yeux, il leur avait signalé notre présence, puis c'est alors que je vois deux personnes s'occuper de moi, je sens un léger froid quand il retire la veste, mais très vite, je sens mon corps bouger, sans doute pour me mettre sur un brancard et on se met à bouger, une fois à l'intérieur du camion, je peux voir Allen, je me mets à sourire, alors que j'avais de l'oxygène, puis je les entends parler, j'entends la pompière demander ce qui c'était passé. Puis très vite la voix de la pompière se fait dans ma direction. « Je m'appelle...Ar...Arthuro...san...chez... » Dis-je en plongeant mon regard vers la pompière, puis d'un coup, je me mets à regarder Allen en souriant, genre pour lui dire « Tu as vu je tiens le coup » Puis alors que je sens le pompier faire les soins, fait en sorte que l'hémorragie s'arrête, je commence à réaliser que je suis heureux d'être tomber sur Allen, enfin plutôt qu'Allen est venu à mon secours. « Mer....merci...Al »